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Europe : politique

Le Parlement européen a financé une étude sur “l’extrémisme de droite”

Le Parlement européen a financé une étude sur “l’extrémisme de droite”

Le Parlement européen a financé une étude sur la fameuse extrême-droite, qui remet en cause l’immigration, l’homosexualisme, voire l’Union européenne. Evidemment la rapport met tout dans le même panier :

Les partisans de l’extrême droite peuvent souvent être différenciés en partis politiques, organisations militantes non parlementaires et groupements informels. Ils partagent certains éléments idéologiques, comme l’intolérance à l’égard des minorités, le racisme et la xénophobie (observés dans l’écrasante majorité des partis et groupes du spectre du nationalisme radical à l’extrême droite) et ciblent souvent les musulmans, les réfugiés et les migrants, mais aussi la communauté LGBTQ+. En particulier dans les pays d’Europe centrale et orientale, la communauté rom, souvent associée à certains types de crimes et accusée de l’être, constitue une autre cible importante.

Et concernant la France :

La principale menace de ces groupes est qu’ils sont apparus en dehors des groupes traditionnels d’extrême-droite. Dans une large mesure, pendant plusieurs décennies, leFront national a réussi à représenter un centre de gravité suffisamment important pour que la plupart des mouvements d’extrême droite puissent le contourner. Dans une large mesure, pendant plusieurs décennies, le Front national a réussi à représenter un centre de gravité suffisamment important pour que la plupart des mouvements d’extrême-droite puissent le contourner. Sous la direction de Jean-Marie Le Pen, les membres et l’idéologie du FN étaient diversifiés et comprenaient des nationaux-révolutionnaires, des néo-nazis, des traditionalistes catholiques et bien d’autres.À bien des égards, le parti était suffisamment diversifié pour représenter de nombreux acteurs du spectre du nationalisme radical à l’extrémisme de droite. Avec la transformation progressive du Front national en Rassemblement national avec une stratégie visant à se rendre plus acceptable (et éligible) par un électorat plus traditionnel de droite et de électorat de droite et de centre-droit plus traditionnel, un nombre croissant de petits groupes d’extrême-droite ont émergé, dont certains développent de plus en plus leur propre identification distincte.

Bien que cette tendance soit perceptible, ces groupes se concentrent souvent sur des questions culturelles et politiques sans concourir aux élections, mais contribuent à mettre en lumière des questions qui sont ensuite souvent reprises par le RN. Ces groupes, les trois caractéristiques de la définition de travail de l’extrémisme de droite (la croyance en une certaine forme d’inégalité ou de hiérarchie naturelle entre les personnes ou les groupes de personnes, l’objectif implicite ou explicite de détruire le système démocratique et les droits de l’homme), sont des exemples de groupes d’extrême droite. La mesure dans laquelle ils sont prêts à utiliser la violence ou à la tolérer est plus difficile à évaluer chez certains d’entre eux. Ils peuvent être classées comme suit :

  • Mouvement identitaire (Génération identitaire, Les identitaires, Nissa Rebela). Ce mouvement est apparu au début du siècle. Il s’est basé sur les conclusions que la stratégie liée au FN n’était pas réussie. Par conséquent, leur stratégie a été modifiée, fortement influencée par les écrivains de gauche et le mouvement altermondialiste, notamment le concept d’hégémonie culturelle développé par Antonio Gramsci. Ainsi, les principaux partisans du mouvement identitaire se sont progressivement éloignés du FN et leur stratégie a consisté à essayer d’influencer le débat public sur des questions telles qu’un prétendu racisme anti-blanc ou la construction de mosquées.Étant donné le nombre relativement faible de militants et leur manque d’accès aux médias de masse, le mouvement identitaire s’appuie fortement sur les médias sociaux pour communiquer et comprend un certain nombre de YouTubeurs […]

Plus récemment ; l’émergence d’Eric Zemmour comme candidat à l’élection présidentielle de 2022 est un symptôme de la popularité accrue des idées sur le nationalisme radical au spectre de l’extrême droite.

Son programme est au moins de droite radicale, incluant des éléments de nationalisme culturel et ethnique (frein strict à l’immigration incluant la limitation du droit d’asile, aspect anti-musulman tel que l’interdiction du foulard dans les espaces publics), rejet des éléments libéraux de la société. Au cours de sa campagne ainsi que dans son rôle précédent de personnalité médiatique, il a promu des théories de la conspiration telles que le Grand Remplacement selon lequel il existe un stratagème d’une élite politique, économique et médiatique pour remplacer la population française (et européenne) par une population d’origine africaine. […]

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3 commentaires

  1. Conclusion à l’article :

    Vive Zemmour et en avant pour la Reconquête !

    R! Pour que la France reste la France, n’en déplaise à l’UE.

  2. Le salut de la France est dans la destruction de la Révolution maçonnique, LGBT, qui bâtit des temples à la grande sorcière,la Mère Veil.
    Tous les partis , de LFI au RN sont en adoration devant la LICRA et ses valeurs.

  3. Vive Zemmour et surtout Vive la France!

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