Partager cet article

Culture de mort : Idéologie du genre

La promotion de l’homosexualité au collège désoriente les adolescents

L'association de médecins pédiatriques américains, American College of Pediatricians (ACP) vient d'envoyer une lettre aux directeurs des écoles secondaires pour leur demander de ne pas faire enseigner aux jeunes dont ils ont la charge qu'il faut simplement accepter le fait qu'ils sont homosexuels s'ils éprouvent une attraction homosexuelle. Dans cette lettre le président de l'ACP, le Dr Tom Benton, explique :

"L'adolescence est un temps de bouleversement et d'instabilité. Les adolescents éprouvent de la confusion à propos d'une multitude de choses, y compris l'orientation sexuelle et l'identité de genre, et ils sont particulièrement vulnérables par rapport à l'influence de leur environnement. Des études rigoureuses démontrent que la plupart des adolescents qui éprouvent au départ une attraction homosexuelle, ou qui sont désorientés sur le plan sexuel, n'éprouvent plus de telles attirances lorsqu'ils atteignent leur 25 ans. […] Les chercheurs Zucker et Bradley affirment que lorsque des parents ou d'autres personnes de l'entourage permettent à l'enfant de se comporter et d'être traité comme faisant partie de l'autre sexe, ou l'y encouragent, la confusion est renforcée et que l'enfant est conditionné pour la vie, une vie de douleur et de souffrance qui  auraient pu être évitées. Même mus par les intentions les plus nobles, les écoles peuvent hélas jouer un rôle néfaste si elles renforcent ce trouble. 

Lorsqu'on a affaire à des adolescents qui éprouvent une attirance homosexuelle, il faut absolument comprendre qu'il n'existe pas de preuve scientifique pour dire qu'un individu naît « gay » ou « transgenre ». Au contraire, la recherche la plus sérieuse aujourd'hui désigne des facteurs multiples – au premier plan sociaux ou familiaux – qui prédisposent les enfants et les adolescents à l'attraction homosexuelle et (ou) à la confusion à propos du genre. Il faut aussi absolument comprendre que ces états peuvent très bien réagir à une thérapie. […] Parmi les adolescents qui revendiquent une identité « gay », on constate un risque plus élevé de MST, d'alcoolisme, de toxicomanie, d'anxiété, de dépression et de suicide. […]

A la lumière de ces réalités, il est clair que lorsque du personnel enseignant, plein de bonnes intentions mais mal informé, encourage des élèves à s'afficher comme « gays » et à « s'affirmer », il existe un risque sérieux de les enfermer à tort dans une confusion sexuelle qui peut être transitoire, et de les encourager à se lancer dans une forme d'expérimentation sexuelle. Cet « étiquetage » précoce peut conduire certains adolescents à adopter des comportements homosexuels dommageables qu'ils n'auraient pas choisi sans cet encouragement."

Partager cet article

5 commentaires

  1. Il y a une trentaine d’années, on a “fabriqué” des générations de “faux gauchers”, car dès qu’en enfant se saisissait d’un objet de la main gauche, il fallait surtout éviter d’en faire un “gaucher contrarié”. On pouvait voir, dans certaines classes de C.P., plus de 80% de prétendus (et non soi-disant) gauchers; dans certaines classes, il en restait encore 80% à la fin du C.P., dans d’autres, sans aucune violence ni contrainte par la terreur, ce pourcentage retombait à moins de 10% en fin d’années. Selon le comportement des adultes, tous armés des meilleures intentions.
    Le phénomène a changé de cible, mais l’idée est la même.

  2. Ah, enfin… Je croyais que des psychanalystes allaient bientôt nous sortir que les hétérosexuels étaient tous anormaux et souffraient de troubles psychologiques sur leur identité…
    La promotion et la publicité de la contraception voire de l’avortement seront-elles aussi critiquées ?

  3. Docteur, est-ce qu’on peut aussi encourager nos adolescents à affirmer leur catholicité? Ah, non, ça c’est une vraie perversion!

  4. Cette soi-disant éducation à la tolérance est surtout destinée à augmenter artificiellement, de fait, la proportion d’homosexuels dans la société.

  5. A force de vouloir assurer la prétendue “normalité” des choses les plus contre-nature, la normalité devient la norme…
    Que ce soit voulu ou non, voilà qui n’arrangera pas, dans les décennies à venir, une moralité et une démographie déjà pas très en forme…

Publier une réponse

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services