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Homosexualité : revendication du lobby gay

Le député Jean Pierre Gorges contre le statut du “faux-parent”

Voici un extrait de la réaction du député d'Eure-et-Loir interrogé par un lecteur sur le projet Morano :

G "Vous avez souhaité attirer mon attention sur le projet de loi relatif à « l’autorité parentale et aux droits des tiers ». Je suis comme vous très attaché à la famille, cellule de base essentielle au développement et à la stabilité de notre société, et aux principes qui en découlent, à savoir :

  • le droit fondamental de l’enfant d’être accueilli et de pouvoir s’épanouir dans une famille composée d’un père et d’une mère
  • la primauté des parents biologiques
  • le droit de l'enfant et non le droit à l'enfant
  • l'intérêt de l'enfant, qui doit primer dans toute décision.

[…] J'ai également apporté mon soutien à l'Entente parlementaire initiée par Jean Marc Nesme, député de Saône et Loire, et Bernadette Dupont, sénateur des Yvelines. Cette entente, créée en 2006, a pour objet la défense du droit fondamental de l'enfant d'être accueilli et de s'épanouir dans une famille composée d'un père et d'une mère. Nous souhaitons également peser sur les dispositions de ce texte."

MJ

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3 commentaires

  1. Oui, mais il a dit aussi : “Mais il nous faut tenir compte des évolutions de notre société : 1 enfant sur 2 nait hors mariage, près de 2 millions d’enfants vivent au sein d’une famille recomposée, 3 millions dans un foyer monoparental et près de 30 000 enfants seraient élevés, selon l’Institut National des Etudes Démographiques, par deux adultes de même sexe.
    Ces nouvelles configurations ont conduit Nicolas Sarkozy dans son projet présidentiel à prendre un engagement devant les Français : celui de faciliter la vie quotidienne de ces familles en instaurant un statut du beau-parent. En effet, la loi actuelle sur la délégation-partage de l’autorité parentale suppose une procédure très lourde, pouvant prendre plusieurs années devant le juge aux affaires familiales.”

  2. AMarie a tout à fait raison, ils usent tous d’une même et vielle ficelle : bien sûre un enfant a droit…mais les fait sont là et tous ces pauvres enfants qui vivent entre deux papas ou deux mamans, vous leur refusez donc les mêmes droits que les autres…. L’avortement, l’euthanasie, la recherche embryonnaire ont et usent d’une même stratégie d’une véritable”charité” inversée, histoire de présenter les détracteurs de ces lois comme des gens vraiment..sans cœur !

  3. C’est pourquoi il faut aider ces personnes évoluant au minimum en plein relativisme si ce n’est en pleine idéologie révolutionnaire, de par le principe des vases communicants désormais institué entre les partis, à discerner le bon droit et l’enjeu tragique et historique du sujet au regard de l’humanité.
    Monsieur Gorge fait au moins état ici du lien entre la stabilité de la société et la famille naturelle. Il parle aussi de ” non droit à l’enfant.” Ce sont des notions fortes.
    Il convient dès lors à ses électeurs de l’engager et de l’encourager à assumer ses responsabilités implicites à cet égard, et au besoin de lui faire appréhender que les électeurs lucides n’auraient plus aucune raison de se déplacer pour quelque scrutin que ce soit, si de tels engagements prioritaires n’étaient pas tenus ou aboutissaient à un échec.
    Compte tenu de la nature humaine, le libéralisme n’est pas nécessairement une doctrine pire qu’une autre, sauf lorsqu il aboutit à ne plus connaître les frontières élémentaires à respecter pour le bien de l’homme, ce qui en théorie demeure également son objectif.
    Il faut reconnaître que ce n’est pas facile pour ces personnes qui pour beaucoup ont « cru » qu’au fil du temps, les choses allaient s’arranger un peu d’elles-mêmes par le jeu d’un Système auquel certains croient assurément de bonne foi.
    Malheureusement l’histoire leur donne tort, puisque nous sommes à présent rendus à un point de non retour : ou bien le petit d’homme devient plus que jamais dans son histoire un bien au service des désirs désordonnés de l’homme, ou bien on s’en tient humblement et respectueusement à l’ordre naturel et l’on met la société au service de sa parfaite éducation.

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