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Culture de mort : Idéologie du genre

Ils veulent interdire les “thérapies de conversion” qui n’existent pas mais surtout pas celles visant le changement de sexe

Ils veulent interdire les “thérapies de conversion” qui n’existent pas mais surtout pas celles visant le changement de sexe

Dans la proposition de loiinterdisant les pratiques visant à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne“, déposée par le député LREM Laurence Vanceunebrock, on lit :

“Ces pratiques, comportements ou propos ne comprennent pas ceux visant le changement de sexe ou tout service qui s’y rapporte”.

Or les idéologues du gender font la promotion du changement de sexe, des bloqueurs de puberté, de la prise intensive d’hormone… Il est permis de changer de sexe quand c’est contre-nature, mais il est interdit de revenir en arrière. Ces idéologues agissent comme les sectes, où l’on ne peut plus sortir.

Dans le même genre de délire, la proposition de loi du député LREM Marie-Pierre Rixain “visant à accélérer l’égalité économique et professionnelle“, la Commission des Affaires sociales de l’Assemblée a adopté un texte après l’article 4 bis, destiné à modifier l’article L. 213‑2 du code de l’action sociale et des familles : après le mot : « famille », sont insérés les mots : « , de la lutte contre les stéréotypes de genre ». De quoi s’agit-il ? Explication :

Plusieurs études montrent que les stéréotypes de genre sont transmis par les parents dès la vie intra-utérine. Ces études ont démontré que les parents s’adressaient différemment à l’enfant à naître ou apposaient leurs mains différemment sur le ventre de la mère selon qu’il s’agissait d’un enfant de sexe masculin ou féminin. Bien qu’il s’agisse de réflexes de la part des parents, il importe de les sensibiliser à la question de la lutte contre les stéréotypes de genre dès la grossesse ainsi que durant les premiers mois de la vie de l’enfant un fois celui-ci né. Le présent amendement vise par conséquent à compléter le code de l’action sociale et des familles qui comporte un volet sur l’éducation et le conseil familial au chapitre III du Titre 1er du Livre II.

Dans cette même chronique de cinglés du gender, on apprend que la compagnie ferroviaire LNER (London North East Railway) s’est excusée après qu’un conducteur de train a osé dire « Bon après-midi mesdames et messieurs ». Le conducteur a été dénoncé par une « personne non-binaire » qui se trouvait ainsi discriminée. LNER a remercié cette personne d’avoir dénoncé le conducteur, et a promis de veiller à ce que les agents soient tous impeccablement « inclusifs ».

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4 commentaires

  1. Ce conducteur a aussi oublié de saluer les tartes aux pommes

  2. Hé non on à plus le droit de dire Mademoiselle ou mesdemoiselles car ça aussi c’est une discrimination négative….. on marche sur la tête…. Donc désormais si on veut être ce que l’on veut on peut…. être par exemple un poison rouge si on a des pertes de mémoire ???? on va droit vers l’avènement d’une idiotcratie……

  3. Bonne nouvelle : ces députés reconnaissent donc qu’il y a bien quelqu’un dans le ventre d’une mère puisqu’on peut l’influencer. Je croyais que ce n’était qu’un tas de cellules…
    Voilà encore une contradiction de leurs néfastes idées.

  4. Et on va tolérer tout cela encore longtemps ?

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