Partager cet article

Pays : Allemagne

Le fils refuse le cours d’éducation sexuelle : prison pour les parents

Lu ici (en allemand) :

"Anna Wiens, chrétienne russe d'origine allemande et mère de 12 enfants de Geseke (circonscription de Soest) doit faire 8 jours de prison (contrainte par corps = Erzwingungshaft) à Gelsenkirchen. Elle a été arrêtée le 24 avril. Un des ses fils, qui est en sixième, avait refusé de participer au cours d'éducation sexuelle. Ses parents n'ont pas voulu le forcer, ils voulaient "respecter le droit à sa personnalité" de leur fils. Le père a déjà fait pour cela l'objet d'une contrainte par corps de 7 jours il y a environ 4 semaines."

Partager cet article

20 commentaires

  1. Comme quoi les dirigeants d’outre-Rhin n’ont pas tout abandonnés des bonnes vieilles méthodes de Bismarck et du père Adolf pour se faire obéir.

  2. Et l’Allemagne veut donner des leçons à l’Europe… Et cela ne choque personne dans ce pays…

  3. Le nazisme n’est pas mort !
    Il renait en Allemagne comme en France…

  4. A quand les camps de redressement,les goulags pour leur réapprendre à penser comme ils convient?…A non c’est vrai ils sont une grande démocratie…Tout comme nous.

  5. le “pouvoir ennemi” est si sùr de lui que l’on peut craindre que la persécution des chrétiens rejoigne notre république. cf Popiulesco ! Aujourd’hui, notre liberté de penser est ici déjà mise en accusation.
    Ne pas mettre les prêtres en avant dans l’action politique, ne les protège plus.
    Peuvent-ils taire dans leur église que la vie est un don de Dieu intouchable, que la question de son respect est non-négociable, sans que les mères en détresse ne les pensent responsables de toutes les pressions faites sur elles pour qu’elle brade l’enfant. La loi veil ne propose pas d’autre solution …
    Face au genre proposé depuis Pékin 1995, face aux propositions de loi d’euthanasie, s’ils ne sont plus députés (depuis Kir), quel est leur rôle en interne, plus que de conseil privé ?
    Après 1975, à 12 rencontrant l’évêque : en ville, on nous dit que si l’Eglise ne dit rien, c’est que c’est permis !

  6. Mais qu’est-ce qu’on attend pour porter plainte contre l’Allemagne pour violation de la liberté de conscience ?
    ça urge, avant que cela débarque chez nous…

  7. Il serait plus juste de dire que le couple s’est retrouvé en prison, suite à ses refus de payer les amendes (de 75 à 80 euros) que demandaient l’Etat pour sanctionner l’absence non justifiée de leur progéniture à l’école.
    Les amendes ne s’avérant pas (à l’évidence) suffisamment dissuasives (puisque le couple a récidivé en violant la loi allemande, qui prescrit un enseignement obligatoire), l’Etat a donc usé de la manière forte, en recourant à la prison. Et encore…Puisque le couple n’a écopé que d’une semaine derrière les barreaux (l’Etat pouvant aller jusqu’à 2 mois).
    En fait, le couple mentionné n’a pas tenu compte de la jurisprudence de la CEDH (décision de 2011) qui dit que :
    -la Charte garantie “le droit des parents d’assurer l’éducation et l’enseignement de leurs enfants conformément à
    leurs convictions religieuses” (Article 14)
    Mais que :
    -la Charte ne garantie pas “le droit de ne pas être confronté à des opinions que ses
    propres croyances contredisent”.
    Autrement dit…L’Etat a le droit (au nom du pluralisme et du mandat que lui confie les parents en lui confiant leur progéniture) – et cela est vrai en Allemagne, comme en France – d’instruire les élèves sur tout sujet qui lui parait approprié (programme scolaire).
    De même – cela est valable pour la France, pour l’Allemagne j’ai un doute (mais il me semble que c’est également le cas – l’enseignant a une liberté pédagogique pour la mise en œuvre des programmes. C’est donc lui qui choisie les intervenants qui iront rencontrer les élèves, lui qui décide des supports et des sorties scolaires, lui encore qui détermine les axes sur lesquels il entend faire “classe”.
    Les parents donnent leur aval – en Allemagne comme en France – à un tel principe, en faisant trois choses :
    -ils inscrivent leur enfant (et acceptent donc de n’avoir aucun regard sur l’instruction donnée)
    -ils assurent leur enfant pour les sorties hors cadre scolaire (12-14 h, après 17 h)
    -ils votent pour des élus qu’ils chargent de déterminer s’il y a utilité à soutenir financièrement tel ou tel projet scolaire.
    …Bref, la “méthode” choisie par le couple allemand cité et par quelques autres, en France, fait parler d’elle, mais n’a aucune utilité sur le long terme, puisqu’elle crispe le corps enseignant, qui est donc moins “coulant” avec les parents venus demander des explications (courtoisement) ou faire des suggestions (courtoisement).
    Si l’on entend vraiment porter des coups (utiles) contre un enseignement qui parait régressif à certains, il faut donc user d’une méthode beaucoup moins “médiatique” mais extrêmement plus efficiente !
    -1 : demander à son assureur d’assurer sous condition (l’aval des parents) les sorties hors temps scolaire des enfants.
    -2 : discuter (courtoisement) avec l’enseignant et lui faire (courtoisement) des suggestions. Ex : remplacer le visionnage de “Tomboy” par “La Caverne de la Rose d’Or” (classe CE2 à 5ème) ou par une étude de deux personnages de la série Game of Thrones : Sansa et Arya. (Lycée voire collège)
    -3 : solliciter la mairie pour avoir un entretien avec l’élu(e) responsable des questions scolaires.

  8. @Seb
    “puisqu’elle crispe le corps enseignant”
    On croit rêver ! ces fonctionnaires auraient des état d’âmes ! les pov’chéris ! Cela conforte une nouvelle fois la thèse, trop connue pourtant !, qu’une dictature ne peut tenir que grâce aux milliers de “petites mains” (sales) qui font fonctionner la dictature.
    Il est grand temps que les citoyens tant allemands que français sortent de leur engourdissement consommateur et retrouvent leurs libertés élémentaires de parents (Merci à LMPT qui en France à déclenché le réveil salvateur) et d’homme libre face aux Etats dit démocratiques.

  9. Malheur à celui par qui le scandale arrive! même s’il s’agit d’enseignants qui pourrissent “courtoisement” les enfants, comme imposé “courtoisement” sous la protection de la CEDH.

  10. Ce que doivent bien comprendre les lecteurs, c’est que ces situations vont se retrouver en France d’ici peu. Les textes européens qui encadrent ces lois sont les mêmes pour nous.
    En France, nous en sommes a dire que cette éducation ne concerne pas les parents, que les enfants ne leur appartiennent pas et que l’éducation nationale n’a aucun compte a rendre.

  11. @seb: “ils inscrivent leur enfant (et acceptent donc de n’avoir aucun regard sur l’instruction donnée)”
    C’est là où ça coince: les parents “n’inscrivent” pas leur enfant, l’école est obligatoire (pas l’instruction), et à moins de se tourner vers le privé -pas du tout développé comme en France ni à la portée de tous- il n’y a pas non plus toujours le choix de l’école…
    Evidemment qu’ils auraient eu la possibilité de payer l’amende, mais c’est justement ce qu’ils ont choisi de ne pas faire, quel autre moyen d’opposition leur restait-il, à moins de s’écraser, et personne n’en aurait entendu parler.
    De plus il n’est pas vraiment courant de sanctionner les absences par des amendes, il faut accumuler déjà beaucoup d’heures séchées pour en arriver là.
    On n’a jamais non plus entendu parler de ce genre de conséquences quand ce sont des cours de sport ou de religion (ça fait partie du programme en Allemagne) qui ont été manqués, dans ce dernier cas l’appel à la “liberté de conscience” aurait sûrement très bien fonctionné…

  12. Les arguments présentés par Seb me semblent spécieux. La Liberté de conscience est absolue et ne doit souffrir aucun aménagement.
    En particulier, elle doit aussi s’étendre aux mineurs sous la responsabilité de leurs parents.
    Il n’est pas admissible que l’on impose aux consciences la propagande LGBT.
    Il n’y a pas à transiger.
    C’est une véritable guerre qu’il faut mener.

  13. prions pour ces parents, quelle belle leçon de résistance au système !
    des le plus jeune âge ces enfants manifestent leur courage, cela promet de beaux jours pour l’Allemagne et l’Europe!
    Ne peut-on attaquer un système qui prive des enfants de leurs parents même si c’est pour quelques jours?

  14. @Stephe : la question n’est pas de savoir si les enseignants ont des états d’âme, mais de savoir réagir face à des interlocuteurs que l’on souhaite convaincre. Vous aurez sans doute remarqué que l’on a tendance à se crisper quand on reçoit, pour la quatrième fois dans la journée, un appel d’une plateforme téléphonique, qui entend nous vendre un service ou un produit. De la même façon, je ne connais aucun employé qui accepte avec candeur et bonne humeur, les remontrances de son employeur (qu’elles soient justifiées ou pas). Les enseignants étant des individus comme les autres, il est normal qu’ils se crispent si on les agresse verbalement ou physiquement ou si on les harcèle.
    Le bon sens doit donc conduire toute personne, désireuse d’avoir un dialogue pertinent avec un enseignant, à agir de la façon la plus à même de le convaincre de son désir d’échanger avec lui, sans pour autant le dénigrer. Un peu comme le fait un commercial, qui ne jugera jamais vos choix – parce qu’il sait qu’il va vers un terrain glissant s’il le fait – mais posera, avec justesse, quelques questions qui auront tôt fait de vous conduire à reconsidérer vos positions.
    @Al : les parents inscrivent leur enfant dans un établissement scolaire, comme en France, même si (je vous l’accorde), notre pays permet encore de faire classe à domicile, ce qui n’est pas prévu en Allemagne. S’ils n’ont pas toujours le choix des écoles, ils peuvent néanmoins agir pour contrôler (un minimum) l’enseignement dispensé, en sollicitant les Landers (collectivité territoriale allemande) qui ont la main sur les programmes scolaires. Par comparaison avec la France, les Allemands peuvent agir beaucoup plus directement que les Français, puisque le niveau de décision est local.
    Il existe une volonté d’harmonisation, via la MKM – les « conseillers » éducation se rencontrent pour élaborer des programmes communs (du moins sur certains points) – mais aucune obligation générale de dispenser le même enseignement…Sauf pour les études supérieures où, si l’on veut obtenir une attestation européenne et une équivalence de diplôme, il faut une « nationalisation » des savoirs.
    Bref, les parents inquiets avaient d’autres possibilités, pour défendre leur point de vue, que de pratiquer la politique de la « grève scolaire ». Surtout en Allemagne où l’enseignement est (tout de même) plus ouvert, en ce sens que l’on encourage les élèves à faire preuve d’esprit critique, quand (en France), on aurait plutôt tendance à privilégier (en dépit des volontés du Ministre !) cours magistraux et transmission des savoirs.
    @ Nabulione : aucune liberté n’est absolue puisqu’elle a pour limite la liberté d’autrui. S’agissant des mineurs, une telle liberté ne peut leur être reconnue, car on estime qu’ils n’ont pas la capacité juridique pour le faire. C’est d’ailleurs pourquoi on a créé l’autorité parentale et pourquoi (par ex), Louis IX (20 ans) ne pourrait plus épouser Marguerite de Provence (13 ans) à notre époque.
    Il est d’ailleurs plutôt paradoxal de demander une telle reconnaissance (pour les mineurs en tout cas) alors même qu’on soutient (dans le même temps) que ceux-ci sont incapables de réfléchir par eux-mêmes (puisqu’on part du principe qu’on peut leur faire un « lavage de cerveau » sans difficulté aucune !)
    On ne peut pas demander – dixit la CEDH – un enseignement conforme à ses préférences religieuses, philosophiques ou que sais-je encore, dès lors qu’on fait le choix de placer ses enfants sous une autorité mandatée (en l’espèce, l’école publique) et qu’on entend que l’école soit le lieu d’une socialisation et d’une transmission des savoirs égalitaire. (Missions que les Français ont conférées à l’école par le biais de la Constitution et des principes constitutionnels)
    Si l’on ne veut pas voir son enfant soumis à un pluralisme d’idées, il faut opter pour le préceptorat ! (Qu’on fait soi-même ou qu’on délègue à un tiers) Parce que l’école ne peut pas faire un enseignement à la carte. Déjà qu’elle peine à aider des catégories d’élèves (handicapées, CLIS, etc.) alors s’il faut adapter (en plus) l’enseignement aux convictions des parents, on ne s’en sort plus !
    Si les parents ont des craintes, il faut qu’ils les expriment, de manière courtoise, à l’enseignant de leur enfant. Car c’est lui qui va dispenser un enseignement que les enfants vont (généralement) faire leur (pendant un temps) non pas parce que la propagande est bien rodée mais parce qu’ils vont faire un « transfert » d’affection vers le maître ou la maîtresse. Pour autant, même dans les petites classes (maternelles par ex), les enfants sont curieux et posent beaucoup de questions, qui montrent qu’ils commencent à développer un esprit critique. Et cela n’ira qu’en augmentant, car la fin de l’enseignant unique (à partir du collège) et du « transfert » (l’enfant va cette fois-ci se lancer dans le copiage des convictions de ses amis) sur l’enseignant, le conduit « fatalement » à s’interroger sur tous les aspects d’une thématique !
    Si l’on ajoute à cela que l’essentiel des déterminismes sociaux sont présents à cinq ans, les bonnes volontés du Ministre ne suffiront pas à changer la donne ! Même les bébés qui naissent, en France, pleurent en français !
    @ Mas Jean Marie : nul besoin des textes européens (directives, règlements) pour imposer la présence des enfants à l’école, quand leur parents ont fait le choix de les confier à l’instruction publique. Déjà, sous Jules Ferry, les parents qui gardaient leur progéniture pour œuvrer aux champs, se faisaient vertement sanctionner ! De nos jours, ce sont des lois nationales (qui datent, pour l’essentiel, de la III République et sont régulièrement modifiées à la marge) qui régissent les rapports entre l’Ecole et les parents.
    Dire que l’Education Nationale ne « doit rendre aucun compte » aux citoyens, c’est faux car la DDHC exige de toutes les administrations (et l’E.N en est une) rendent compte de leur pratique à tout citoyen (ou son représentant) qui en ferait la demande.
    Mais attention, un citoyen peut solliciter son député (ou son sénateur) pour qu’il interroge le Ministre (contrôle parlementaire) et il peut (aussi) saisir l’Académie ou le Rectorat, s’il est témoin de pratiques contraires aux directives ministérielles ou/et aux Code de l’Education. L’ex récent qu’on a (même s’il est critiquable), c’est l’enquête diligentée dans un lycée (ou un collège ?) parisien, suite aux témoignages de parents, d’enseignants et à la diatribe d’élus (en l’espèce, ceux de la Mairie de Paris).
    Les parents peuvent aussi, là encore s’ils ont des doutes sur un enseignement dispensé, l’Académie, pour qu’un inspecteur soit envoyé dans la classe de l’enseignant suspect…Même si, dans la pratique, les choses sont assez risibles, puisque les enseignants sont avertis (deux semaines à l’avance au moins) quand un inspecteur vient pour les noter ! A dire vrai, c’est souvent l’enseignant même qui sollicite la présence de l’inspecteur, pour pouvoir monter dans les échelons.
    En revanche, pour tout ce qui concerne les supports utilisés – ex : l’ABCD de l’Egalité – cela relève de l’enseignant seul. Le Ministre ne peut imposer un outil à un enseignant (liberté pédagogique), il peut simplement lui proposer un outil « clé en main ». C’est d’ailleurs pour cette raison que ce sont les enseignants (et non l’Etat) qui décident des livres qu’ils entendent faire étudier à leur classe ou encore eux qui décident des manuels scolaires utilisés. D’où, parfois, la perplexité de certains parents, qui ne comprennent pas pourquoi leur fils cadet ne peut user des mêmes ouvrages que son frère ainé, qui a pourtant eu le même enseignant.
    L’enseignant étant (quasi) tout puissant dans sa classe – le directeur d’établissement peut filtrer certains intervenants ou critiquer son schéma éducatif (ex : un prof de Philo qui parlerait de Platon à 75% pendant l’année et refilerait des photocopies des autres philosophes à étudier, le dernier mois !) mais pas intervenir sur le plan pédagogique. Si un enseignant, par ex, souhaite parler de Jean Moulin plutôt que de Guy Môquet, non seulement il en a le droit, mais ne sera pas sanctionné pour çà (dès lors que Moulin est étudié dans le cadre de l’histoire de la Résistance. Si l’enseignant aborde les Croisades et les compare à la Résistance, en revanche, il est commet une faute grave !)
    Bref, pour moi – qui suis marié à une enseignante qui connaît bien ses collègues – les parents qui entendent s’opposer à ce qu’ils considèrent être des propos propagandistes, ont tout intérêt à se rapprocher de l’enseignant de leur enfant, notamment pour lui suggérer des supports plus adaptés, car moins polémiques. Il faut savoir que les enseignants (contrairement à ce qu’on croit) détestent qu’on leur force la main. C’est pourquoi, quand M. Sarkozy a exigé une lecture particulière, beaucoup ont argué de leur liberté pédagogique pour s’y soustraire. Idem quand M. Copé a demandé qu’on censure « Tous à Poils », des enseignants l’ont-ils étudié en classe.
    Un comportement qui n’est (du reste) pas spécifique au corps enseignant (mais plus lié au caractère des Français) puisque la « Princesse de Clèves » moquée par M. Sarkozy, est devenue un carton ! Et si le film « Tomboy » fut un succès sur Arte, il le doit aux appels à la censure dans les écoles, dudit film ! La censure, de toute façon, a toujours été un moyen superbe de développer l’intérêt du public ! Qu’on se souvienne des pamphlets contre Marie Antoinette ou de certaines pièces de théâtre !
    Les enseignants sont très réceptifs, dès lors qu’on vient vers eux, non comme des mercenaires, mais comme des partenaires dans l’éducation des élèves. Si leur démarche pédagogique n’est pas mise en cause, ils accepteront (90% de réussite) facilement de troquer un support contre un autre.

  15. Petit rappel:
    L’instruction obligatoire, désormais appelée « obligation scolaire », est fixée dans le 1er livre du Code de l’éducation (art. L131 et suivants). L’article L. 131-2 dispose ainsi :
    « L’instruction obligatoire peut être donnée soit dans les établissements ou écoles publics ou privés, soit dans les familles par les parents, ou l’un d’entre eux, ou toute personne de leur choix4. »

  16. S’il vous plaît, “seb | 2 mai 2014 02:16:02”,
    “garantit” (et non “la Charte garantie” et “la Charte ne garantie pas”
    “choisit” (et non “lui qui choisie”)
    Je sais bien que ces coquilles, que je mets volontiers sur l’heure de votre commentaire, ne heurteront que peu de lecteurs, surtout hélas parmi les jeunes enseignants.
    Pour aller plus loin à propos de l’ABCD de l’égalité:
    https://www.youtube.com/watch?v=O_FK3EgzBY4
    (5 minutes environ)

  17. Bien la peine de nous noyer dans la propagande télévisuelle actuelle …les nazis ceci , les nazis cela …
    Les nazis sont un pur produit illuminati , comme l’est la théorie du genre et autres perversions .
    Et si le garçon assistait au cour avec des lunettes noires et des boules Quiès ???

  18. @Nabulione : Diable! “la Charte garantie” et “C’est donc lui qui choisie” cela ressemble à l’orthographe de mon voisin prof lorsqu’il m’écrit..
    La compétence de nos donneurs de leçons est hélas la première en cause. Cela démontre un manque d’apprentissage des fondements. On s’étonne après qu’ils veuillent enseigner n’importe quoi! La plupart manquent hélas de la culture nécessaire pour comprendre la nocivité de leurs démarches, drapées de bonne volonté… Hélas, “L’homme n’est ni ange ni bête, mais le malheur veut que qui veut faire l’homme fait la bête” disait Blaise Pascal..

  19. @ C.B : merci pour le correctif. J’avoue ne pas avoir pris le temps de me relire.
    @Gisèle : je ne pense pas qu’il faille chercher aussi loin les motivations de certaines personnes.
    S’agissant des études du genre, il me semble que l’on peut reprocher au Gouvernement (actuel mais le précédent également) et à sa majorité, de valider des concepts sans esprit critique ou/et sens pratique !
    On demande, par ex, aux professeurs, d’analyser l’habillement, pour faire apparaitre le déterminisme social. Le “problème”, c’est que cela ne va pas de soi.
    On nous explique, par ex, que les habits sont sexués : la robe et la jupe pour les femmes ; les pantalons (ou plus exactement les chausses) pour les hommes. Le “souci” c’est que, même à notre époque, des hommes porte la robe ! Les avocats par ex ou les cardinaux ! Si, effectivement, le Code Civil va connoter le vêtement, on ne peut pas dire que l’habillement, jusqu’à là, ait servi à distinguer les sexes. Il a beaucoup plus surement (comme l’explique du reste les livres sur “la mode”) servi à séparer les classes sociales !
    On demande aussi aux professeurs d’interroger les élèves sur les couleurs. Le bleu par ex, qui aurait toujours été associé aux hommes. Ex : le bleu roi. Le problème, c’est que quand on regarde qui portait du bleu, on s’aperçoit que c’était surtout les femmes, et surtout les mères. Et pour cause, le bleu était lié à Marie ! Là encore, on fait peser sur une couleur, un déterminisme social de genre qui n’a pas lieu d’être.
    C’est un peu comme si l’on prétendait que le rouge, couleur impériale, était la prérogative des hommes. Là encore, on s’aperçoit que cette couleur servait à séparer les classes sociales ! Les sénateurs Romains pouvaient ainsi porter du rouge ainsi que la famille de l’Empereur, sœurs comprises !
    Bref, par facilité, on explique toute chose par un déterminisme social de genre, qui n’a pas beaucoup de sens.
    Même le Code Napoléon, qui pourrait s’apparenter à un déterminisme social, en ce qu’il définie la place des femmes et des hommes dans la Société, est plus complexe qu’on ne le dit. Car peut-on sincèrement penser que Napoléon Bonaparte est convaincu (de part son éducation) qu’une femme lui est inférieure parce que femme…Ou bien faut-il voir dans ce Code le reflet de son expérience du Directoire, régime qui accordait une liberté certaine aux femmes (que Napoléon admirait du reste) d’esprit ou considérée comme telle…Y compris à la sienne, qui n’hésitait guère à le tromper publiquement ?
    Je ne suis, personnellement, pas convaincu que ce soit un déterminisme social de genre qui ait été ici à l’œuvre. Joséphine aurait elle eu une conduite plus vertueuse, après leur mariage…Il n’en point sur que Napoléon se serait montré si dur avec les femmes !

  20. Tiens, Tonton serait de retour outre Rhin ?
    L’Allemagne, le cloaque européen comme le disant un de mes amis qui malheureusement est obligé d’y séjourner !

Publier une réponse

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services