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France : Société

Le collégien de Rennes est décédé

Ce matin. Il était âgé de 13 ans. RIP.

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18 commentaires

  1. il est décédé, ou bien on l’a décédé ? On ne sait plus trop…
    Il y a tellement peu de “donneurs”, et tellement de “demandeurs” d’organes, que dans la plupart des hôpitaux publics on maintient en vie une personne dont le retour à une vie jugée “normale” n’est pas possible, et sitôt qu’on a une demande pour un organe on “décède” cette personne pour prélever.

  2. Les parents devraient faire opposition aux dons d’organe jusqu’à la majorité de leurs enfants. Cette opposition se fait par avance, on n’attend pas l’accident pour se décider.
    Ensuite les majeurs décident par eux-mêmes.

  3. D’accord avec Kral, les “morts cérébrales” entraînent le dépeçage.
    Curieux d’ailleurs une société qui massacre les innocents et les innocentes dans le ventre de leurs mères et qui, à l’en croire, tient tant à prolonger la vie d’autres personnes qui, en réalité, traîneront en tous les cas une vie diminuée.
    Ces contradictions découvrent une ambition prométhéenne soigneusement cachée qui n’a rien à voir avec l’amour de la vie.

  4. @Kral : donc, si on suit votre raisonnement, on aurait dû le “décéder” tout de suite, puisqu’on sait d’avance qu’il y a toujours des demandes d’organe. Mais comment expliquer qu’il y ait tant de gens dans des services de soins intensifs et dans des centres de rééducation puisqu’il est clair qu’ils ne reviendront pas à une vie “jugée normale” ? A vous lire, on aurait dû les “décéder” eux aussi, non ?

  5. Une fois de plus, on va nous saouler de commentaires médiatiques oiseux sur la confrontation des jeunes à la violence et “l’omniprésence de la violence dans l’actualité, les films, sur internet” et sur la queue du raton laveur…
    Alors, quitte à en choquer certains, je reprends l’argument que j’avais déjà développé il y a dix ans dans le Libre Journal de Beketch.
    La question n’est pas à mes yeux la violence, ou l’exercice étalé de la violence, mais bien le traitement médiatique volontairement aseptisé qui y est associé!
    Là est le problème majeur!
    Il n’y a pas une photo, pas un reportage d’actualité qui ne soit accompagné de la formule lénifiante: “attention, certaines images peuvent choquer la sensibilité de certains téléspectateurs” quand ce n’est pas “certaines images ne seront pas diffusées en raison de leur violence”, etc…
    Bref on “consomme” la violence comme l’alcool “avec modération”.
    Et c’est cela qui est criminel!
    Car le rapport des jeunes (en particulier!) à la violence devient ce que les jeux vidéos où les images d’actualité “choisies” leur laissent croire!
    On leur distille à dessein une image édulcorée de la violence.
    Une image banalisée, habituelle, “soft”, toujours renouvelée et totalement déconnectée de la réalité.
    Un exemple que nous voyons dans presque toute série policière à un moment où à un autre, sans parler des films de Silverster Stalone ou de Clint Eastwood (sans stigmatiser plus particulièrement ceux-là, liste non limitative!), c’est celui du héros qui se fait massacrer par les “vilains”…
    Après trois coups de barre de fer sur la tête, deux coups de crosse et trois coups de pied au foie pour faire bonne mesure, le héros, écrasé au sol, brusquement se redressse, se relève “comme si de rien n’était” et envoie les “méchants” au tapis…
    Comment des ados qui sont saturés de cela film après film pourraient imaginer que la réalité n’est pas cela?
    Avec un coup de pied au foie, le “héros” ne va pas se relever: il va rester cloué au sol et mourir d’une hémoragie interne! Cela c’est la réalité qui n’est jamais mise en scène et jamais évoquée!
    La responsabilité de la violence et ses conséquences ne sont jamais mises en relief!
    Alors comment s’étonner qu’en jouant “comme au cinéma” on en arrive à des drames épouventables?
    Les premiers surpris et épouventés des conséquences de leurs actes sont les acteurs eux mêmes de ces coups quand rien ni personne ne leur a jamais évoqué ou simplement suggéré la réalité des conséquences!
    Faut-il alors “rajouter de la sauce tomate” pour frapper les esprits et leur faire prendre conscience de conséquences de ces actes?
    Je n’en sais rien.
    Ce dont je suis sur c’est que l’aseptisation de la violence est la pire des choses pour en faire comprendre les conséquences!

  6. Le meurtrier est un Tchétchène , la victime est un breton, assassiné par strangulation : richesse de la diversité, et remerciements de gens que nous avons sorti de l’enfer de la guerre.
    A noter que personne parmi les élèves n’est venu au secours du plus faible agressé. Peur des autres Tchétchènes et de leur culture ultra violente ? Ou simplement égoïsme et indifférence dans la culture de mai 68 ? C’est la nouvelle solidarité française.
    “Selon un syndicaliste policier breton contacté par Le Figaro, l’agresseur [16 ans] serait d’origine Tchétchène. «La communauté tchétchène est importante à Rennes et Vannes», dit-il. Killian, [13 ans] «de constitution frêle» selon les policiers sur place, «a été frappée par son agresseur qui lui a mis deux coups de poing puis s’est acharné sur lui en l’étranglant, le mettant en détresse respiratoire». Quand le SMUR est arrivé sur les lieux du drame, la victime était «en arrêt ventilatoire». Le jeune garçon a été réanimé dans le véhicule des sauveteurs, puis il a fait «un second arrêt ventilatoire durant le transport à hôpital».”
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/06/22/01016-20120622ARTFIG00762-un-collegien-de-13-ans-decede-apres-une-bagarre-a-rennes.php
    Repose en paix Killian.

  7. un Tchétchène a assassiné un breton. Pas de plainte en justice de SOS-Racisme ou du MRAP comme lorsque un jour de football italien “de souche” avait fait une réflexion à un joueur français d’origine nord-africaine. Pas non plus de mobilisation prévue du côté de Mme Taubira ou de Copé-Fillon-Pecresse-NKM. Nous savons à l’avance que même si personne ne sait rien, “cela n’avait rien à voir avec le racisme”. Bien sûr.

  8. Et le prénom du tueur, dont on va très vite nous dire qu’il est “dévasté”:
    “Killian, 13 ans, n’avait aucune chance contre Souleymane, jeune musulman de 17 ans”
    http://www.dreuz.info/2012/06/encore-une-semaine-datrocites-musulmanes-en-france/

  9. Un article un peu provocateur, mais tiré de faits authentiques. J’ai édulcoré le texte :
    Encore une semaine d’atrocités musulmanes en France
    http://www.dreuz.info/2012/06/encore-une-semaine-datrocites-musulmanes-en-france/
    “Killian, 13 ans, n’avait aucune chance contre Souleymane, jeune musulman de 17 ans (…)
    Il est 10 heures, c’est la récréation au collège Cleunay de Rennes. Souleiman 17 ans, s’en prend à Killian 13 ans. Souleiman est musulman : il s’attaque à la gorge, et étrangle sa jeune victime, qui reste sur le carreaux, inanimée. Un professeur lui fait un massage cardiaque, les pompiers le transportent à l’hôpital en évitant les « quartiers sensibles » ou les camions de pompiers se font caillasser. A l’hôpital Anne-de-Bretagne, au sud de Rennes, le jeune Killian est mort.
    (…)
    A Lyon (2), il y a quelques jours, un autre garçon de 14 ans a été aspergé d’essence au pied de l’immeuble du quartier des Marronniers, une autre cité « classée sensible ». Sensible à quoi ? Un jeune musulman a vidé une bouteille d’essence sur un autre du même âge, puis a mis le feu à ses vêtements. La victime a été brûlée au troisième degré, et a été transportée aux urgences par un voisin.
    A Saint Denis en région parisienne (3), 5 jeunes musulmans de 14 à 16 ans ont violé une adolescente de 13 ans. A deux reprises. Ils sont tous scolarisés au collège Garcia-Lorca, à St Denis. Les viols se sont produits dans les parties communes de la cité. Deux filles ont joué les rabatteuses, et ont manipulé l’adolescente pour l’entrainer vers l’endroit où elle a été violée, une première fois par cinq garçons, une seconde fois par trois d’entre eux. (…)
    La famille a décidé de quitter la ville le plus vite possible. Elle a peur de représailles pour avoir brisé la loi du silence dit la dépêche. Ce qu’il faut comprendre, c’est que d’autres cas existent, et que personne n’en parle, de peur.
    En septembre de l’année dernière déjà, à Carpentras (4), une trentaine de « jeunes » de 16 à 22 ans avaient été jugés pour avoir violé pendant un mois, dans des caves ou dans des hôtels, une jeune fugueuse de 14 ans, qui avait fini par s’enfuir. Le procès, qui laisse la justice transformer les violeurs en « enfants terribles » fut à vomir, il mérite qu’on y revienne.
    A Dignes-les-bains (5), avant hier soir 21 juin, la fête de la musique a dégénéré en affrontements communautaire. 200 musulmans ont attaqué le commissariat après que trois « jeunes » – trois musulmans donc, qui avaient agressé des policiers, se soient fait interpeller. Les policiers ont dû user de grenades lacrymogènes pour se dégager. Deux policiers ont été blessés et brièvement hospitalisés. (…)
    De plus en plus de voitures brûlées à Clermont-Ferrand
    A Clermont-Ferrand (6), dans les quartiers nord de la ville, quatre voitures ont encore brûlé. Le nombre de voitures incendiées par des jeunes musulmans – oui, encore et toujours des jeunes musulmans j’insiste je répète et je souligne car cela doit être dit et répété – a explosé depuis les élections.
    Un voisin témoigne :
    Juste après l’élection présidentielle, on en a onze qui sont arrivées d’un coup. Ça a marqué le changement. Il y a des coins sensibles. Toute la périphérie de Clermont, y compris la campagne. Il y a aussi Saint-Jacques et les Vergnes. C’est un concours entre eux. Note de JPG : eux, sont également désignés comme l’avenir de la France.
    Pendant qu’à Toulouse, cette semaine, un musulman se revendiquant d’al Qaida prenait des otages dans une banque pour « motif religieux » et tentait de mettre le feu à l’établissement, Naamen Meziche (7), un autre musulman djihadiste né à Paris, (…) haut responsable d’al Qaida, a été arrêté au Pakistan (…)serait directement connecté à la cellule allemande qui a préparé les attentats du 11 septembre.
    PS : On me reproche régulièrement de mentionner la religion des délinquants et des criminels. Tant que personne n’osera examiner les causes du taux très élevé de criminalité chez les musulmans, tant que les médias tenteront de le cacher, pour donner à croire qu’il est en baisse, j’entends user de ma liberté de parole pour la rappeler, surtout lorsqu’encore un adolescent a été tué.
    (…) http://www.Dreuz.info

  10. @Saint-Plaix: inversement, la série 24 heures est sans aménité sur la question de la violence: confronté au mal, le héros doit sans arrêt exercer une violence (très clairement montrée) qui le conduit à devenir de plus en plus seul, mais qui par contre lui permet de sauver la vie de milliers de gens menacés par les “méchants” (terroristes en l’occurrence). C’est une série passionnante de ce point de vue. Cependant, il est vrai que
    1. beaucoup de gens ne peuvent pas la regarder plus de quelques heures en raison justement de cette crudité de la violence montrée à l’état brut
    2. on a accusé la série d’être à l’origine de la brutalité des gardiens de Guantanamo, je ne sais pas ce qu’il y a de vrai dans cette accusation.
    Cette série n’est pas parfaite, mais la question qu’elle pose sur la possibilité d’un monde sans violence, sur le cheminement d’un homme voué à sauver des vies tout en perdant la sienne, est réellement passionnante.
    Et si, en effet, beaucoup de films qui montrent des scènes de guerres les édulcorent au point que le spectateur ne se rend plus compte de la réalité (remarquez, je pense qu’il en était de même autrefois, quand un jeune homme pétri des récits héroïque faisait son premier baptême du feu sur un champ de bataille, à la manière du héros des Croix de Bois), il est vrai que voir ne serait-ce qu’une fois la réalité de cette violence peut en détourner à jamais – on peut dire ainsi que la démarche qui consiste à NE PAS montrer la réalité de l’avortement rentre dans vos catégories de “violence édulcorée”, comme la volonté de NE PAS parler de la violence de l’agonie, de la déchéance morale et physique de nos vieux – et soudain, quand notre parent est touché, c’est l’effroi: on ne SAVAIT PAS qu’il y avait cela DANS la vie.

  11. en dehors de ce qui est dit plus haut, deux questions se posent à moi (et restent sans réponse …)1°) oui ou non l’agresseur venait-il d’être intégré -en fin d’année – dans ce collège réputé ranquille, et pourquoi ?les autorités ont changé de musique au fur et à mesure des commentaires … 2°) dans les anciens lycées et collèges, on séparait les cours de récré des “moyens” et des “grands”, et pas seulement “chez les curés”, relire Marcel Pagnol et son combat contre Pégomas au lycée de Marseille…le sensde la bagarre n’est pas nouveau mais a)il était sanctionné et b) des précautions étaient prises pour éviter le pire.
    Ajoutez l’absence de sens civique et le manque de surveillants (privés, de plus, de tout pouvoir). Quant au “reste”, d’autres viennent de le dire avant moi !

  12. En chrétienté, faute avouée est à moitié pardonnée.
    En islam, faute contre non-musulman n’a pas d’existence, et faute non reconnue n’existe pas.

  13. Un réfugié tchétchène… le renverra-t-on chez Vladimir Poutine ?
    Quelle honte que nous soyons si laxistes, les victimes des cpf sont nos enfants !
    Killian REQUIESCAT IN PACE +

  14. Voici l’homme qu’il nous faut: http://www.youtube.com/watch?v=tng8g95snLw
    Такого, как Путин, хотел бы за президент, Такого как Путин, чтобы очистить Родину……

  15. @SD-vintage
    Voici un excellent commentaire sur ce tragique fait divers. Ce commentaire n’est pas de moi mais d’un commentateur du Figaro. Cependant il reflète très bien ce que je pense :
    “Systématiquement sur ce forum, dès qu’il y a un fait divers on recherche l’origine de l’auteur. S’il est étranger, ou d’origine étrangère plus ou moins lointaine, c’est le déchainement. Si ce n’est pas le cas, on recherche s’il n’est pas récidiviste ou délinquant chronique : comme l’étranger délinquant par nature. Et si ce n’est encore pas le cas, on s’en tiendra au fait qu’il est jeune et on généralisera sur les jeunes. Dans tous les cas, tout est bon pour alimenter ses propres fantasmes puisque ce n’est jamais que leur confirmation que l’on recherche dans l’actualité. Et l’on se drape en plus dans la paranoÏa complotiste : il ne faudrait rien dire sur le fait qu’il est étranger ou que son prénom n’est pas maurice ou marcel, ce ne serait pas bien pensant. Ce qui est encore un cliché. Et tout discours autre, comme ce commentaire, ne serait qu’idéologie de l’excuse, du laxisme et de la pensée unique de gauche. Cette lecture exclusivement raciale de tout acte n’aide en rien à sa compréhension, mais peu importe puisque ce n’est pas de cela qu’il s’agit mais d’alimenter son propre mode de pensée. Cela peut donc continuer longtemps et l’on insultera les contradicteurs pour faire bonne mesure. Car ne pas alimenter ce discours c’est au choix, de l’angélisme, de l’idéologie 68tarde ou autre tare congénitale. L’éructation tiendra donc lieu ici à la fois de défouloir et de mode de pensée, le niveau d’aigreur et de ressentiment contenu dans la majorité des commentaires étant assez stupéfiante de ce point de vue. Plutôt que de s’en prendre à autrui, il y a des introspections qui se perdent.”

  16. Ce long témoignage d’un proche de l’établissement en cause, posté en commentaire dans le figaro.fr est très impressionnant. L’auteur en est Xavier RODIER.
    Bonjour,
    Je suis parent d’élève où ma fille est scolarisée dans cet établissement de Rennes, mon cadet y était 2 ans auparavant, dans la même classe que Kilian.
    Mon fils aîné a été aussi scolarisé dans cet établissement. Ma même et la future mère de nos enfants avons fréquentés ce collège quelques années.
    Ce matin, ma fille est partie au collège vêtue en blanc, avec écrit sur son tee-shirt :”R.I.P. Kilian” (Rest In Peace). Kilian a deux autres frères. J’ai une pensée pour eux.
    Nous avons beaucoup échangé avec d’autres parents d’élève.
    Je vie dans ce quartier depuis 40 ans. Je l’ai vu grandir.
    Il y a trente ans, au collège, une “tête colorée” était rare. Aujourd’hui, c’est quasiment l’inverse. Lorsque je vais à la sortie du collège chercher ma fille, je suis ahurie par le nombre d’élève issue de l’immigration. Je n’ai aucun mal à distinguer ma fille.
    Ainsi à ce jour, force est de constater que quelque chose ne va pas, ne va plus.
    Exemple vécu : il y a 2 ans, nous avons assisté à une chute vertigineuse des résultats scolaires de notre fils cadet. Malgré nos RDV avec la direction, les enseignants, les demandes de mise en place de suivi, d’individualisation, etc… “Il y a d’autres situations plus difficiles à gérer, il ne faut pas vous inquiéter, votre fils s’en sortira”. Malgré une dyslexie sévère avérée, notre fils a été largué, seul, au prétexte qu’il y fallait passé plus du temps à l’intégration des primo-arrivants. Soit, aujourd’hui, après 2 années “de massacre” scolaire, nous avons opté pour un enseignement privé, avec une équipe formée, et un véritable Plan d’Accompagnement Individualisé…
    Ce qui s’est passé au collège était largement prévisible, voire même inévitable.
    J’avais moi-même alerté le prodesseur pricipal de mon cadet, ce qui m’a valu d’être fustigé et mon fils abandonné.
    Nous avons à faire à une concentration explosive d’enfants primo-arrivants, réfugiés politiques, issus du rapprochement familial (enfants et parents qui, pour exemple, sont même logés dans l’appartement de fonction du directeur de l’école primaire ; alors qu’il faut 5 à 7 ans pour avoir un logement HLM à Rennes).
    Les équipements de quartiers (MJC, centre social, Maisons des familles…) sont submergés par ces mêmes enfants et familles. Le Rennais “de souche”, n’étant pas dans le besoin, ne peut accéder à rien.
    A Rennes, il y a des priorités pour toutes les minorités, sauf pour la majorité. Hors le cumul additionnel des minorités vaut plus que la majorité, tant et si bien, que l’individu n’existe plus si vous n’êtes pas dans une des minorités prioritaires.
    Voilà ce que j’observe depuis plus de 40 ans dans mon quartier. Voilà la réalité : notre famille ne fait parti d’aucune minorité, nous n’avons le droit à rien, pas même à l’écoute ; ne parlons même pas de considération, ni même de respect.
    Ce qui est inquiétant, c’est l’augmentation exponentiel du nombre de ces enfants à problème, avec des parents bien trop souvent venu chercher un confort social en France ; confort social vendu aujourd’hui contre des bulletins de votes, en gage de deal, envers une nomenclature toute puissante, au pouvoir depuis plus 40, 50 ans.
    Dans quel pays du monde voit-on le même pouvoir en place depuis plus de 30, 40, 50 ans ?
    Ce drame au collège de Rennes masque la réalité d’une dictature en col blanc, qui sous couvert d’humanisme, oppose les peuples entre eux au travers de la culpabilité si jamais vous osez penser ou dire autre chose que la parole et la pensée unique qui règne sur notre territoire.
    Que l’on soit bien d’accord : moi-même hospitalier, je soigne les personnes sans distinction avec le même amour, le même sens du devoir, dans l’esprit et l’attachement au service public qui est le mien. J’aime l’humanité profondément. Mon propos se veut factuel tant que faire se peut. Qu’il soit bien entendu et compris que mon propos n’a rien de raciste, mais il dénonce un pouvoir en place qui génère, favorise et alimente ce genre de situation et d’évènements ; son seul but : diviser pour mieux régner, culpabiliser pour mieux manipuler.
    Il y a 6 ans, c’est mon fils aîné qui a été victime de racket, de harcèlement et de coups et blessures (avérés puisque l’agresseur a été exclu du collège et condamné par la justice à ne pas s’en approcher à moins de 2 Km). L’agresseur s’appelait Malik, 14 ans. Il a cependant bénéficier d’un nouvel établissement scolaire et d’un accompagnement individualisé.
    Il y a 4 ans, ma conjointe s’est fait volé son auto, devant notre immeuble. Les voleurs s’appelaient Mamadou, 15 ans et Rafik, 17 ans. Rafik a été aussi interpellé avec 2kg de résine de canabis. Nous avons croisé Rafik dans les couloirs de l’immeuble 2 jours plus tard. Nous sommes voisins de palier.
    Pas plus tard qu’il y a 2 mois, je me suis volé mes enjoliveurs et les essuis glace de mon auto.
    Bref, la liste d’exemples est sans fin.
    Et pour terminer en beauté, c’est un élu en personne qui nous a dit que si nous ne nous sentions pas bien dans ce quartier où nous vivons depuis plus de 40 ans, où les grands parents y vivent depuis plus de 70 ans, nous n’avons qu’à déménager. Ce qui est le fait de beaucoup d’habitants du quartier que nous connaissions de longue date.
    Ce fait de société est un signal d’alarme parmi des milliers d’autres que l’ont veut nous faire passer comme des cas isolés, marginaux.
    C’est une terrible erreur que de ne pas voir la réalité en face : le pouvoir en place oppose à notre solidarité, la culpabilité d’être intolérant, raciste si jamais nous osons dire : stop !
    Voilà, Mesdames Messieurs, ce cri d’alerte, cet appel au secours d’un citoyen lambda qui s’exprime par son bulletin de vote silencieux et des mots liés à la liberté d’expression. J’en profite, avant que celle-ci ne soit prochainement censurée, au titre qu’elle ne rentrera pas la ligne de la pensée, de la Vérité Unique du Pouvoir.
    Ce jeune Suliman, assassin des temps modernes, est le symptome d’une société en dérive totale, d’une jeunesse manipulée et corrompue, de parents absents et compromis, d’un pouvoir fantoche, idéologique et grand dealeur de rêves sociaux.
    Au secours, il faut se réveiller ! Car demain, ce sera le tour de votre enfant, de votre emploi, de votre famille, de votre vie.
    Un parent-citoyen dépité.

  17. Désinformation autour de l’homicide de Rennes : Le Monde renomme Souleymane… « Vladimir » !
    Par Eric Martin le 25 juin, 2012 @ 21:32
    Le Monde, candidat aux Bobards d’Or 2013.
    « Kylian avait 13 ans. Vladimir (le prénom a été changé), 16 ans. » Pourquoi diable changer le prénom de Souleymane ? Sinon pour cacher qu’il est musulman et tchétchène ?
    Sinon pour tenter de camoufler que ce qu’on appelle la violence scolaire, en tout cas l’ultra-violence scolaire, est liée aux quartiers de l’immigration ?
    Pourquoi choisir Vladimir comme prénom de substitution ? Sinon pour donner à ce beau prénom russe une image négative et noircir au passage celui du Président Poutine ?
    Ainsi en trois lignes Le Monde fait d’une pierre deux coups et satisfait ses deux principaux propriétaires : le mondialiste Matthieu Pigasse, de la banque Lazard, et Pierre Bergé, co-fondateur de SOS-Racisme.
    Au passage, on découvre que beaucoup de « Russes » qui figurent dans les statistiques de l’immigration et de l’administration pénitentiaire viennent en fait des républiques caucasiennes.
    Le Monde nous dit, parlant de la victime et de son meurtrier, que « leurs regards se sont croisés ». Bel exercice de Novlangue !
    C’est parce que le Breton Killian (13 ans) n’a pas baissé le regard devant le Tchétchène Souleymane (16 ans) que ce dernier l’a assassiné.
    Il ne s’agit pas de violences scolaires : Kilian est mort en Résistant.
    http://www.ndf.fr/nos-breves/25-06-2012/homicide-de-rennes-le-monde-desinforme-ses-lecteurs-et-renomme-souleymane-vladimir?utm_source=feedburner&utm_medium=twitter&utm_campaign=Feed%3A+ndf-fr+%28Nouvelles+de+France%29#.T-jFaZFCbco

  18. @ Nicolas-Mohamed : même chose quand c’est un skinhead, un militant FN, un tradi, un gendarme, un prêtre…
    Certaines cultures ou religions sont plus violentes que d’autres.
    “Plutôt que de s’en prendre à autrui, il y a des introspections qui se perdent.”

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