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Valeurs chrétiennes : Education

La position d’Entrepreneur rime avec liberté, créativité, stress et fierté

La position d’Entrepreneur rime avec liberté, créativité, stress et fierté

Selon le président honoraire de l’ISSEP, Patrick Libbrecht :

Dans un pays moderne, il n’y a pas de progrès social, ni d’emplois à long terme sans une prospérité économique forte.

La prospérité s’appuie principalement sur des Entreprises entreprenantes, des grandes, souvent tournées vers leur développement à l’étranger, et surtout, des petites et moyennes, qui forment le tissu industriel et commercial, indispensable au maillage économique du territoire, et principal source d’emplois d’un pays.

Mais elle s’appuie aussi sur tous ces Talents qui créent, par leurs idées, leurs initiatives, leurs savoir-faire, leur ingéniosité, leur travail, de la valeur, de la richesse, des Talents qui « entreprennent », que nous devons reconnaître et aider, et qui doivent être fiers de leur succès et de leurs réussites.

La position d’Entrepreneur rime avec liberté, créativité, stress et fierté ! Entreprendre, c’est prendre des risques ! Car pour Entreprendre, il faut s’engager et bien souvent, dans l’incertitude économique et professionnelle.

C’est cet esprit d’initiative, de création de valeur, d’expériences nouvelles, de remises en cause pour des améliorations au service du plus grand nombre, que nous favorisons à l’ISSEP.
Nous devons faire confiance aux Entrepreneurs en herbe, et à cette jeunesse que nous voulons audacieuse qui se forme aujourd’hui pour construire le futur. Nous leur apprenons à Entreprendre, à se préparer à l’exercice de la gestion, à l’animation de projets et d’équipes, à la prise de décision, mais aussi à la solitude du décideur final.

Si l’État doit jouer un rôle stratège pour éviter les dérives et favoriser un climat de confiance, il devrait en revanche, aider bien plus qu’il ne fait aujourd’hui les initiatives entreprenantes.
L’Entrepreneur a besoin, de soutien pas de subventions, de facilités pas d’aides, d’un droit du travail largement modernisé et simplifié, il a besoin de libertés pour la création de richesses et d’emplois, de réhabilitation du profit, et de retrouver le goût de la réussite, pas de contraintes fiscales sans cesse augmentées ou modifiées, ni de carcan administratif étouffant qui favorise la « phobie administrative » pour reprendre l’expression d’un ministre éphémère.

Pour favoriser leur Entreprenariat, et développer leurs expériences, tous nos étudiants ont eu cette année à réaliser un « business case », un sujet à leur unique initiative, souvent en rapport avec une entreprise, avec entre autres par exemple : des projets de création d’entreprise, des recommandations de plan stratégique pour des problématiques diverses… des cas, qui nécessitent une vision et une ambition, une bonne analyse du sujet ou du problème posé, des recommandations d’actions et d’améliorations pertinentes et une mise en œuvre cohérente, avec un dossier complet à produire et qu’ils soutiendront devant un jury de professionnels.

Les dossiers ont été rendus fin juin, les soutenances avec le comité de direction de l’ISSEP au complet se sont déroulées début juillet, preuve de notre volonté d’une implication grande dans l’Entreprenariat, quel qu’il soit.

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2 commentaires

  1. Ouai, ce qui est décrit est un monde idéal, seulement la France de 2019 n’est ni les USA, ni la Chine, ni la Russie ni même l’Allemagne. Prise en otage entre un carcan monétaire inadapté, une élite de hauts fonctionnaires nationaux et européens aussi parasitaires qu’inutiles et incompétents, une bourgeoisie compradore égoïste et anti-nationale, des puissances d’argent, des multinationales et des réseaux plus ou moins occultes qui monopolisent et verrouillent tous les marchés avec la complicité d’une classe politique aussi nulle, traîtresse que véreuse, il faut vraiment être fou pour entreprendre dans une telle configuration, sauf à faire partie de ce système, bénéficier de ses réseaux, ou de se placer sur un marché de clientèle captive, c’est à dire de rente. Mais ça ce n’est pas donné à tout le monde, et les gens qui en bénéficient sont rarement portés sur l’attachement au fait national ou l’enracinement à la fois terrestre et spirituel… Electoralement, cette stratégie est vouée à l’échec… Ce n’est pas parce qu’on a la fibre entrepreneuriale avec un business plan bien ficellé sur le papier que l’on ne peut que réussir : la réalité, mal interprétée ou mal comprise, s’est mainte fois chargé de rappeler à l’ordre tous ceux qui la contredisent, qu’ils soient libéraux ou collectivistes…

  2. L’entreprise moderne est libérale, c’est à dire une association de malfaiteurs. Il ne peut y avoir de cohésion sociale dans une société dont les seuls corps dynamiques ont pour ciment la recherche du profit. Il est temps que cesse l’attelage boiteux des catholiques avec le techno libéralisme !

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