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L'Eglise : Vie de l'Eglise

Hommage aux 660 000 religieuses dans le monde

Hommage aux 660 000 religieuses dans le monde

A l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes, célébrée ce 8 mars, l’AED rend hommage à ces 660 000 femmes qui, à travers le monde, consacrent leur vie au service de leur prochain : les religieuses.

« Cœur priant » de l’Eglise selon le pape François, les religieuses contribuent au développement intégral de l’homme et de tout homme. Pendant ce temps de Carême, l’AED entend souligner leur remarquable travail et leur donne la parole pour qu’elles témoignent de leur vocation, pastorale ou contemplative (ici).

Dans 85 pays, l’AED apporte son soutien à près de 11 000 religieuses : 4500 d’entre elles effectuent un travail pastoral et social auprès des enfants, des personnes âgées et des malades, et 6500 autres, comme l’affirme le pape François, « depuis le silence des cloîtres, produisent des fruits de grâce et de miséricorde ».

Alors que le Saint-Père appelle ce mois-ci à prier pour les chrétiens persécutés à cause de leur foi (ici), l’AED tient à rendre hommage aux religieuses qui accomplissent leur mission dans des situations dangereuses – au point, parfois, de donner leur vie par fidélité au Christ – et, en particulier, à :

  • quatre religieuses de la congrégation des Missionnaires de la Charité, qui ont été assassinées par des djihadistes au Yémen en 2014
  • deux religieuses, qui ont perdu la vie lors de débordements de violence à Haïti et au Soudan du Sud en 2016 ;
  • et sœur Gloria Cecilia Narvaez, missionnaire colombienne, qui a été enlevée par Al-Qaïda au Mali depuis deux ans.

« Au service de Dieu et des hommes, engagées aux côtés des plus délaissés d’entre eux sur les cinq continents, les religieuses assurent un remarquable travail et font preuve d’un incroyable dévouement », salue Marc Fromager, directeur de l’AED.

Sœur Mona Aldhem, religieuse syrienne, est invitée par l’AED à témoigner lors de la 11ème Nuit des Témoins, qui aura lieu du 23 au 29 mars. Responsable d’une école patriarcale greco-catholique dans la banlieue de Damas quand les combats éclatent en 2011, sœur Mona témoignera de son engagement au côté du peuple syrien et du service pastoral et social qu’elle effectue afin, dit-elle, que « les habitants restés sur place, libérés de la peur-panique d’être chassés de leur maison, secouent la poussière de la guerre ». Son portrait est à découvrir ici.

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1 commentaire

  1. Excellente idée de rappeler cela dans le contexte actuel.
    Les fautes de quelques uns ne doivent pas retomber sur la multitude.

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