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Liberté d'expression

La Nouvelle Librairie a subi une nouvelle attaque : les médias complices

La Nouvelle Librairie a subi une nouvelle attaque : les médias complices

Juste en face du Sénat, tout va bien dans en macronie :

Ouverte en septembre dernier, et immédiatement dénoncée par l’Express comme une librairie n’ayant pas sa place au Quartier latin, parce que de droite, la librairie liée à l’excellente revue Eléments [ou revue d’excellente tenue, mais hélas non- et parfois anti-chrétienne, NDMJ], avait subi une première intimidation le 10 septembre lorsqu’un petit groupe de militants d’extrême-gauche avait menacé physiquement le gérant François Bousquet, avant de dégrader la vitrine de la librairie pendant la nuit, comme nous l’avions relaté dans Valeurs actuelles.

A l’occasion de la venue d’Eric Zemmour dans la librairie, invité à signer son livre Un destin français, mercredi 26 septembre, les antifas, via notamment un autoproclamé Comité d’Action Autonome de la Sorbonne, avaient promis de venir perturber l’événement avant de renoncer face au déploiement conséquent des forces de police autour de la librairie, ce qui n’a pas empêché certains médias d’ironiser sur la protection pourtant indispensable dont bénéficiait l’essayiste.

A la fin de la manifestation interprofessionnelle du 9 octobre à Paris, après une dispersion sauvage vers la contrescarpe, les militants d’extrême-gauche sont revenus avec des intentions criminelles affichées. A 19h15, un antifa a pénétré dans la librairie en insultant le libraire, trois clients et une partie de la rédaction de la revue Eléments qui y organisait une réunion, annonçant qu’il allait revenir et faire « cramer » la librairie avec ses copains. Et en effet, quelques minutes plus tard, un groupe de 150 à 200 activistes débarquaient devant la librairie en menaçant d’y mettre le feu, et commençaient à dégrader la vitrine. La police alertée est heureusement arrivée quelques minutes après et des dizaines de fourgons de CRS ont très rapidement quadrillé la rue Médicis.

Barricadés à l’intérieur de la librairie pendant près d’une heure, les clients, le libraire et les rédacteurs d’Eléments ont finalement été exfiltrés par les CRS à 20h30 sous les injures des militants contenus par les forces de l’ordre.

Cette nouvelle attaque, plus grave que la précédente, fait peser une menace de plus en plus lourde sur une librairie parfaitement légale, laquelle est soutenue par une revue parfaitement légale elle aussi, et dont les idées ont droit de cité au même titre que les autres.

Mais le plus révoltant dans cette affaire est le silence coupable de la presse et des médias. Selon nos informations une journaliste de l’AFP se trouvait sur place lors de l’attaque : pas une dépêche n’a pourtant été publiée. […]

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6 commentaires

  1. Le comble ce serait que Monsieur Bousquet (hein? hein?) sous la pression incessante de ces manifestants fachos, décide de fermer la librairie. Courage !

  2. Les librairies indépendantes sont d’indispensables vitrines des idées que nous défendons.
    Peu nombreuses sur toute la France, elles sont sans cesse la cibles des casseurs gauchistes.
    Soutenez ces librairies, achetez vos livres dans ces “bonnes libraires” qui luttent au quotidien pour que les auteurs que nous aimons, les livres que nous lisons soient connus, et diffusés au maximum. C’est le travail irremplaçable du libraire.
    Courage à nos amis de la Nouvelle Librairie.
    A Bordeaux, la Libraire Saint Jacmes a essuyé 26 agressions (vitrine cassée…) sans compter les tags, crachats, insultes, menaces …
    Ce climat de terreur est intolérable !
    Achetez vos livres chez les libraires et non chez les marchands de papier.
    Que vivent les “Bonnes Librairies”.
    Avec toute notre amical soutien

  3. facho gaucho, même boulot, c’est incroyable comme dans ce pays on leur laisse pleine liberté à ces êtres malfaisants, ça me rappelle les joyeusetés de l’Allemagne d’avant guerre où les nationaux-socialistes (tiens comme c’est bizarre socialiste et nazi: ça marche ensemble, il faudra le leur dire)faisaient des autodafé avec les livres qui ne leur convenait pas

    • quel pays ? le nôtre ? alors on dit “NOTRE” pays, pas “ce” pays comme disent les mondialistes qui n’ont qu’indifférence pour leur pays. Anglicisme en plus….. (“that country”)

    • et on dit SOCIALISTE-NATIONAL, pas nationale-socialiste. La preuve c’est “Nationalsozialistich etc”….l’allemand INVERSE les termes

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