Partager cet article

Culture de mort : Avortement

L’avortement n’est pas une solution

A Selon un sondage Ifop-Alliance des droits pour la vie que «La Croix» publie en exclusivité, 85% des Françaises sont favorables à l'avortement, mais, en même temps, cet attachement s’accompagne de sérieuses réserves.

  • 85% des sondées jugent trop élevé le nombre d’IVG
  • 83% d’entre elles se disent « plutôt » (45%) ou « tout à fait » (38%) convaincues que «l’avortement laisse des traces psychologiques difficiles à vivre pour les femmes».

La principale raison du recours à l'avortement serait liée à la situation matérielle.

  • 83% d’entre elles sont favorables à ce que soit ajouté, dans le livret officiel remis aux personnes consultant en vue d’un avortement, le détail des aides réservées aux femmes enceintes et aux jeunes mères.
  • 60% des personnes qui ont répondu à l’enquête considèrent que la société devrait davantage aider les femmes à éviter le recours à l’IVG. Et pas en recourant à la contraception. Cela peut passer par davantage d’engagement de la part des conseils généraux (69 % y sont favorables). Pour 67 % des sondées, cela peut aussi revêtir la forme d’une «sensibilisation des femmes enceintes à la possibilité d’adoption à la naissance».

Partager cet article

12 commentaires

  1. Je croyais qu’il y avait environ 85% de Chrétiens en France, or d’après ce sondage, c’est une erreur. C’EST 85% DE PAÏENS qu’il fallait comprendre !
    Pauvre France où es-tu tombée !
    Une seule solution en Île de France, c’est de voter et de faire voter pour ‘La Liste Chrétienne’. La seule liste qui demande que 5° Commandement de DIEU: TU NE TUERAS PAS, soit respecté. Que la VIE soit Notre Credo: De la conception à la mort naturelle.
    Maranatha !
    Merci !
    JFL

  2. Sachant que ce sont les grossesses non désirées qui conduisent à l’avortement, expliquez-moi comment, à moins de mettre des ceintures de chasteté à tout les femmes non mariées, ou qui ne veulent pas avoir d’enfants, vous allez réduire le nombre de grossesses non désirées si vous n’apprenez pas aux femmes et aux hommes à utiliser la contraception. Parce que le discours sur l’adoption, il est bien gentil, mais à la base, c’est le refus de la grossesse qui pose problème. On fait comment?
    PS : je sais que vous allez encore zapper mon commentaire et ne pas le publier, mais j’espère que vous aurez eu le temps de le lire. Parce que la stratégie de l’autruche ne résoudra pas le problème. Soit vous admettez clairement que votre seul but, c’est de vous réapproprier le corps et la sexualité des femmes, soit vous arrêtez de vous plaindre de l’avortement! Soyez un peu logique!
    [Comme cela a été prouvé maintes fois ici, le recours à la contraception accroît l’avortement. La mentalité contraceptive est à la source de l’avortement. Ne pas le reconnaître, c’est faire l’autruche…
    Alors comment fait-on ? On respecte la nature et on reste ouvert à la vie.
    MJ]

  3. Il y a une autre façon d’éviter le scandale de l’avortement, c’est d’aider les futures mères, et, si elles le souhaitent, de faciliter l’adoption de leurs enfants par des couples stériles.
    Comment justifier que les familles qui veulent adopter des enfants, aillent les chercher à l’étranger, faute d’enfants adoptables en France ?

  4. “Le recours à la contraception accroît l’avortement”. Désolée, mais je n’ai jamais rien entendu d’aussi faux. Ce qui provoque les grossesses, c’est la MAUVAISE UTILISATION des méthodes contraceptives. C’est l’oubli de la pilule, c’est de ne pas mettre de préservatif. Montrez-moi une femme tombée enceinte alors qu’elle portait un stérilet ou qu’elle avait un implant contraceptif! Sérieusement, si vous avez des preuves tangibles de ces deux exemples là, je veux bien les accepter.
    Mais vous reconnaitrez avec moi, si vous voulez être honnête, que quelqu’un qui prend la pilule un jour sur trois, ne respecte pas les consignes de le prendre à heure fixe, etc, n’est pas absolument pas en train de suivre une contraception quelconque! Et comme en France, les gynécos en sont à ne pas tenir compte du rythme de vie des femmes pour leur conseiller une contraception adaptée à leurs besoins, bien sûr qu’on se retrouve avec des ratés!
    [Vous parlez technique et c’est pourquoi vous faites l’autruche : c’est la mentalité contraceptive qui crée l’avortement ! Tous les chiffres montrent que plus on encourage la contraception, plus l’avortement augmente !
    Et allez lire tout ce que nous avons mis à la portée de tout lecteur :
    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2009/01/la-mentalit%C3%A9-contraceptive-%C3%A0-la-base-de-lavortement.html
    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2009/01/la-contraception-totalement-inefficace-contre-lavortement.html
    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2007/02/la_pilule_du_le.html
    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2007/12/dans-libert-pol.html
    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2010/02/il-faut-remplacer-linformation-sur-la-contraception-par-des-campagnes-sur-labstinence.html
    MJ]

  5. Vous avez raison Lama 12 quand vous dites que le temps nécessaire n’est pas consacré aux hommes et aux femmes en matières d’éducation à la sexualité car la contraception est vécue aujourd’hui comme une consommation de produit de supermarché. On va chez le gynéco comme on irait acheter du pain. On ne prend plus de le temps de s’informer. Les torts sont partagés.
    En revanche, cette mentalité de consommation où la sexualité est vécue comme une simple jouissance isolée est une erreur également. Car on ne peut pas faire l’amour sans être responsable et savoir que si l’on ne fait pas le nécessaire pour l’éviter, l’enfant peut pointer le bout de son nez. Tout cela n’est pas simple mais l’IVG n’est pas non plus une solution. Les français le savent.
    cf https://adv-info.org/index.php?RDCT=ba4d5c5de1b21d3d2a47

  6. @Maxou
    il arrive assez souvent que les femmes sous stérilet soient enceintes et malheureusement font des grossesses extra uterines. il arrive bien plus souvent que les femmes ayant subi un ivg trainent des séquelles psychologiques lourdes avec taitement psy à la clé pour la vie (est ce que leur cout n’est pas supérieur à ce que couterait un salaire maternel ?).

  7. @ MAXOU
    Vous dites n’avoir rien entendu d’aussi faux…moi je vous informe que le sterilet et l’implant contraceptif peuvent être ABORTIF et donc ne devraient pas être comptabiliser comme contraceptif…peu de gens le savent mais c’est médicalement prouvé.
    De plus vous ne croyez pas que plus il y a de contraception et plus il y a d’avortement..encore une fois rien n’est inventé ce sont les chiffres depuis 40 ans sur le sujet.
    Avant, l’accés à la contraception était limité, maintenant qu’il y en a un accés multiple, il y a plus d’avortement. Pourquoi? Parce que la prise de rique est plus grande. 72 % des personnes qui avortent étaient sous contraceptifs…oublis de pilule, rupture du préservatif, gastro ou bitture qui empêche la pilule d’agir, envie consciente ou inconsicente de la femme de savoir si elle est féconde, hommes et femmes déronsponsabilisés vis à vis d’une grossesse qui peut être arrivé.
    Avec pilule, préservatifs, stérilets, implants, anneaux, Norlevo, ElaOne, avortement, RU 486…on ne s’étonne plus d’avoir une ignorance grandissante de nos jeunes que avoir une relation sexuelle PEUT entraîner une grossesse…d’où la prise de risque plus importante!
    Même si on n’est pas d’accord avec l’assoc. on ne peut pas lui reprocher de remonter les manches pour trouver des alternatives et accompagner les femmes face aux grossesses difficiles. De plus un travail commun peut être réalisé avec les gens qui sont pour l’avortement…sinon on est dans l’idéologie!
    Et qui n’est pas dans l’attente de l’amour contruit, durable dans lequel l’affectif a une place primordiale?

  8. @ Maxou et lama 12
    Entre l’avortement et la contraception chimique existe le contrôle des naissances selon des méthodes naturelles, dont la fiabilité est supérieure à la contraception chimique, ainsi que l’ont démontré plusieurs études. Qui engagent et responsabilisent autant les hommes que les femmes (ce que devraient apprécier les féministes….), et qui évitent toutes les conséquences déjà connues de la pilule, sans parler de celles prévisibles et déjà décelées après plusieurs générations de femmes ”pilulées” (ce que devraient apprécier les écologistes….).
    Il est évident que si l’enfant devient le problème N° 1 de la sexualité, le seule ”solution finale” est l’avortement, Michel JANVA le prouve au travers de tous les liens indiqués.
    @ Jacques-françois
    Un mensonge et une diffamation répétées avec le rythme du derviche tourneur ne fait pas une vérité. La liste que vous appréciez n’est pas la seule a vouloir combattre l’avortement en Ile de France. Ce problème est trop complexe pour ne le lier qu’à la politique et à des élections : c’est aussi toute une éducation morale, psychologique qui est à refaire, auprès des nouvelles générations. Avoir comme seule méthode la suppression de la loi Veil, du jour au lendemain comme vous le préconisez, dans l’hypothèse où ce serait possible, ce qui n’est évidemment plus le cas, ne changerait pas les coeurs et les intelligences. Tout se joue au niveau de la famille, de son équilibre et de la protection et appui que lui donne la société.
    Les slogans faciles et simplistes desservent les causes les plus nobles.

  9. A en croire la Une de la Croix et les divers commentaires, on a l’impression que ce sondage serait une véritable révélation, tant chez certains pro-vie que chez les pro-avortement! Pourtant, l’ensemble des éléments qui y sont exposés sont rappelés à chaque marche pour la Vie de janvier, depuis 2005…! je trouve dommage que l’ADV utilise les fonds de ses donateurs à des fins inutiles puisque le sondage IFOP n’apporte, selon moi, aucune information nouvelle que les défenseurs du respect de la vie n’ait déjà connu et murement analysé…
    [A ceci près qu’il paraît dans un grand quotidien, le même jour où est diffusé sur une grande chaine de télévision un documentaire sur Simone Veil et le vote de la loi homicide. MJ]

  10. @ Maxou: personnelement je comprends votre position mais je ne l’approuve pas.
    Vous commencez par un constat malheureusement assez vrai: aujourd’hui une grossesse non désirée conduit à l’avortement. Pourquoi? J’y reviendrais plus tard, mais on ne peut pas penser réduuire le nombre d’avortement sans en passer par cette question.
    Ily a (selon les sources officielles) 60% des femmes qui avortent qui sont sous contraception. Je suis d’accord qu’il peut y avoir certaines personnes qui prennent très mal leur contraception. Mais 60% de 220000, c’est-à-dire plus de 130000 qui ont une grossesse non désirée sous contracption, c’est énorme. Cela ne peut pas etre uniquement un problème de déficit d’informations. Il me semble que l’on peut dire à la lecture de ces chiffres, que certaines personnes ne veulent pas inconsciemment de contraception, quand bien même elles en prennent. Pourquoi ne pas prendre cette donnée en compte?
    Etant en médecine, je peux discuter avec des personnes qui voient la réalité de la contraception: effectivemùent, elle est mal connue, et ce en dépit des nombreuses campagnes en leur faveur. Je ne vois pas trop ce que l’on peut faire de plus: une énième campagne d’informations? Pouirquoi serait-elle plus efficace?
    Dans les écoles? C’est déjà fait.
    Ou alors on peut donner un message fort simple: si vous ne voulez pas d’enfants, vous pouvez aussi éviter de faire l’amour. Et oui, l’abstinence: le dire permettrait aux gens de se rendre compte que ce n’est opas forcément un choix des temps anciens, mais bien une alternative possible. Après, chacun choisira.
    Je reviens sur ce que je dis au début: le fait qu’aujourd’hui toute grossesse non prévue mène à l’avortement ou presque. Pourtant, et c’est Simone Veil qui l’as dit lors des débats à l’Assemblée nationale, il existe des femmes qui sont enceintes sans l’avoir prévu et sont heureux de l’etre…
    Le problème n’est donc pas tant la grossesse que la situation de la femme qui ne lui permet pas d’accueillir un enfant. C’est donc au niveau de la situatiion qu’il faut chercher les solutions.
    Le fait-on, par exemple avec un vrai soutien psychologique? Je ne crois pas: pouvez vous me citer qui donne une information scientifique valable sur l’ivg, et des conseils non orientés?
    Si oui envoyer le moi par mail à [email protected]
    Et ne me dites pas que le Planing familial donne cette information: incroyable mais vrai, la mention “l’avortement n’est pas un moyen de contracpetion n’a été rajoutée que cette année” et il n’est dit nulle part (et j’ai fait tout le site) que l’avortement peut etre traumatisant!!!!!!
    Alors si ça c’est ça une organisation ne visant qu’à limiter l’avortement aux cas où il est réellement nécessaire…

  11. J’ai aussi une autre information: D’après ce sondage, je cite “A ce jour, le livret officiel d’information remis aux femmes enceintes consultant en vue d’une IVG comporte uniquement des indications sur les démarches pour avorter. Une proposition a été faite pour modifier ce livret en y intégrant le détail des aides aux femmes enceintes et aux jeunes mères.”
    Quoi, c’était pas fait? On ne soucie pas d’aider les femmes à ne pas avorter alors?

  12. 85% favorables? Ou ce sondage est truqué (ce qui est toujours possible), ou la France mérite d’être récupérée par les musulmans. Les 85% de femmes françaises soutenant l’avortement méritent la burqa.
    Martin

Publier une réponse

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services