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France : Politique en France

Le chiffre du jour : 1000

C'est le nombre d'idées pondues par le gouvernement pour relancer la croissance, que le contribuable financera (26 milliards d'euros). Le détail des mesures est en ligne (pdf, 206 pages). On sera bien en peine d'y trouver des mesures en faveur de la famille, socle de la société, cellule pourvoyeuse de véritables richesses : l'homme. Mais pour Patrick Devedjian, ministre de la relance, "il faut lutter contre la crise par des dépenses budgétaires".

Michel Janva

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7 commentaires

  1. Patrick Devedjian n’est malheureusement pas le premier à avoir ces idées socialistes… “Y’a qu’à voir dans quelle m… on est !” comme aurait dit Coluche.

  2. Le contribuable va le payer, mais il est le premier bénéficiaire de ce plan de relance! cessons un peu la démagogie de bas étage!

  3. Ces idées sont un début. A chacun d’apporter sa pierre à la relance.
    Une piste de réflexion et de débat : http://macrisebienaimee.blogspot.com/

  4. A Girgis,
    C’est de la folie, cette mesure. On a déjà un déficit gigantesque (70 milliards environ d’euros de déficit de l’Etat annoncé en 2009). Cette mesure ne fait que creuser un peu plus la dette de la France, sans rien changer au fonctionnement actuel, et accélérer sa prochaine faillite et aboutir à une situation bien pire.
    Les bonnes mesures existent (par exemple sortir de l’Euro, relancer l’inflation pour diminuer la dette de la France, remettre des barrières douanières, rétablir une banque centrale appartenant à l’Etat, rétablir des barrières douanières, développer la production industrielle en France…) mais elles ne seront jamais prises, car l’oligarchie qui gouverne la France et l’Europe a d’autres buts, et le gouvernement n’est pas capable structurellement et par incompétence ou traitrise de prendre une mesure intelligente.

  5. Je crois qu’on a surtout une belle démagogie de hauts étages…

  6. Keynes, ils sont aussi fous que toi ! ! !

  7. Il y a deux siecles dejà Adam Smith ne se faisait guere d’illusion sur l’emergence de la finance anglo-hollandaise et la resumait par cette formule: ” tout pour nous, rien pour les autres…”

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