Partager cet article

Culture de mort : Avortement

L’écologie c’est aussi la lutte contre la pilule

Lu dans Présent :

"Alors que l’on nous répète qu’il va falloir adopter des comportements écologiques et que l’Union européenne vient d’édicter de nouvelles normes pour les chasses d’eau (sic), une étude parue le 17 avril dans le Scientific American est passée à peu près inaperçue dans le milieu de l’extrémisme vert. On y apprend que la consommation massive de pilules contraceptives par des millions de femmes aux Etats-Unis (12 millions d’unités par jour) conduit au rejet dans les cours d’eau américains de doses d’œstrogènes qui ne sont pas sans conséquences sur l’environnement.

Ces hormones synthétiques ne sont pas totalement démantelées par les systèmes d’épuration : résultat, des poissons qui les absorbent en subissent les effets. L’institut chargé des pêcheries en eau douce (Freshwater Institute Fisheries and Oceans section) affirme ainsi avoir pu contrôler neuf poissons au genre indéterminé : il s’agissait de mâles d’origine qui produisent désormais des œufs…"

Michel Janva

Partager cet article

6 commentaires

  1. Mais il y a plus grave que la santé des poissons de rivière :
    “Depuis une trentaine d’années, partout dans le monde occidental, “le nombre de cancer du sein est en augmentation linéaire, pour aboutir désormais à un taux incroyablement élevé : une femme sur 8 au cours de sa vie en sera affectée en moyenne en France. L’annonce, pour la première fois, d’une baisse des cancers du sein aux États-Unis est donc un événement majeur, qui mérite d’être analysé, d’autant que les causes de l’augmentation observée jusqu’à présent ne sont pas univoques, même si l’on sait que l’âge trop tardif de la première grossesse, l’absence d’allaitement, la contraception orale, les traitements hormonaux de la ménopause, l’obésité… sont des facteurs de risque.” LE FIGARO du 11/07/2007
    “LES PROGESTATIFS AUGMENTENT LES RISQUES DE CANCER DU SEIN
    Contrairement à ce qui a été asséné, particulièrement en France, les traitements par progestatifs auraient des effets nocifs sur la glande mammaire.
    EN FRANCE, depuis les années 1980, la mode est à la prescription de progestatifs – ces hormones de synthèse, de structure chimique proche de la progestérone secrétée par les ovaires -, dans un but contraceptif, pour soigner les douleurs mammaires, certaines affections de l’endomètre (la muqueuse qui tapisse l’intérieur de l’utérus) ou encore des troubles liés à la préménopause. Les seules publications pour justifier cette pratique sont toutes franco-françaises ou presque.
    Depuis quelques années, certains doutes ont été émis quant à l’innocuité de ces molécules. D’autant qu’un nombre croissant d’essais pour évaluer les traitements hormonaux substitutifs de la ménopause ont mis en évidence le fait que lorsque des oestrogènes sont associés aux progestatifs, le risque de cancer du sein est supérieur que lorsqu’ils sont prescrits seuls. Peu d’études jusqu’à présent avaient étudié l’impact de ces progestatifs avant la ménopause, alors qu’ils sont largement utilisés à cette période de la vie. C’est désormais chose faite puisque Françoise Clavel-Chapelon, directeur de recherche à l’Inserm, vient de publier dans le British Journal of Cancer d’avril 2007, la première étude mettant en évidence un risque accru de cancer chez les femmes non ménopausées traitées par progestatifs.
    Françoise Clavel-Chapelon, à partir d’un groupe de 100 000 femmes françaises toutes adhérentes de la MGEN (Mutuelle générale de l’Éducation nationale) et nées entre 1925 et 1950 mène depuis 1990 une grande étude dite E3N pour évaluer l’impact du mode de vie (alimentation, prise de traitements hormonaux) sur le risque de cancer, plus particulièrement sur celui du sein et du côlon.
    Vaste enquête européenne
    Ces femmes ont accepté tous les deux ans de répondre à un questionnaire sur leur santé et leur mode de vie, ce qui permet aux chercheurs d’établir un certain nombre de corrélations entre les deux. L’étude E3N est la partie française d’Epic, une vaste enquête européenne coordonnée par le Centre international de recherche sur le cancer et portant sur 500 000 Européennes dans dix pays.
    Dans le cadre de l’étude E3N, l’équipe du docteur Clavel-Chapelon a déjà analysé les réponses de 73 664 femmes. Pour comprendre les effets des progestatifs sur le cancer du sein, les chercheurs se sont limités aux femmes ayant utilisé des progestatifs après 40 ans et avant la ménopause. Les résultats sont très intéressants puisqu’ils montrent que les femmes en cours d’utilisation de progestatifs oraux seuls depuis plus de quatre ans et demi ont un risque accru (multiplié par 1,44) d’être frappées d’un cancer du sein. En revanche, celles qui ont cessé d’en prendre n’ont pas d’augmentation de risque. Après l’arrêt des progestatifs, le risque de cancer n’augmente donc pas, quelle que soit la durée du traitement passé.
    Les progestatifs recouvrent une large gamme de médicaments (Orgamétril, Lutéran, Duphaston, Surgestone, Lutényl…). « Mais nous n’avons pas étudié le risque selon la molécule utilisée, explique le docteur Clavel-Chapelon. Reste à attendre maintenant des nouvelles recommandations des autorités sanitaires concernant les prescriptions de ces molécules.”
    LE FIGARO 06/04/2007

  2. L’augmentation des cancers du sein est sans comparaison avec celle des cancers de la prostate !
    Ce cancer a les mêmes origines que celui du sein : les hormones ARTIFICIELLES en liberté dans la nature à cause de la pilule et autres produit utilisant des hormones ARTIFICIELLES.
    Par exemple : dans les savons douches, le paraben (sous diverses formes)
    Regardez de plus près quand vous achetez un savon sa composition : et évitez le paraben.

  3. J’ai une amie qui a eu les ovaires retirer pour cause de maladie du à la contraception .
    Lorsque je parle des risques lier à la pilulle je me fait passer pour un réact contre les droits des femmes alors que dans la réalité les femmes ont le droits de savoir qu’elles sont les risques .
    Ceux qui pronent la pilulle à partir de 14 ans sont des criminels,car ils oublient volontairement d’avertir les danger et ainsi que les menstruations deviennent beaucoup plus douloureuse.

  4. De plus, je m’interroge sur la “liberté” de la femme asservie pendant peut-être 30 ans de son existence à avaler tous les jours (sauf règles “programmées”…), parfois à heure très précise, un cachet… Est-ce cela la liberté ? Quand on sait la fiabilité des méthodes naturelles (puisque nous sommes entre adultes je précise par observation de la glaire cervicale), on peut légitimement se demander si la liberté de la femme, ce n’est pas, justement, d’être affranchie de l’hormone de synthèse… L’observation précitée est-elle avilissante ? Je ne le pense pas, elle fait partie du quotidien naturel de la femme… (cher Administrateur, la publication de ce billet sous votre contrôle, mais je pense que je ne dis pas d’ineptie…).

  5. C’est sûr, c’est pas bio du tout !…
    Les femmes-OGM, non merci !
    Tiens, qu’en pense notre cher Bové ?…

  6. Les maux sont là dans les faits. Les moniteurs Billings reçoivent de plsu en plus de femmes qui arrêtent la pilule après 15-20 ans de “traitement”. Résultat, à 35-40 ans, elles sont déjà ménopausées.
    Autrement dit, elles n’ont pas eu d’enfant pendant leur période la plus féconde (20-40 ans) et ensuite lorsqu’elles en veulent, elles sont ménopausées, donc stériles.
    Attention : ceci n’est pas encore démontré de manière générale mais a été vu plusieurs fois par des moniteurs.
    Merci la pilule !
    La pilule micro-dosée, ne pouvant bloquer à coup sur l’ovulation, agit sur plusieurs tableaux :
    – attaque hormonale pour bloquer l’ovulation, effet contraceptif et stérilisant
    – attaque des trompes, pour empêcher les mouvements des trompes permettant aux spermatozoïdes d’aller vers l’ovule et ensuite à l’oeuf fécondé d’aller dans l’utérus, effet contraceptif dans un sens et abortif das l’autre sens
    – attaque des glandes produisant la glaire cervicale, la glaire permet de nourrir les spermatozoïdes et de les ammener dans les trompes, effet contraceptif et stérilisant
    – attaque de la paroie intra-utérine, pour empêcher la nidation, effet abortif
    Voilà tout le bien que procurent les pilules microdosées.

Publier une réponse

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services