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Franc-maçonnerie

Le père d’Edouard Philippe était franc-maçon

Lu dans M Le magazine du Monde du samedi 27 janvier :

Index« les obsèques paternelles ont eu lieu le 3 octobre 2014, au funérarium du Havre. « Je veux que vous soyez là », a insisté Edouard Philippe auprès de ses amis empêchés, qui comprennent que dans cette cérémonie se joue quelque chose qui leur échappe. Dans l’assistance, des tas d’enseignants, « rad-soc » comme le couple Philippe, qui a fêté bruyamment la victoire de François Mitterrand en 1981 et n’a sans doute jamais voté Antoine Rufenacht. L’ancien maire de droite devine au passage ce jour-là que Patrick Philippe était un dignitaire franc-maçon et surtout un original »

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11 commentaires

  1. Seulement le père ?

  2. S’ils ne l’ont pas été, ils le sont ou le seront un jour, mais, avec eux aux manettes, jamais le peuple ne sera heureux. Les allogènes non plus d’ailleurs.

  3. Rad-soc et franc-mac’… Toute la panoplie du notable des défuntes et fort peu regrettées IIIe et IVe !

  4. Ah oui… On ne s’étonne plus que le dernier Sous-Prfet du Havre ait été révoqué ad nutum (car jugé trop “catho”)…
    Asta la vista ! XD

  5. En Marche schmuggle les franc maquereaux.
    Ce parti, ses membres, ce gouvernement et ce gouvernement puent la m..de.

  6. Le 10 mai 1981 au soir j’étais au Havre où j’habitais.
    La victoire de MITTERRAND ne fut pas saluée avec liesse et concert de klaxons.
    Ce fut plutôt la stupeur chez les Havrais, qui étaient pourtant habitués à la gauche, la municipalité étant majoritairement communiste. Cela dura de 1965 à 1995, quand Antoine RUFENACHT réussit à la quatrième tentative à chasser les gens en place, qui avaient été trop vus.
    Patrick PHILIPPE a sans doute voté aux législatives de juin 1981 contre Antoine RUFENACHT, député sortant, et pour Joseph MENGA.
    Ce nouvel élu déjà adjoint au maire communiste André DUROMEA était du genre socialiste pur et dur, avide d’une revanche. Je l’ai un peu connu personnellement et entendu une fois, peu après son élection, dire “on va maintenant faire trinquer le bourgeois”.
    Il est resté député jusqu’en 1988.
    Il est décédé une dizaine d’années plus tard, retiré et oublié de la politique.
    On ne peut que dire “paix à son âme”.
    Antoine RUFENACHT, grand bourgeois havrais et protestant, est devenu au début des années 90 un proche de Jacques CHIRAC et a quelque temps présidé le conseil régional de Haute-Normandie. Il a battu à l’élection du président en 1992 Laurent FABIUS, qui ne digéra que difficilement cette défaite, estimant que ce siège lui revenait.

  7. Lui-même serait aussi un “frangin” que ça n’étonnerait que ceux qui ne veulent pas (sa)voir : il participe à la création de l’UMP avec Alain Juppé (un autre type de droite !!), au cabinet duquel il appartiendra (gouvernement Fillon), le soutiendra aux primaires avant de passer chez ce même Fillon ! Le tout après avoir milité au PS et soutenu Rocard…
    Un vrai parcours de caméléon, ou de franc-mac si vous préférez, n’est-ce pas Xavier Bertrand ?

  8. Soyons charitables: exonérons le fils des turpitudes de son père.

  9. C’est un constat :
    Ils sont tous FM de pères en fils : Baroin, D.S.K., Ferry, etc.
    et aussi de père en fille : Chiappa…
    voir en poche : “Un état dans l’Etat.”
    de Sophie Coignard, journaliste indépendante.
    C’est la confrérie des copains/coquins. Ils ont fait de La France leur pré carré… et veulent s’étendre au monde entier.

  10. Viger
    Juste remarque mais ô combien incertaine.
    Vu le profil du prototype, il schlingue comme un franc mac !
    A gerber.

  11. @ EROUANI:
    Heureux de savoir que vous êtes havrais ! J’ai bien connu Le Havre dans les années 70 et 80 ; moi le soir du 10 mai 1981 j’étais dans le train du soir qui ramenait son lot d’étudiants et de militaires vers Rouen et Paris… A un moment, quelqu’un a réussi à écouter sa radio, et nous avons tous entendu le résultat : Mitterrand élu ! Et pas un qui a bronché, pas de cri, d’applaudissements, rien ! Je me suis dit que tout le wagon avait voté pour Giscard ?
    Quand je repense à la grisaille qui régnait partout en ville à cette époque, et le visage qu’elle montre aujourd’hui, je me dit que vraiment les communistes (municipalités communistes de 1965 à 1995 je crois ?) ont l’art et la manière de tout défigurer, tout salir, tout attrister…

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