La Chambre basse de la Russie a adopté un amendement qui interdit l'adoption d'enfants russes par des paires de même sexe de l'étranger. Cet amendement a été adopté, mardi, lors de la deuxième lecture du projet de loi pour protéger les orphelins. cet amendement interdit aussi aux personnes seules à devenir parents adoptifs ou tuteurs légaux des enfants russes.
La Russie empêche l’adoption par des homosexuels
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9 commentaires
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BR85
Un gouvernement qui a du courage. Bravo. Je ne puis qu acquiescer tout en étant en colère contre le gouvernement de mon pays qui, consciemment, empêche l’adoption par les couples (hétérosexuels, puisqu’il paraît qu’il faut désormais préciser) qui pouvaient offrir un foyer stable à ces petits orphelins.
GG
Il n’y a vraiment que les russes en Europe à faire preuve du plus élémentaire bon sens…
Et à aller jusqu’au bout de celui-ci !
milan
Excellente décision ! Et qui ne pénalise pas les demandes françaises émanant de couples mariés, et non de “paires” ayant bénéficié d’une mascarade relativiste.
Hildegarde
Bravo pour cette grande et courageuse décision.
Freddie
Espérons que les Russes tiennent le coup car ils vont certainement subir des pressions diverses.
perlin pinpin
un gouvernement qui montre que cette mode du mariage pour tous, dans le monde, peut être sujet à désaccord.
et non puique els autres pays l’ont fait, on doit le faire
pasdar
Quoi de plus normal !
La Russie a parfaitement raison de défendre ses enfants des apétits parfois sordides des occidentaux !
Anna
@GG : “Il n’y a vraiment que les russes en Europe à faire preuve du plus élémentaire bon sens…” ça me fait toujours un peu mal au coeur de lire cela quand on sait que la Russie ne trouve rien à redire à la GPA…
Cosaque
A Anna : Ne faites pas trop de conclusions. En effet l’avortement et la GPA (Pour l’Ukraine Russe) sont légalisées, mais ne font pas du tout partis des moeurs. L’Eglise cherche à les faire abolir et Président (Poutine) est favorable à leur abolition ; mais malheureusement les politiques locaux sont très corrompus. Mais dire qu’on ne trouve rien à redire serait faut