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Pays : Turquie

Istanbul, capitale européenne

Turquie_1 …de la culture en 2010. Les technocrates de l’Union européenne ne manquent pas de toupet : Istanbul a été sélectionnée avec trois autres villes (Essen en Allemagne et Pecs en Hongrie) pour devenir capitale européenne de la culture. Ces villes recevront à ce titre des fonds (je vous laisse deviner qui va payer) pour organiser des évènements promotionnels.

Nos eurocrates cherchent à intégrer de force la Turquie dans l’UE. Mais capitale de la culture, c’est un peu osé. Capitale de la répression religieuse, voire de la répression tout court, ça fait déjà plus vrai !

Michel Janva (via le Conservateur)

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3 commentaires

  1. Pauvres Stambouliotes!!Si ça leur coûte aussi cher que ça a coûté et que ça coûte encore à notre belle ville de Lille.. Ils feraient meieux de s’offrir quelques dispensaires, lignes de ferries ou écoles primaires!
    cela dit c’est vraiment un gros gros scandale

  2. La Turquie …?! Capitale européenne de la culture…?! Mais on parle de la culture de l’intolérance et de l’islmamisation ou bien de la culture européenne (chrétienne même si M.Chirac refuse de le reconnaître)…
    On fonce vraiment dans le mur, ce qui est certain c’est qu’à Lille vous avez eu le droit aux meilleures bières, ne vous attendez pas à quoique ce soit dans le genre chez les Turcs!!
    La grippe aviaire est aux portes de l’Europe, la Turquie aussi!!

  3. L’art de l’enluminure, je l’ai déjà dit, fut une diffusion photogénique de Bysance à travers l’âme rêveuse et mélancolique des Occidentaux; le mirroir à contre-jour, et miraculeusement adouci par une enfantine foi, de ses mosaïques, de ses pierreries, de ses palais, de ses dômes peints, de sa Corne d’Or, de sa Propontide et de son ciel. Il fut, par excellence, l’Art du Moyen Age et devait nécessairement finir avec lui. Lorsque Bysance devint l’auge à cochons des Musulmans, le prestige qui l’avait fait naître s’évanouit et les rêveurs au désespoir tombèrent dans l’encre indélébile de Butemberg ou dans l’huile épaisse des renaissants.
    Leon Bloy, La femme pauvre.

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