Jacques Cheminade a annoncé avoir dès à présent de «plus de 500 promesses de signatures» dans la course à la prochaine présidentielle. Candidat en 1995 – il avait obtenu 0,28% des voix au premier tour –, il exposera aujourd’hui son programme. Le président du parti Solidarité et Progrès propose notamment l'interdiction stricte du cumul des mandats, l'instauration d'une TVA sociale; la fusion de l'impôt sur le revenu et la CSG ou encore la séparation des banques de dépôt et des banques d'investissement.
Jacques Cheminade aurait ses 500 signatures
Articles liés
4 commentaires
Publier une réponse
Vous devez avoir un compte pour publier un commentaire
PG
S’il les a, lui qui réapparait brusquement après avoir été absent durant 16 ans, c’est sans doute qu’on les lui a ”données”.
Car si C. BOUTIN ou M LP nettement plus connues, médiatisées, s’appuyant sur des partis ou réseaux anciens, et ayant recueilli nettement de voix que lui à de nombreuses reprises, n’y parviennent pas, on peut en conclure à un ”mystère” bien peu mystérieux.
Claude GUEANT est à l’oeuvre : il fait dans l’Intérieur.
pmc
Comme PG, je suis convaincu que la magouille est reine en ripoublique !
Vive le roi !
Ethos
Le climat de terreur et les actes de terrorisme civil , contre la France et contre la liberté des Français sont entretenus par le Système qui n’a certainement pas intérêt à voir veniraux marches du pouvoir une nouvelle génération libre et fière de sa patrie .
La révolution est toujours en marche, c’est bien pourquoi on se cachait pour donner son parrainage à JMLP et qu’aujourd’hui on a peur de donner à la fille du même.
toni
Mais que font les autorités chargées de veiller au bon fonctionnement des institutions?(vendues aussi !!)rien malgrés tous les recours déposés par la candidate,car là manifestement il y à inconstitutionnalité,mais bon ,on préfère se préoccuper de la légalité des élections au Sénégal et ailleurs et continuer les magouilles entre ami du systéme et étouffer le peuple Français!
Les républiques bannaniéres ne sont souvent pas celles qu’on croit.