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Homosexualité : revendication du lobby gay

La doxa LGBT jusque dans les concours

Le terrorisme intellectuel LGBT s'inflitre partout. Une jeune fille est venue à Bordeaux passer le concours d'orthophonie. Voici l'épreuve.

BEt le début du texte de Pierre Bourdieu, tiré de La Domination masculine :

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18 commentaires

  1. Rien compris au texte ! C’est normal ?

  2. Est-ce que des amis peuvent fournir les informations sur les auteurs de cette manipulation et les coordonnées téléphoniques des responsables du département d’Orthophonie et de la présidence de l’Université ?
    Il faut qu’ils s’expliquent !

  3. La finale (une bouillie intellectuelle) est très rigolote :
    Ainsi, 50% des homosexuels hommes sont des dominés qui subissent la violence symbolique du dominant (l’autre homme qui le pénètre). Et ils “tendent à prendre le point de vue du dominant”, donc ils entrent dans la dérive psychique dont on cherche à sauver les femmes dominées … en sublimant l’homosexualité …
    Seuls les couples lesbiens vivent une sexualité sans dominant (pénétreur) ni dominé (pénétré), … sauf usage d’ustensiles.
    Et il y aurait même des femmes seules qui … seraient des dominées-dominantes.
    Pardonnez moi pour le vocabulaire mais c’est celui du texte de l’examen.
    Les fous qui tenaient des langages incohérent n’avaient pas de place dans le corps professorale il y a encore 20 ans, les choses changent vite quand les fou atteignent le sommet des pouvoirs.
    Ils n’ont hélas rien compris au respect que doivent avoir dans le secret de l’alcôve les hommes et des femmes, chacun selon sa nature : la pudeur, la pureté et la chasteté ne sont pas leur tasse de thé.

  4. Qu’est-ce que l’idéologue Bourdieu et le mouvement gay et lesbien viennent faire dans l’orthophonie ? Encore des bobos qui croient avoir inventé le fil à couper le beurre !
    ORTHOPHONIE : “Traitement, rééducation des troubles de l’élocution, du langage.” (CNTRL)
    Selon Wikipédia (avec réserves d’usage) : “Le père de l’orthophonie est Jean Marc Gaspard Itard qui est aussi l’un des premiers médecins spécialistes de l’otorhinolaryngologie1. L’orthophonie est née de la nécessité de prendre en charge les enfants opérés de « becs-de-lièvre ». Puis son domaine d’application s’est élargi jusqu’à englober les troubles de l’articulation et de la parole, de la voix, du langage oral et écrit, et ceux de la communication”
    Encore des diplômés qui, à cause d’un système idéologique stupide, sauront tout sur le LGBT mais ne sauront pas soigner…

  5. Mais qu’est ce que l’orthophonie a à voir avec ce brouillamini sémantique?
    C’est une escroquerie.

  6. Ce procédé de bourrage de crâne pavlovien est immonde tout autant que débile !

  7. Déjà, la traduction en français compréhensible de ce texte serait un exploit.

  8. @Jules L : certaines pratiques doivent déformer la mâchoire…
    ok, je sors
    Le résumé ? Euh, si j’écris “sexe” 177 fois, ça vous va m’sieur le professeur ?

  9. En clair cela permet d’éliminer tous ceux ou celles qui ne seront pas “gayment correct” dans leurs réponses .

  10. Peut-être que l’auteur lui-même est un cas intéressant pour des orthophonistes: s’exprimer dans un tel charabia appelle un traitement de choc!

  11. Dans un concours étatique, il y a toujours un texte de questionnement, un texte axé sur la matière du concours et une mise en situation.
    En l’espèce, le texte ici étudié est un livre de Pierre Bourdieu, daté de 1998, qui analyse la domination masculine. Y voir de la propagande n’a pas beaucoup de sens, puisque l’auteur ne fait qu’y analyser son concept. A savoir que la domination masculine relève du social et donne aux hommes et aux femmes des rôles particuliers, définis socialement.
    Bourdieu note, par ex, que lorsqu’une femme réalise une activité propre à sa condition sociale (la cuisine, le ménage, garder les enfants), elle ne reçoit aucune gratification de la Société, qui juge ces tâches « normales » quand elles sont exercées par une femme. En revanche, quand un homme passe derrière les fourneaux, prend l’aspirateur ou va à la promenade avec son enfant, on l’encourage, on le félicite et son acte apparait comme un « effort » qui mérite récompense sociale et/ou valorisation. (On donne une étoile aux chefs cuistots par ex, nos grands-mères n’en ont, elles, jamais reçues par ex!)
    Bourdieu note également qu’en revanche, une femme qui exerce une activité « masculine » comme s’occuper du moteur de la voiture, diriger une entreprise ou pire qui laisserait son partenaire faire (sous-entendu, à sa place) les tâches dites ménagères, non seulement n’y gagne aucun soutien social et même est très souvent découragée par une réprobation sociale qui s’exerce sur elle. La Société l’encourageant plutôt à « revenir » à son rôle social défini.
    Plus encore, Bourdieu observe que le groupe social (ici les femmes) « dominé » a tendance à « recadrer » les « rebelles » (qui passent outre la réprobation sociale) en faisant peser sur celles-ci une pression encore plus forte pour les inciter à s’assagir (cela se faisant généralement en les excluant de leur groupe) non compensée par un soutien des « dominants » (les hommes n’apprécient pas nécessairement que les femmes interviennent dans « leur » sphère : la voiture, le boulot, les questions d’argent…)
    Alors que chez les dominants (ici les hommes) celle-ci est plutôt faible (un homme qui fait la cuisine ne sera pas ostraciser par ex) et compensée par le soutien massif des « dominés » (ici les femmes) qui ont, eux, tendance à valoriser l’acte (les femmes accueillent plutôt bien, par ex, que les hommes interviennent dans « leur » sphère en les aidant pour le ménage, la cuisine, les enfants…)
    S’agissant des homosexuels, Bourdieu considère que ceux-ci sont victimes de cette « domination masculine » parce que (grosso modo), ils se rebellent contre leur statut social et se posent en « dominés » (puisqu’ils exercent, suppose-t-on, des activités « féminines ») alors que la Société les a fait « dominants ».
    Il soutient donc le coté novateur des idées des associations LGBT, dans ce cadre social. Ce qui ne veut pas dire qu’il prêche contre les hétéros ou contre la complémentarité homme/femme. Il se sert surtout de LGBT comme appui à son concept « d’habitus ».
    En revanche, Bourdieu n’adhère pas du tout aux thèses féministes puisque, pour lui, les féministes accréditent les rôles sociaux en voulant s’emparer des « tâches dévolues socialement aux hommes » (voitures, boulot, argent etc.) alors que théoriquement, elles devraient chercher à valoriser celles accomplies par les femmes « traditionnellement ».
    En effet, pour ce sociologue, aller « sur le terrain des hommes » est contreproductif, puisqu’on atteste (de fait) de la supériorité desdites tâches sur celles « dévolues aux femmes »…Et comme, dans le même temps, on maintient l’idée selon laquelle, un homme qui exerce des tâches « féminines » effectue un effort (et non un acte anodin ou « normal »), les femmes (les « dominés ») sont toujours sous pression « masculine » car les hommes (les « dominants »), eux, n’encouragent pas la présence féminine dans « leur » sphère…La jugeant injuste professionnellement (une femme élue ou présente dans un conseil d’administration est toujours soupçonnée d’avoir soit bénéficiée d’une promo canapé soit d’un coup de pouce étatique via la « discrimination positive » ou « la parité ») et néfaste personnellement (les hommes acceptant par ex que leur compagne travaille…Mais si leur confort perso n’est pas changé : d’où la persistance du différentiel sur les tâches ménagères par ex)
    Pour Bourdieu, les « dominés » doivent défendre la noblesse des actes qu’ils pratiquent. Concrètement, Bourdieu milite pour que les tâches « féminines » soient valorisées quand elles sont exercées par des femmes. Alors que, présentement, elles ne le sont que lorsqu’un homme les exécute.
    Il est clair, pour cette raison, qu’il se range aux positions LGBT…De 1998, pour qui un homosexuel (un « dominé ») devait s’accomplir dans sa différence et non chercher à aller sur « le terrain des « dominants » (les hétéros) en se mariant ou en adoptant avec son compagnon un enfant, actes qui (à ses yeux) s’inscrivent dans le conservatisme le plus strict et comme une victoire de la Société sur les » dominés » qui (à l’image des féministes conspués par Bourdieu), faute de défendre leur différence et la noblesse de celle-ci, cherchent à tout prix à se fondre dans la masse, comme si leur combat pour la différence était, en soit, déjà perdu.

  12. Il est certains esprits…
    Il est certains esprits dont les sombres pensées
    Sont d’un nuage épais toujours embarrassées ;
    Le jour de la raison ne le saurait percer.
    Avant donc que d’écrire, apprenez à penser.
    Selon que notre idée est plus ou moins obscure,
    L’expression la suit, ou moins nette, ou plus pure.
    CE QUE L’ON CONÇOIT BIEN S’ÉNONCE CLAIREMENT,
    ET LES MOTS POUR LE DIRE ARRIVENT AISÉMENT.
    Surtout qu’en vos écrits la langue révérée
    Dans vos plus grands excès vous soit toujours sacrée.
    En vain, vous me frappez d’un son mélodieux,
    Si le terme est impropre ou le tour vicieux :
    Mon esprit n’admet point un pompeux barbarisme,
    Ni d’un vers ampoulé l’orgueilleux solécisme.
    Sans la langue, en un mot, l’auteur le plus divin
    Est toujours, quoi qu’il fasse, un méchant écrivain.
    Travaillez à loisir, quelque ordre qui vous presse,
    Et ne vous piquez point d’une folle vitesse :
    Un style si rapide, et qui court en rimant,
    Marque moins trop d’esprit que peu de jugement.
    J’aime mieux un ruisseau qui, sur la molle arène,
    Dans un pré plein de fleurs lentement se promène,
    Qu’un torrent débordé qui, d’un cours orageux,
    Roule, plein de gravier, sur un terrain fangeux.
    Hâtez-vous lentement, et, sans perdre courage,
    Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage :
    Polissez-le sans cesse et le repolissez ;
    Ajoutez quelquefois, et souvent effacez.
    Boileau (1636-1711)

  13. A Seb,
    Je veux bien vous croire, et l’explication du contexte que vous donnez est très interessante.
    Cela dit, comme souvent, des phrases sorties de leur contexte peuvent dirent tout à fait autre chose. Ici, c’est malheureusement le cas et j’ai du mal à croire que ce soit purement fortuit.

  14. Je suis étudiante en première année d’Orthophonie à Bordeaux. Les études d’Orthophonie subissent depuis cette année une réforme qui ajoute des modules intitulés “sensibilisation aux sciences de la société” ou “psychologie sociale” qui permettent en fait de diffuser les idéologies de l’Etat.
    C’est ainsi que nous avons droit ce semestre à un professeur de sociologie extrêmement compétent (manipulateur) qui nous a interrogé pendant deux heures sur les stéréotypes en ricanant pour les classer au tableau. Et cela n’est qu’une pépite, le reste des 25H, nous apprenons que RIEN n’est naturel et que tout est contrainte sociale…
    En psychologie sociale, nous devons regarder des documentaires sur les discriminations liées au sexe et sur l’éducation à l’éco-citoyenneté. Ces deux matières n’ont strictement rien à voir avec l’Orthophonie mais par le biais de “réforme”, l’Etat insère sournoisement ces “enseignements”.
    Enfin, cela n’est pas une première en Orthophonie, l’année dernière déjà au concours de Lyon, nous avions dû plancher sur un dossier de 15 pages sur le genre. Le sujet n’est pas accessible car pour la majorité de ces concours, ils doivent être restitués avec la copie mais ce n’est pas le cas de Bordeaux.

  15. Excellente initiative de DUPORT qui nous rappelle le bons sens du cher Boileau. Mais Boileau est-il encore étudié en classe ? J’ai bien peur que non.
    Ce texte de Bourdieu prouve si en est encore besoin la profonde inutilité de la sociologie en temps que telle. C’est du jargon, un salmigondis idéologique.
    En revanche, nous faisons tous un minimum de sociologie sans le savoir dans l’étude du comportement de telle ou telle société dans l’histoire. Voyez Gustave Le Bon avec son livre intéressant, “La psychologie des foules”. Cela a vieilli, mais reste encore valable.
    La sociologie est un simple technique d’analyse, mais sûrement pas une “science”.

  16. @seb
    Le dit Bourdieu est si clair que vous n’en cessez plus de tenter de l’expliquer !
    Si tant est que vos explications soient en adéquation avec le dit texte, puisque nul ne semble en mesure de pouvoir le dire…

  17. @ Claire :
    Les rédacteurs des concours ont souvent des auteurs favoris. Dans l’enseignement (ma femme est enseignante), par ex, Philippe Mérieux est une référence comme peut l’être Pasteur pour les médecins ou Marx pour le parti communiste…Bien que cet homme ait (en vérité) des vues très éloignées de celles qui seront (un siècle plus tard) développées par Lénine et consorts !
    Je ne sais pas si Bourdieu « brille » particulièrement chez les rédacteurs du concours d’orthophonie(mais comme il a écrit un livre remarquable sur le langage, il est probable que oui)mais si ceux-ci sont des « idéologues du genre » (version LGBT) ils connaissent bien mal les écrits de ce sociologue !
    Il faut, je crois, rappeler qu’un concours vise à étudier les connaissances du postulant. Celui-ci est donc censé connaître l’auteur, ses œuvres et par là-même sa pensée. Un archiviste (j’ai passé le concours il y a quelques années) doit, par ex, connaître Victor Hugo, Mérimée et d’autres, non seulement pour leur contribution pour le patrimoine, mais aussi en tant que politique ou écrivain alors que techniquement, cela n’a pas grand-chose à voir avec les tâches d’un archiviste !
    Savez-vous également qu’un concours pour un poste de policier, peut demander au postulant d’étudier les méthodes d’investigation…De Sherlock Holmes ? (Mon beau-frère est policier et il a planché sur le « Chien des Baskerville » !)
    Je comprends que l’extrait de l’ouvrage de Bourdieu puisse choquer certains, mais il faut se rappeler qu’un concours s’adresse à des (jeunes) gens à l’esprit (en principe) critique et qui (surtout) connaissent l’auteur ou/et l’œuvre sur lesquels on les fait plancher. La question du langage étant (ma femme travaille avec des orthophonistes) aussi bien une question technique que sociologique (les bébés de parents Français par ex, pleurent en français !) il n’est pas anormal qu’un sociologue soit étudié ou que son œuvre fasse l’objet d’un sujet de concours ! Surtout s’il traite d’un sujet d’actualité (en l’espèce c’est le cas) et interroge les postulants sur ces questions délicates !
    @ Duport :
    Bourdieu est un auteur qui a un langage de sociologue. Il utilise donc le vocabulaire qui lui parait le plus adéquat. Je comprends que vous trouviez son lexique compliqué – j’ai les mêmes difficultés quand les agents du fisc interrogent mon comptable sur les comptes de ma société ou quand ma femme parle du CPE (contrat premier emploi ? A non le conseiller dans les collèges…) du LGIT ou s’insurge contre les ASCP ! – cela ne signifie pas pour autant qu’il ne soit pas clair ou qu’il utilise un « charabia » puisque ceux qui ont les mêmes codes de lecture que lui (les chercheurs, les enseignants, les sociologues…) en sont, eux, capables.
    Evidemment, seule une lecture de l’œuvre de Pierre Bourdieu vous permettra vraiment de vous faire une idée sur la valeur de mes tentatives de clarifier le propos de l’auteur. En attendant, voici une rapide biographie et surtout une interview de l’auteur, qui (vous le verrez) ne mâche guère ses mots à l’adresse des féministes, qu’il accuse (grosso modo) d’être des soutiens à la permanence de la « domination masculine ».
    http://www.larousse.fr/encyclopedie/personnage/Pierre_Bourdieu/109786
    http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=CDGE_033_0225
    @ tous : si cela peut vous rassurer, un enfant est déjà « construit » socialement (au grand désespoir du Ministre) avant ses six ans. S’il va (naturellement) enrichir ses connaissances, développer son esprit critique, le nombre de mots de base (ceux qu’il va utiliser tous les jours) qu’il connaîtra à cet âge évolueront peu dans sa vie, sa vision de la Société va elle aussi rester grosso modo la même.
    Ce pour une raison assez simple : seul un grand bouleversement peut altérer durablement son être profond. C’est pourquoi, contrairement à la croyance publique, ce n’est pas Jules Ferry qui a fait du français une langue partagée par toute la population (et pourtant, il s’est donné du mal) mais bel et bien la révolution industrielle et le chemin de fer !

  18. @SEB
    on peut tout réinterpréter :par ex. une grand mère qui n’est pas félicitée d’être un cordon bleu (ce qui est faux) et un homme qui reçoit une médaille pour la même chose peut être exposé comme le fait que l’homme est très en dessous de la grand-mère et qu’il est important de l’encourager afin qu’il progresse encore, alors que la grand-mère est dans la plénitude de son excellence.
    Tout les blablas du sociologue me semble être de plus des cas non généraux, peut-être l’observation du couple de ses concierges …

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