Partager cet article

Liberté d'expression

Incroyable Robert Ménard : “On s’en fout des vieux laïcards”

Le 14 octobre dans "Ménard sans interdit" sur Itélé, le journaliste recevait le père Guy Gilbert. Extrait :

  • M Le Père Guy Gilbert, à propos de la récente rencontre entre le pape Benoît XVI et le Président de la République Nicolas Sarkozy : "il (Nicolas Sarkozy, NDLR) a fait simplement quatre signes de croix"
  • Robert Ménard : "Ça vous a choqué les quatre signes de croix ?"
  • PGG : "Ah bah écoute, ça m'a pas du tout choqué. Il peut en faire 10 avec 40 génuflexions, il se les fait. L'important, c'est que nous avons une laïcité positive et que ça fait grogner des personnes qui disent 'mais enfin, mais enfin, merde'"
  • RM : "Des vieux laïcards, mais on s'en fout de ceux-là..."
  • PGG : "Ouais."

Partager cet article

7 commentaires

  1. Il a beau être de gauche, je l’aime bien ce Robert Ménard.
    Un des derniers journalistes honnêtes…

  2. C’est drôle mais on a l’impression d’avoir échangé les répliques !!!

  3. il n’a pas travaillé récemment pour une pétromonarchie du golfe ?

  4. C’estvrai que ce Ménard devient de plus en plus surprenant…

  5. Ci-joint le début de la biographie de Robert Ménard sur Wikipedia.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Ménard
    “Fils d’un imprimeur proche de l’OAS[2], d’une famille catholique installée en Algérie depuis 1850, où « on détestait les gaullistes et les communistes », selon ses propres termes, Robert Ménard a neuf ans lorsque sa famille rentre en France pour l’Aveyron, à Brusque. Il suit les cours d’un collège religieux et envisage de devenir prêtre”
    Il revient peut être à la foi de son enfance…

  6. Curieux homme en effet…
    “WIKI : (…) Depuis novembre 2008, il occupe les fonctions de directeur d’un centre d’accueil pour les journalistes à Doha au Qatar, doté d’une subvention annuelle de 3 millions de dollars par l’émir. Son conseil d’Administration compte notamment Patrick Poivre d’Arvor et Dominique de Villepin.
    Les détracteurs de l’ancien secrétaire général de RSF s’étonnent de cette reconversion dans un pays qui n’a rien d’une démocratie : le pouvoir y est transmis par hérédité et la presse n’a pas le droit d’émettre des critiques contre la famille régnante et le gouvernement. En outre, des organisations humanitaires (Amnesty International et la Commission des droits des femmes de l’ONU…) y déplorent la pratique de la polygamie, de la misogynie, de la flagellation, de traitements proches de l’esclavagisme pour les travailleurs immigrés, de la torture, de la peine de mort.
    Critiques à son encontre [modifier]
    A partir de la deuxième partie des années 2000, Robert Ménard est de plus en plus présent, sur des dossiers de plus en plus nombreux. Certains de ses propos ou de ses absences de réaction, que ses critiques qualifient d’erreurs ou d’omissions, ne sont plus pardonnés. Ses partisans répondent qu’il ne peut être partout à la fois, en particulier sur la scène française, comme si RSF devait être la seule organisation à parler de liberté de la presse. Sa défense de la liberté d’expression le porte à donner la parole à l’écrivain Alain Soral, à défendre l’humoriste Dieudonné, et à s’opposer à la loi Gayssot[2]. Sa position en faveur de la non-interdiction sur le territoire français de la diffusion de la chaîne de télévision du Hezbollah, Al-Manar, « au nom de la liberté d’expression », ont été critiquées par Proche-Orient.info.
    Son « absence de réaction » au licenciement d’Alain Genestar de Paris Match lui a été reprochée par Anne-Sophie Mercier dans Charlie-Hebdo.
    En février 2010, Robert Ménard tient des propos qualifiés d’homophobes par certains. Il déclare à la télévision qu’il ne veut pas que ses enfants voient le dessin animé “le Baiser de la Lune” évoquant une relation amoureuse entre deux poissons mâles. “J’ai envie que ma fille ait une sexualité hétérosexuelle” a-t-il expliqué.
    Un mois plus tard, en mars, il se déclare favorable à la peine de mort en évoquant le cas de Hank Skinner[4]. Il avait déjà tenu, en 2007, des propos laissant penser qu’il trouvait légitime l’usage de la torture dans certains cas[5].”

  7. Vraiment curieux…
    Ouvrages
    * Club des 500 : les 500 qui font le Languedoc-Roussillon, Montpellier, Éditions ensoleillées-Intelligence Média, 1990
    * Ces journalistes que l’on fait taire, éditions Albin Michel, 2001
    * La Censure des bien-pensants (avec Emmanuelle Duverger), Albin Michel, 2003
    * Algérie, le livre noir, 2003
    * Les jeux de la honte, 2008
    * Des libertés et autres chinoiseries, 2008
    * Les Français sont-ils antisémites ? avec Elisabeth Lévy, 2009
    * Mirages et cheikhs en blanc : Enquête sur la face cachée du Qatar, le coffre-fort de la France (avec Thierry Steiner), 2010

Publier une réponse

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services