Partager cet article

Valeurs chrétiennes : Education

L’idéologie du genre imposé à vos enfants

Voici le synopsis du film Tom Boy qui fait partie des films sélectionnés par l'Education Nationale dans le cadre d'un programme pédagogique allant de la maternelle au collège :

"Laure a 10 ans. Laure est un garçon manqué. Arrivée dans un nouveau quartier, elle fait croire à Lisa et sa bande qu’elle est un garçon. Action ou vérité ? Action. L’été devient un grand terrain de jeu et Laure devient Michael, un garçon comme les autres… suffisamment différent pour attirer l’attention de Lisa qui en tombe amoureuse. Laure profite de sa nouvelle identité comme si la fin de l’été n’allait jamais révéler son troublant secret."

Voici comment le dispositif fonctionne :

"En amont, pour chaque séance et chaque niveau, deux films sont proposés au choix des enseignants. Les classes peuvent voir un film par trimestre. Ceci de la maternelle au collège.
École et cinéma proposent aux élèves, de la grande section de maternelle au cours moyen (CM2), de découvrir des oeuvres cinématographiques lors de projections organisées spécialement à leur intention dans les salles de cinéma. Ils commencent ainsi, grâce au travail pédagogique d'accompagnement conduit par les enseignants et les partenaires culturels, une initiation au cinéma de qualité. L'association « Les enfants de cinéma » coordonne le dispositif au niveau national, en liaison avec le CNC et le Ministère chargé de l'éducation."

Dans la réalité, les témoignages montrent que, très souvent certains enseignants ne connaissent pas les films sélectionnés et le découvrent le jour de la sortie de classe. Quant aux parents, ils apprennent souvent le soir même que leur enfant est allé au cinéma.

Parents, faîtes attention aux sorties dites culturelles et pédagogiques. Exigez de connaître à l'avance les films que vos enfants seront ammenés à voir afin de pouvoir exercer votre objection de conscience…

Partager cet article

17 commentaires

  1. Il vaut mieux parler d’idéologie que de théorie. Une théorie est basée sur des critères vérifiés, le gender est une vaste fumisterie qui sort de cerveaux malades.

  2. @ Bertrand :
    Tout à fait d’accord avec vous.

  3. Il y a une solution très simple que nous avons adoptée depuis longtemps pour nos enfants ( l’école privée sous contrat se fait avoir aussi …), nous refusons toutes les sorties dites “culturelles” proposées ! Légalement ces sorties sont soumises à autorisation des parents . Fini les mauvaises surprises !

  4. J’ai malheureusement eu le cas pour mon fils en CM1, je n’ai pas été assez vigilante, et quand j’ai osé me plaindre à la maîtresse, les notes de mon fils ont brutalement baissé… Et j’ai eu droit à tous les poncifs du genre: “Mais madame, la tolérance est au programme” “il faut lutter contre les différences” et blabla bla. Qui ose penser qu’un enfant qui se poserait des questions sur sa sexualité (alors qu’ils sont en période de latence à cet âge là) , puisse lever la main et avouer devant toute la classe qu’il a beau avoir un zizi, il se sent quand même une fille? Je ne vois pas bien la discussion qu’il peut y avoir en profondeur avec une maîtresse même pas formée sur les questions de construction de l’identité. Autre fait aberrant, les enfants se sont moqués en sortant du cinéma, d’un élève qui avait les cheveux longs, effet pervers qui se retourne contre les enfants.

  5. Il y a un frein simple, mais probablement efficace, signaler que l’enfant n’est pas couvert par une assurance pour les “sorties pédagogiques” puisqu’elles n’ont pas de caractère obligatoire (et qu’en conséquence l’élève doit être couvert par une assurance spéciale).
    Par principe, refuser de financer toute sortie dont le but n’est pas clairement précisé (“sortie au cinéma”: “pour aller voir quel film?” quitte à ajouter “nous l’avons en DVD à la maison, et nous l’avons déjà visionné avec lui/elle” voire “c’est une œuvre très contestable, heureusement nous avons pu l’analyser en détail avec lui/elle”). De même, refuser toute sollicitation financière a posteriori (la dépense a déjà été réglée, elle ne nous concerne donc pas).
    Malheureusement, ce tourisme pédagogique est fréquemment subventionné, et les parents ne sont alors pas sollicités financièrement.

  6. Stéphanie, je ne sais pas si votre fils est toujours en cm1 mais j’espère que vous avez pu le changer d’établissement face à la dangereuse idéologue qui lui sert de maîtresse!

  7. N’oubliez pas non plus que des maitresses militantes peuvent vous mentir sans vergogne. Il devient impossible de faire confiance au corps éducatif dans l’état de déliquescence morale du pays.

  8. Tout à fait d’accord avec Sechet. Refus de toutes sorties dites “culturelles”. On peut les gaver de “gender” mais aussi les emmener à la mosquée du coin.

  9. Si Orwell revenait, qu’écrirait-il ??? Une société basée uniquement sur des mensonges et des contre-vérités n’est qu’une société totalitaire. La théorie du genre n’est là que pour appuyer cet horrible totalitarisme qui n’a ni visage, ni apparence…

  10. n’oubliez pas que les enseignants sont des fonctionnaires qui appliquent les programmes et font les sorties prévues.
    ils n’ont pas leur mot à dire.
    après évidemment certains se font le relai conscient de cette propagande (dans tous domaines), d’autres le font moins voire de mauvais grès.

  11. Ce film était effectivement au programme de “collège au cinéma” cette année. Plutôt qu’un film édifiant qui fasse “grandir”, l’éducation nationale préfère fabriquer des abrutis en série, ils seront beaucoup plus facile à manipuler ensuite…

  12. Non, “fabien”, les sorties ne sont absolument pas une obligation. Elles relèvent de la “liberté pédagogique” de chaque enseignant, qui lui permet de choisir les procédés pédagogiques qui lui paraissent les mieux adaptés pour que ses élèves acquièrent les compétences prévues par les programmes. Vous ne trouverez aucune mention de sorties pédagogiques dans les programmes.
    En revanche, oui, “les enseignants sont des fonctionnaires qui appliquent les programmes”: ils sont payés pour ça, même s’ils trouvent les programmes mal fichus (enfin, il y a quand-même une marge d’interprétation, mais ça demande un peu de courage).

  13. Ce qu’il faut surtout faire (et qui est bénéfique en fin de compte pour nos enfants) c’est tenir très tôt des discours de vérité à nos enfants. Au moins nous sommes devant l’obligation de les éduquer, moralement, spirituellement, afin qu’ils soient forts et prêts à vivre dans cette société-là. L’Eglise catholique fait un travail extraordinaire pour aider les parents à éduquer leurs enfants dans la vérité et la droiture. Ouvrages des éditions de l’Emmanuel, conférences en ligne sur le site exultet, toutes sortes de livres, de conseils, de conférences et d’équipes de parents.
    Je trouve que ça nous oblige dans notre tâche d’éducateurs.

  14. Visionner le film est une chose, écouter ensuite les commentaires de la maitresse en est une autre !
    L’enfant pourra sans doute échapper à la sortie, avec la déception de rater la “sortie ciné”. Mais comment allons nous maîtriser l’endoctrinement de l’enseignant 1, 2 ou 3 jours plus tard, expliquant que c’est maintenant à eux de choisir leur genre … c’est un autre problème !

  15. Pour celles et ceux qui ne sont pas au courant, en France c’est l’instruction qui est obligatoire de 6 à 16 ans et non la scolarisation, il suffit de taper “instruction en famille” dans un moteur de recherche pour avoir le détail des démarches à suivre…

  16. pour cb
    concernant les programmes un enseignant se doit (je caricature à peine) lire le manuel et leur faire répondre ce qui doit etre répondu dans le manuel.bref faire apprendre ce qu’on lui a dit qui devait etre appris.
    mais je pense que les enseignants “de base” n’y trouvent rien à redire dans leur majorité : complices et/ou indifférents.

  17. @Bertrand et Cricri: il me semble pourtant que le terme “théorie” est adapté à la réalité qu’il recouvre. Dans ce cas précis, il s’agit de la théorie du gender, hypothèse de travail visant à déterminer ce qui relève de l’inné et ce qui relève de l’acquis dans nos définitions du masculin et du féminin.
    Les travaux, s’ils sont réalisés avec intégrité, me paraissent susceptibles d’apporter un éclairage intéressant sur notre conception de la différence des sexes.
    La théorie du gender (théorie, donc hypothèse de travail non vérifiée) postule qu’il existe bien une part d’acquis dans nos définitions du masculin et du féminin. Laquelle?
    La “queer theory” est en fait celle que l’on nomme à tort théorie du genre en France et est à différencier de cette dernière.
    La “queer theory” est particulièrement dangereuse et perverse car elle nie les réalités et voudrait nous faire gober que tout relève de l’acquis.

Publier une réponse

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services