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France : Société

Jean Robin s’exile en Polynésie

Jean Robin, fondateur des éditions Tatamis et d’Enquête et Débat, a décidé de s’exiler en Polynésie française, qui reste la France, mais paradis fiscal, sans oppression fiscale, hors des intrusions de l'Union européenne, paradis écologique, encore chrétien, sans islam, ni dénaturation du mariage ou idéologie du genre. Un départ également motivé par sa conversion au catholicisme. Voir ici.

Addendum 15/05 : un habitant de Polynésie réagit (et oui, Le Salon Beige est lu en Polynésie !) :

"S'il est vrai que certaines personne profitent de certains avantages fiscaux de la Polynésie, cela ne s'applique que dans des cas particulier comme l'investissement. Si en Polynésie il n'y a pas d'impôt sur le revenu, il est directement prélevé a la base… Ce qui rend la vie chère…. Un caddie pour une famille de 5 enfants est de 500 € par semaine…

Pour ce qui est de la religion, oui il n y a pas de mosquée, mais il y a plus de 350 musulmans sur le territoire, dont des voiles (hiffres de 2011). Quant à la religion catholique, chaque église est l'Église, et au vu du nombres de sectes, je parlerai plutôt de syncrétisme.

On vient en Polynésie pour le climat, la beauté du lagon et quand on a du fric se refaire une vie avec de belles polynésiennes. Bref parfois la beauté du paysage cache la laideur de la vie… Et pour ce qui est du mariage pour tous il s'applique aussi ici ainsi que l'idéologie du gender."

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3 commentaires

  1. La vie y est très chère mais les vagues sont bien meilleures

  2. Pas sûr que la fuite et l’exil fiscal soient des exemples à suivre.
    Cette recherche du Paradis Terrestre est évidemment vouée à l’échec et à la déception : l’homme est l’homme, partout et toujours, et il emporte avec lui la conscience du Bien et du Mal, intimement liée au péché originel.
    Voulant être l’égal de Dieu, mais étant soumis à ses passions mortelles, il s’adonne au Mal au moins autant qu’au Bien…
    Souvent, même, voulant le Bien, il fait le Mal, car sa misérable finitude lui donne une sagesse limitée et relative (surtout sans le soutien de la Révélation et de l’Esprit Saint !).
    Bref, ailleurs, ce n’est pas mieux, et ça peut même être pire.
    Avis aux migrants nostalgiques : l’Eden, cette région paradisiaque chantée par la Genèse, c’est l’Irak méridional, entre Bagdad et Bassora…

  3. Pour ma part, bien que mes moyens soient limités, la fuite est une preuve de courage.
    Fuir, ce n’est pas renier ses origines, sa Patrie!
    Bien au contraire, en tous les cas dans mon cs, c’est faire la constatation désagréable que plus rien n’avance, que plus rien n’est possible, que le Pays s’enlise, que les politiciens nous manipulent, que les media aux ordres travestissent la vérité, que les Français sont dressés les uns contre les autres, divisés pour mieux faire régner les “zélites” si compétentes…
    Mourir pour mon pays, MON VRAI PAYS, oui!
    Mais crever ICI en vain, NON!!!
    Sans en faire une référence absolue, La Résistance avant la rupture du pacte germano-soviétique s’était organisée en exil, hors de France.
    Même si, en France, d’autres, même à Vichy, essayaient de faire ce qu’ils pouvaient.

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