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Culture de mort : Avortement / Pro-vie

La Marche pour la vie soutient le Docteur Bertrand de Rochambeau

Communiqué de la Marche pour la Vie

Capture d’écran 2018-09-12 à 20.03.40"Dans une interview diffusée mardi 11 septembre sur TMC, le Dr Bertrand de Rochambeau, président du Syndicat national des gynécologues, explique qu’il refuse de pratiquer des IVG parce que c’est « retirer des vies ». La Marche pour la vie et ses dizaines de milliers de sympathisants souhaitent lui apporter leur soutien.

La loi est avec le Dr Rochambeau. Selon l’article L2212-8 du Code de la santé publique, « un médecin n’est jamais tenu de pratiquer une IVG ». « Aucune sage-femme, aucun infirmier ou infirmière, aucun auxiliaire médical, quel qu’il soit, n’est tenu de concourir » à cet acte. C’est la clause de conscience qui distingue les sociétés démocratiques des régimes totalitaires.

La science est avec le Dr Rochambeau. La Marche pour la Vie rappelle avec le docteur Rochambeau la réalité biologique de l’être humain dès sa conception. Aucun scientifique ne peut dire aujourd’hui que l’embryon n’est pas un être humain.

Nul ne peut forcer le Dr Rochambeau à agir contre sa conscience et contre la réalité scientifique. La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, et la secrétaire d’Etat à l’Egalité femmes-hommes, Marlène Schiappa, ont condamné « fermement » ses propos, sans considérer le problème de fond, et  en refusant de voir le malaise grandissant des médecins concernés. Elles déclarent que « l’IVG est un droit trop souvent menacé pour lequel il convient de ne relâcher aucun effort ». En France plus de 220 000 avortements sont pratiqués chaque année. Contrairement à ce qu’elles prétendent, l’accès à cette pratique est loin d’être en danger. Les évolutions législatives sur ce sujet depuis quelques années (Suppression du délai de réflexion, de la condition de détresse, et le délit d’entrave à l’IVG) prouvent malheureusement l’inverse.

La Marche pour la Vie remercie le Dr Rochambeau pour son courage, elle appelle les français à se saisir de cette question cruciale de santé publique, et le gouvernement à protéger l’objection de conscience des médecins et des citoyens."

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