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Culture de mort : Avortement

La Banque Mondiale fait la propagande de la culture de mort

La Banque mondiale a appelé aujourd’hui à donner aux femmes des pays pauvres un meilleur accès à la contraception et à l’éducation pour contribuer à réduire le nombre de grossesses :

"Chaque année ont lieu dans les pays pauvres, 51 millions de grossesses non voulues [le bébé serait arrivé comme par magie : c’est le nouveau mythe de la cigogne ! NDMJ] chez des femmes n’utilisant pas de moyens de contraception. L’éducation des filles et des femmes est tout aussi importante pour réduire à long terme le taux de natalité que la promotion de la contraception et du planning familial".

Demain, c’est la journée mondiale de la population. Il faut comprendre : la journée mondiale pour la réduction de la population.

Michel Janva

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3 commentaires

  1. Le Groupe de la Banque Mondiale aide au développement par le biais de prêts et financements …! Que l’on dit.

  2. “Le bébé serait arrivé comme par magie : c’est le nouveau mythe de la cigogne !”, dites-vous… Je trouve votre ironie quelque peu déplacée. Vous semblez volontairement ignorer que dans nombre de pays, une femme, même si elle ne souhaite pas une nouvelle maternité, n’a aucun moyen de refuser les exigences sexuelles de son mari, sous peine d’être battue ou répudiée. Rappelez-vous ce que racontait soeur Emmanuelle : en Egypte, elle a vu des jeunes femmes, données en mariage dès l’âge de 12 ou 13 ans, qui mettaient un enfant au monde tous les dix ou onze mois. On a beau expliquer aux hommes que la santé, et même la vie de leur épouse est en danger, ils s’en fichent pas mal : elle risque de ne pas supporter une nouvelle grossesse ? Bah, des femmes, ce n’est pas ce qui manque, j’en trouverai une autre !
    Pensez-vous vraiment qu’une femme choisit librement d’être, à vingt ans, déjà usée par de multiples maternités ? Ces femmes n’ont tout simplement pas d’autre choix que de se soumettre à la volonté égoïste de leur mari, pour qui elles ne sont que des machines à fournir des enfants.
    Dans ce monde dominé par les hommes, encore aujourd’hui, la vie d’une femme n’a guère de valeur…
    Certes, dans l’univers idéal que vous rêvez, le mari aime tendrement sa femme, il la respecte et se soucie de sa vie et de sa santé, mais hélàs la réalité est bien différente, et dans une grande partie du monde (et même chez nous !)c’est l’égoïsme et l’irresponsabilité masculins qui règnent.

  3. @Cathie :
    Commentaire attristant puisqu’il démontre bien que le bourrage de crâne que nous subissons depuis des années est malheureusement efficace : il vous a tout simplement fait oublier que la vie de l’enfant est en jeu. Sous couvert de “protection de la femme” ou autre “liberté”, on tue les enfants avec l’accord (pas toujours mais souvent) de leurs mères anesthésiées par le discours ambiant. je les plains, lorsqu’elle se rendent compte de l’énormité de cet acte !

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