Pierre Barnérias, réalisateur du film Hold-Up, commente le nombre de morts réels de la Covid en France (certifiés électroniquement) et la stratégie vaccinale du gouvernement à partir de documents officiels consultables par tous :
La vidéo vient d’être censurée par You Tube mais on peut la retrouver sur facebook ou encore sur Odysee pour l’instant.
Le document de Santé Publique France est accessible en téléchargement sur ce lien et on peut effectivement y lire les informations suivantes pages 42 et 43:
Mortalité issue de la certification électronique des décès
Parmi les certificats de décès rédigés par voie électronique et transmis à Santé publique France depuis le 1er mars 2020, 41 502 certificats contenaient une mention de COVID-19 parmi les causes médicales de décès renseignées (Tableau 10).
– L’âge médian au décès était de 85 ans et 92,7% des personnes avaient 65 ans et plus.
– Les hommes représentaient 55% de ces décès.
– 55% de ces certificats de décès contenaient une mention d’infection au SARS-CoV-2 confirmée.
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Des comorbidités étaient renseignées pour 27 031 décès, soit 65% des certificats de décès présentant une mention de COVID-19. Une mention de pathologie cardiaque était indiquée pour 35% de ces décès et d’hypertension artérielle pour 22%.
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Sur l’ensemble des décès certifiés électroniquement, 2% des personnes décédées ne présentaient pas de comorbidité (ou pas de comorbidité renseignée) et étaient âgées de moins de 65 ans.(…)
Philippe de Geofroy
Il y a probablement un biais dont je ne peux pas évaluer l’importance car en 2018 les certificats de décès électroniques ne représentaient que 16% du total des certificats de décès, probablement un peu plus aujourd’hui. Il faut donc attendre les statistiques définitives après saisie des certificats papiers majoritaires.
Cela dit le fait que cette maladie touche le plus gravement les personnes âgées, et/ou avec comorbidités, n’est pas une révélation.
Hubert
Bien sûr qu’il y a un biais : les chiffres du gouvernement sont gravement exagérés et il y a beaucoup moins de morts du covid que ce qu’on veut nous faire croire.
Sinon il ne vous aura pas échappé que le plus grave est la dictature sanitaire et l’avenir de vaccination obligatoire qui se dessine. Tout cela aura été rendu possible par un simple renommage de la grippe. Tels de vulgaires ordinateurs de bureau, nous serons bientôt tous équipés d’anti-virus à mettre à jour tous les 6 mois. Merci Bill Gates
Philippe de Geofroy
Si qui ne m’a pas échappé c’est que les vaccinations obligatoires ne datent pas d’hier, mais que l’énervement à ce sujet date essentiellement d’aujourd’hui… et d’ailleurs la vaccination covid n’est toujours pas obligatoire même pour les professionnels de santé, contrairement à la vaccination hépatite B..
Lebreton
Bonjour,
Au contraire la vaccination dérange et depuis bien longtemps.
Vacciner des bébés contre tous un tas de bactéries ou virus qu’ils ne croiseront jamais ou pas avant très longtemps est inacceptable.
sivolc
Tout à fait d’accord. La première décision de la Buzyn a été de rendre obligatoire la vaccination des bébés par ONZE vaccins, sans demander l’avis de personne! Quant au vaccin contre la grippe offert par la sécu nombreux sont ceux qui ne le faisaient pas. Ce vaccin ne marchait que si le mutant de l’année était celui prévu par les ordinateurs des fabricants de vaccin , faute de quoi le vacciné l’attrapait et il était bon pour une bonne grippe vaccinale! Aujourd’hui c’est pire car les injections de thérapie génique, improprement appelées vaccins, sont soupçonnés d’être à l’origine de la sortie de nouveaux mutants, contre lesquels Big Pharma voudra aussi nous “vacciner” ….jusqu’à perpète!….
Collapsus
Quelques voix lucides qui hurlent ci et là dénonçant cette escroquerie monumentale de l’épidémie et du vaccin portées par quelques sites internet confidentiels contre une masse énorme amorphe et apeurée, gavée de désinformation officielle, soutenue par 98 % des medias grand public. Que peuvent-elles peser ? C’est David contre Goliath, une guerre d’arrière garde où la désespérance rivalise avec la lassitude.
Jamais on aura pu autant mesurer le manque de sain discernement autour de nous. C’est à désespérer d’inverser un jour la tendance déclinante de notre société.
ThMortier
Sur le nombre de morts, les chiffres sont d’une grande imprécision, puisqu’être mort avec la covid ne signifie pas être mort du covid. Si l’OMS vient de déclarer que les chiffres seraient sous-évalués d’un facteur 2 à 3 (https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/05/21/covid-19-dans-le-monde-le-bresil-a-detecte-des-premiers-cas-de-variant-indien_6080956_3244.html), encore faut-il savoir préalablement de quoi on parle, et commencer par donner une définition. Par exemple “est mort du covid celui qui, s’il n’avait pas contracté cette maladie, aurait eu une probabilité de plus de X% de vivre encore une durée de [espérance de vie]/[age de la personne]”, le coefficient X étant calculé à partir des autres facteurs de comorbidité”. A ma connaissance, cette définition n’existe pas, aussi les chiffres de la mortalité Covid n’ont pas grand sens, voire aucun du fait de leur caractère international, et donc des différences méthodologiques entre pays.
Il semble cependant raisonnable que l’on puisse estimer la létalité de ce virus en France en mesurant l’écart de mortalité générale, corrigée par l’effet “vieillissement moyen” de la population, ce qui devrait donner entre 25 et 40.000 morts par an, ce qui reste objectivement peu (la mortalité liée au tabagisme est estimée à 70.000, le nombre d’avortements est à 200.000). (chiffres disponibles via l’insee https://www.insee.fr/fr/statistiques/4923977?sommaire=4487854)
Bien sûr, les contempteurs du pouvoir en place diront que cette mortalité “serait beaucoup plus élevée si on avait rien fait”. Cela n’est pas démontré, d’une part parce que les écarts de mortalité entre les pays qui n’ont rien fait et ceux qui ont fait beaucoup sont assez peu significatifs (ce qui ne signifie pas la négation de l’effet positif de certaines mesures, comme par exemple se laver les mains, mais il est absolument certain que le masque à l’extérieur est totalement absurde), et d’autre part parce que les morts évitées d’un côté sont compensées par d’autres (suicides, retards de traitements, décès dus à la solitude). Ces mêmes contempteurs ne manqueront pas de conclure à l’efficacité de la politique du gouvernement, puisque la transmission du virus va baisser naturellement cet été ! (comparaison entre pays disponibles sur france info https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/infographies-covid-19-morts-hospitalisations-age-malades-l-evolution-de-l-epidemie-en-france-et-dans-le-monde-en-cartes-et-graphiques.html)
A cette aune, la décision de perturber lourdement l’économie du pays, avec son cortèges d’atteintes aux libertés, pour un coût actuel d’environ 450 milliards d’euros financés par de la dette, est pour le moins extrêmement discutable.
L’adoption de cette stratégie du tout-vaccinal, l’absence de renforcement des moyens hospitaliers, la quasi interdiction des traitements non-vaccinaux, la présentation médiatiquement biaisée des éléments sur la crise, pour ne pas dire mensongère, tout cela devient franchement suspect lorsqu’on met en face le nombre important d’effets indésirables, les nombreux cas de contamination après vaccination, et l’augmentation de la mortalité (les hospitalisations baissent, mais la mortalité s’accroît) dans les pays hautement vaccinés. A ce sujet, les analyses les plus complètes à mon sens sont celles publiées par le Gal Delawarde, qui suit cette crise depuis ses débuts (voir par exemple https://www.breizh-info.com/2021/02/15/159061/vaccination-delawarde-covid-19/ mais il est publié aussi sur d’autres sites).
Sur la partie vaccinale, force est de constater une certaine hystérie de la part du pouvoir, dans sa volonté de vacciner tout le monde de gré ou de force, attitude qui n’a pas lieu d’être, considérant la faible létalité du virus, et les alternatives disponibles. Effectivement, la vision “complotiste” (utiliser une crise de faible intensité pour atteindre des objectifs sans rapport avec elle) prend une certaine consistance, pour ne pas dire une consistance certaine.
On peut, y rajouter, et c’est mon cas, une inquiétude que certains pourront trouver superstitieuse, mais que les bienveillants jugeront spirituelle. Car enfin, nous avons appris que “tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom.”tous seront marqués du chiffre de la bête et que personne ne pourra acheter ou vendre sans en être marqué” (Apoc. 13:14). Or cette tentative de vaccination mondiale avec des jus douteux (comportant pour certains des fragments de matériel génétique de foetus avorté, ce qui est quand même une bien vilaine cuisine, même aspergée d’eau bénite), incomplètement testés, adressant directement les mécanismes d’information génétique pour les vaccins à ARN, ne ressemble-elle pas à ce marquage apocalyptique ?
J’attend les réactions des lecteurs de ce forum ! Partagez vous aussi cette appréciation ?
Collapsus
Vous devez être assez nouveau sur ce forum où une unanimité en faveur de vos propos règne depuis au moins un an. Et l’actualité semble confirmer ce que nous prévoyions déjà depuis un certain temps.
Tout a été dit à ce sujet, la cause est plaidée et vraisemblablement perdue.
collinrem
Vous avez bien exprimé et résumé en quelques phrases, merci.
Philippe de Geofroy
Pour ce qui est de la cause de la mort on n’a pas modifié la façon de faire avec le COVID. On note la cause immédiate de la mort. Si un patient insuffisant cardiaque de 95 ans meurt après avoir contracté le COVID il est “étiqueté” mort COVID, même si son espérance de vie était faible. Et ça vous choque qu’il soit noté “mort du COVID”, mais s’il était mort d’un accident de la route dans l’ambulance l’amenant à l’hôpital il serait noté mort par accident. Ça n’est pas parfait mais on fait comme ça depuis bien avant le COVID. Et il y a certainement des gens qui sont morts à domicile du COVID sans avoir de test et qui n’ont pas été “étiquetés” COVID.
Mais le problème du COVID est plus le nombre d’hospitalisations que la mortalité brute. Le système de soin n’était pas adapté à cette épidémie et il s’adapte, comme tout système bureaucratique, à la vitesse de l’escargot emballé.
Philippe de Geofroy
Pour le vaccin il est effectivement sans intérêt de vacciner d’autres personnes que les sujets à risque. Vaccin qui ne protège pas à 100%, n’empêche pas la transmission mais qui divise par 10 le nombre de cas graves…qui encombrent les hôpitaux. Mais je sais qu’il est difficile de faire passer une opinion nuancée sur ce sujet.
lavergne21
Oui, j’avais lu ce passage de l’Apocalypse. Oui, il me semble d’actualité. A l’époque la “Bête” désignait le pouvoir de l’empire romain : “mutatis mutandis ” que croyez-vous qi’il désigne aujourd’hui ?
lavergne21
Message adressé à Th Mortier
Classico
Il y a plus morts en 2020 parce que la population vieillit. C’est tout. Mais l’intensité n’a rien d’exceptionnel, c’est du même ordre que la grippe de 2017
Denys Perrin
@ ThMortier
Êtes-vous sûr d’utiliser le mot ‘contempteur’ à bon escient ?
“Contempteur : Celui, celle qui méprise, critique violemment et avec mépris”, les vôtres ont tout l’air d’être d’accord avec les mesures gouvernementales
:o)
Denys Perrin
Le plus inquiétant, et de loin, c’est (à partir de 4:30) cette vaccination ‘en anneau’ devenue officielle
lavergne21
Et après, on fait quoi ???