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Médias : Désinformation

Gauchopedia : Wikipedia a ressuscité les méthodes staliniennes d’effacement de l’information

Gauchopedia : Wikipedia a ressuscité les méthodes staliniennes d’effacement de l’information

Sur Wikipédia, le traitement d’Eric Zemmour est différent de celui de Jean-Luc Mélenchon : l’un est qualifié d’extrême droite dès la première ligne, l’autre est un simple “homme politique”. Malgré cela, les médias s’étonnent que des membres de l’équipe de campagne d’Eric Zemmour tentent de corriger sa page Wikipedia.

Le fait que des permanents des associations d’extrême gauche (financées par les contribuables) alimentent cette base commence à se savoir et devrait accentuer la perte de crédibilité de Wikipedia. Contribuer à alimenter Wikipedia est une perte de temps, car il faut être prêt à discuter des heures avec des personnes de mauvaise foi, qui n’ont ni vie sociale ni professionnelle. Membres d’associations de gauche ultra-subventionnées, ils passent la journée devant leur écran. Pire, même s’il est possible de gagner quelques victoires tactiques, au prix de gros efforts, nous y perdrons la guerre de l’information, puisque Wikipedia est en aval d’institutions (comme la presse) dominées par la gauche. Comme le colonel Nicholson à la fin du film Le Pont de la rivière Kwaï, y contribuer en toute bonne foi, c’est donner de la crédibilité à ce réseau et travailler pour l’ennemi. La seule voie d’action efficace est de dénoncer “Gauchopedia”, pour les mettre sur la défensive, et pour qu’au moins les utilisateurs sachent qu’ils sont sur un site de gauche et cessent de financer cet outil de propagande.

Sur Twitter, Jean-Luc Coronel de Boissezon, universitaire, agrégé des facultés de droit, Défenseur de celle de Montpellier, raconte :

Wikipedia, en France, est tenu par 150 administrateurs cooptés. Une trentaine de ceux-ci font régner, sur tout sujet politiquement sensible, un terrorisme intellectuel que le grand public ne peut imaginer. Il s’agit toujours des mêmes profils, interagissant sur les pages de discussions avec une connivence éhontée, se sachant en position de force. A la moindre résistance d’un contributeur, l’un d’entre eux le “suspend définitivement”, non seulement le compte créé, mais encore l’IP. Il s’agit donc d’une pure et simple réduction au silence… sous prétexte de “savoir libre” : Wikipedia est le lieu le plus orwellien de la Toile. A partir de là, les contributeurs d’extrême gauche effacent toute trace de la vérité réintroduite par le contributeur banni. S’il s’agit d’une personne faisant l’objet d’une notice, elle pourra être salie sans contradiction, tous ses défenseurs étant les uns après les autres bannis.

J’ai connu cela lors de l’affaire de l’occupation illégale de ma Faculté par les amis politiques des administrateurs. Une notice sur moi a bien évidemment été créée par leurs soins anonymes, entièrement à charge, cela va sans dire. Aujourd’hui, avoir une fiche Wikipedia est l’une des pires choses qui puisse arriver à toute figure publique qui n’est pas à la gauche de la gauche, sans exception. Des contributeurs ayant tenté de simplement rééquilibrer ma notice, les administrateurs ont sévi : l’adjectif “illégal” concernant l’occupation a été effacé, les violences des bloqueurs de même ; la mention de la pétition de 450 universitaires en ma faveur et celle du doyen Pétel a été supprimée, alors que la référence venait du journal “Le Monde” lui-même (!) ; puis c’est la mention de la tribune en notre faveur du Pr. F.-X. Lucas dans le “Figaro Vox” qui a été effacée, la mention d’un article de “Valeurs actuelles” ayant été amputée (tandis que les administrateurs tentaient de coller la mention d’ “hebdomadaire d’extrême droite” à VA). Enfin, toutes les pourtant brèves évocations des manipulations de la député d’extrême gauche locale dans l’affaire, ainsi que de l’attitude incohérente du préfet, ont été pareillement effacées : Wikipedia a ressuscité les méthodes staliniennes d’effacement de l’information.

Wikipedia, dans tout domaine et pour toute personne liés de près ou de loin aux enjeux politiques, est une machine à broyer kafkaïenne, qui jette mondialement en pâture les personnes attaquées, avec toutes les conséquences sociales, professionnelles et familiales qui s’ensuivent. En France comme aux Etats-Unis dont vient – comme la plupart de nos pathologies sociales – cette “encyclopédie [très sélectivement] paticipative”, les “social justice warriors” confortablement cachés derrière leur clavier agressent anonymement leurs adversaires politiques. C’est tout le goût irrépressible de l’extrême gauche pour la politique politique, les “procès révolutionnaires” et l’épuration brutale, de la Terreur jacobine à la Tchéka, du Guépeou au NKVD, et de Mediapart aux “antifas”, qui s’exprime chez cette trentaine d’administrateurs.

Il est nécessaire d’agir pour que les subventions publiques cessent d’aller aux associations d’extrême gauche dont ces policiers politiques en ligne sont des permanents (ils passent leurs journées sur leurs écrans). La liste des 158 administrateurs est ici.

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10 commentaires

  1. Cette description des méthodes de Wikipédia est malheureusement très juste.
    Mes quelques essais en la matière le confirment : Wikipédia est une entreprise de terrorisme intellectuel tenue par des propagandistes gauchistes d’une mauvaise foi inimaginable.
    J’ai eu, moi aussi, quelque temps, l’illusion de pouvoir y défendre la vérité. Impossible : ils tiennent tout.
    En revanche, un site parallèle dénonçant, sur différent sujet, les mensonges et les partis pris idéologiques de Wikipédia pourrait être très utile, car beaucoup, beaucoup, beaucoup de gogos ont le réflexe Gauchopédia…

  2. Si on consulte les pages de Wikipédia consacrées à Joe Biden, à Emmanuel et Brigitte Macron, ou à Donald Trump, on constate qu’elle sont intégralement verrouillées (pour éviter d’être “vandalisées”).
    Pourquoi l’équipe de Monsieur Zemmour ne procède-t-elle pas à la même opération ?

    • En 2012, celle de Sarkozy était travaillée plus négativement qu’auparavant…
      J’ai lu (sur Dreuz, je crois) qu’au moment de l’affaire Epstein, l’occurrence du nom “Trump” sur la page d’Epstein avait été fortement augmentée alors que celle du nom “Clinton” fortement réduite. En oubliant que Trump avait viré depuis deux décennies Epstein de son club.

  3. Faut pas pousser non plus. D’abord, ça ne concerne que les sujets pris en main par la propagande médiatique, les sujets véritablement encyclopédiques sont beaucoup plus tranquilles. Ensuite les règles internes de Wikipédia sont de reproduire ce que disent des sources, à partir du moment où la presse dit que Z est d’extrême droite mais ne dit jamais que M est d’extrême gauche, les articles correspondants le reflètent, il n’y a pas de raison de voir autre chose qu’un complot médiatique. Enfin, pour “rectifier” un article biaisé il faut le faire à armes égales, en y consacrant du temps et du personnel pour “faire nombre”. Vae soli.

    • Vous êtes un peu naïf Biem. Allez voir si Wiki évoque, simplement évoque, la rencontre de Victor Hugo avec Don Bosco ? Idem en sciences dures où des conjectures (de médaille Field) sont passées sous silence car elles blessent ‘la communauté scientifique’ matérialiste de wiki. Dans tous les domaines, le combat est entre Puissances et Dominations.

  4. J’avais écrit il y a plusieurs années un commentaire rectificatif contestant l’inventeur suédois d’un dispositif déjà séculaire pour la navigation à voile, donc très neutre politiquement, avec de nombreux arguments de poids. Au bout de quelques années mon commentaire avait disparu sans que quiconque ne me contacte à ce sujet, et l’ancien texte purement et simplement remis en ligne.
    Il y a à boire et à manger sur Wikipédia. Et quand il s’agit de sujets historiques, politiques, religieux, la méfiance doit être de mise.

  5. Trump n’a, je crois, fréquenté l’île d’Epstein qu’une seule fois, contrairement à Clinton inscrit plus de 20 fois sur le carnet des passagers du fameux “Lolita Express”.
    A son retour de ce paradis empoisonné, Trump avait fait une déposition chez son avocat pour lui confier les graves soupçons qu’il avait rapporté de ce séjour.

  6. L ‘article consacré à Alfred de Musset par exemple, est un ramassis d’erreurs.
    Il est vrai qu’il est un aristocrate de droite, avec de l ‘esprit et du génie.

  7. Concernant André Chadernagor, article fort expurgé.
    Pareil pour la Mission laïque.

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