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Valeurs chrétiennes : Education

La place de l’enseignement privé sous contrat doit être reconnue

Communiqué de Franck Margain, Conseiller Régional Ile de France du PCD :

"Largement plébiscité par les français, l'enseignement privé est aujourd'hui mis à mal par un gouvernement et des régions de gauche qui ne cessent de réduire ses moyens. Alors qu'il est question de "refondation de l'école", Franck Margain, vice-président du PCD, rappelle son attachement à un enseignement privé sous contrat accessible à tous et pas seulement aux plus aisés. Cela suppose de reconnaître la place de ces établissements dans le système d'éducation et de les pourvoir financièrement et en postes à la mesure de leur contribution. Allouons les ressources selon les élèves et non sur de seuls critères d'étiquettes. Le PCD soutient une offre plurielle où chacun puisse avoir sa place et ne soit pas contraint pour des raisons financières de choisir un type d'établissement plutôt qu'un autre. Ne prenons pas le risque de faire disparaître l'enseignement sous contrat au profit des seuls établissements hors contrats, la plupart du temps inaccessibles aux classes moyennes et populaires. Nous prenons acte du choix d'allouer 70 postes à la rentrée prochaine, face aux 1000 postes pour l'enseignement public. Mais cela reste une goutte d'eau bien peu représentative de l'importance de ces établissements et ne cache pas l'étendue des dégâts que la gauche inflige aux établissements privés sous contrat, notamment en Ile-de-France où leurs crédits financiers ont été violemment coupés le mois dernier."

Précisons tout de même que le "risque" de faire disparaître l'enseignement sous contrat au profit des seuls établissements hors contrats est (quasi) nul.

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1 commentaire

  1. Je ne suis pas trop d’accord quand on dit que le hors-contrat est inaccessible aux revenus les plus modestes (certes, la plupart du temps). Si les familles s’impliquent vraiment dans le projet d’une école hors-contrat, la scolarité reste accessible, et c’est vraiment l’école des familles. A l’heure actuelle, il me semble que c’est un bon choix; les bénévoles peuvent aider (je le fais, et comme prof), et les résultats sont en général excellents. N’ayons pas peur… En outre, il est possible de créer une sorte de caisse de solidarité (le mot est à la mode !) entre tous les établissements privés sous-contrat d’un même diocèse ou d’une même congrégation pour ouvrir où c’est nécessaire une ou deux classes hors-contrat au sein d’un établissement sous-contrat, solution plus que rarement connue ou exploitée, quand ce n’est pas le chef d’établissement ou le directeur diocésain(souvent oublieux qu’il dépend de l’ordinaire, comme le note le droit canon) qui s’y oppose. C’est regrettable, car quand le rectorat prétend nous fermer une classe, nous avons la possibilité de la maintenir en hors-contrat si nous le voulons. Avec la volonté de lutter et un peu d’intelligence, c’est possible. A la grâce de Dieu, 1er servi !

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