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Culture de mort : Avortement

La Commission des lois du Sénat rejette l’inscription de l’avortement dans la Constitution

La Commission des lois du Sénat rejette l’inscription de l’avortement dans la Constitution

Ce mercredi, les sénateurs ont rejeté en commission une proposition de loi visant à inscrire « le droit à l’IVG et à la contraception » dans la Constitution. Ce texte, porté par la sénatrice écologiste Mélanie Vogel et cosigné par plus d’une centaine de sénateurs de cinq groupes politiques, doit être examiné mercredi prochain en première lecture, dans le cadre d’une niche parlementaire réservée au groupe écologiste.

La Commission des lois du Sénat indique son attachement « à la protection de l’IVG », mais estime qu’ « une révision constitutionnelle ne s’impose pas », car elle « n’est pas justifiée par la situation rencontrée dans notre pays ».

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10 commentaires

  1. Depuis quand le gouvernement tient compte de l’avis du Sénat ?

    • Certes, mais là ce n’est pas de l’avis d’un gouvernement dont il s’agit. C’est d’une modification de la constitution qui ne peut se faire sans le sénat. Même avec la méthode Macron de mépris des parlementaires, c’est impossible.

  2. Néanmoins la mort , le parricide de son enfant, est une grande valeur de la République;

    retour au paganisme des temps obscurs de la barbarie.

    la diablesse Veil y veille depuis son Panthéon .

  3. I.V.G. : Interruption d’une Vie Génante. Nos élus ne doivent pas devenir des assassins! Il est vrai que nous sommes depuis plusieurs années dans une “culture de mort”. Mais au fait! que font les bergers “évêques”? Conduisent-ils bien leur troupeau?

    • Vous faites toujours de la désinformation puisqu’une interruption c’est … temporaire. Il s agit ici d’une suppression.

    • Très bonne votre définition de l’IVG (“Interruption d’une Vie Gênante”).
      Mais, à la réflexion, elle pourrait peut-être encore être améliorée.
      Car, normalement, on réserve le terme “interruption” à ce qui PEUT être ensuite repris (exemple : “une interruption de séance”, “il a été interrompu dans son discours”, “l’interruption des travaux”, etc.).
      Le terme “interruption”, dans le cas de l’IVG est donc un euphémisme – permettant d’occulter la réalité – , car, par définition, une vie “interrompue” ne peut jamais reprendre.
      Je propose donc :
      IVG = “Immolation d’une Vie Gênante”.

  4. Vu qu’il n’est pas question de compter sur les ” bergers-évêques ” , comme dit plus haut Tonton Jean , pour dissuader les gens d’assassiner leurs bébés , on peut espérer du côté des sénateurs ?…..

  5. La question a été posée dans un grand quotidien régional de l’Ouest : plus des 3/4 des réponses étaient pour l’inscription du droit à l’avortement dans la Constitution au moment où j’ai donné mon avis.

  6. Si le droit à l’IVG et à la contraception devait être inscrit dans la Constitution, il faudrait y ajouter également le droit à l’euthanasie . Et puis pourquoi pas le droit d’égorger les gens sur les trottoirs et toutes ces joyeusetés relatées dans les médias mais dont on ne sait jamais si les auteurs ont été condamnés.

  7. Immolation d’une vie génante; très bien trouvé, car c’est vraiment un bébé qui est immolé

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