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France : Politique en France

François Hollande accuse la France

De Maxime Tandonnet :

"Le président vient de se prononcer à Dakar pour une « réparation » du crime que fut l’esclavage. Ce mea culpa d’un
chef de l’État français me paraît discutable dans la mesure où
l’esclavage se confond avec l’histoire de l’humanité et non pas
l’histoire de France […].

Ce n’est donc pas la France, par la voix de son président, qui
devrait se repentir, mais l’humanité toute entière. Quand « Matignon »
annonce qu’il étudie les « moyens de réparer l’esclavage », à
quoi pense-t-il ? À réparer l’histoire de l’humanité depuis les
origines ?
Je doute que le budget de l’État, avec son déficit de 5,2% du
PIB, y suffise… Bref, au fond, ne faudrait-il pas tout simplement, dans
cette logique, se repentir d’être des hommes?

[…] Un jour, en 2008, en visite au Gabon, j’ai fait la connaissance d’un
haut fonctionnaire d’une soixantaine d’années, grand, mince, petite
moustache. « Les Gabonais ont un regret me dit-il de se voix grave
et douce, celui de s’être séparés de la France en 1960. La France, nous
l’aimons comme notre propre pays en souvenir des navires de guerre
français, qui sillonnaient les côtes africaines, au XIXe siècle, pour
frapper les trafiquants d’esclaves
. »

Qu’il y a-t-il derrière l’idéologie de la repentance? La haine de soi
bien sûr, la haine de la nation, la haine de la France
. On efface les
victoires, les moments de gloire, de grandeur et de réussite mais on
s’invente, on se fabrique des crimes à soi, des crimes odieux dont on
s’accable avec délectation pour mieux s’auto-détester. Comment ensuite,
accepter d’appartenir à un pays aussi coupable ? Dès lors, on encourage
la dissolution, la fragmentation, les particularismes, le repli
identitaire, au détriment de la communauté nationale
. La repentance
exacerbée est un moyen détourné, dissimulé, masqué bien entendu, de se
débarrasser de la France en catimini. Elle ouvre la voie à la division
et à la discorde civile, préparant ainsi de futurs malheurs."

Et puis l'esclavage existe toujours, dans les pays musulmans ("modérés").

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23 commentaires

  1. Avec un tel Président, la France n’a pas besoin d’ennemis.

  2. …la colonisation de l’Afrique de l’ouest par la France a mis fin à la traite négrière vers les pays arabes.Devons faire aussi repentance pour cela ?

  3. Excellent article, merci Monsieur

  4. La marionnette joue le rôle pour lequel on l’a formée et programmée.
    Où est le problème ?

  5. Qui tire sur les ficelles de notre sublîme marionnette? Est il interdit de le ou les nommer?

  6. Et nos ancêtres gaulois esclaves des romains ou des envahisseurs francs (et bataves) demandent réparation. Au bassinet M. Hollande, au bassinet.
    Quand s’arrête la prescription?

  7. De toute façon pour la droite ou la gauche la France est définitivement coupable de l’esclavagisme, du colonialisme et du collaborationnisme…

  8. De plus, ce puritain de la gauche Flamby est un professionnel de la repentance!

  9. cette décision, cette politique, sont le signe qu’il faut vraiment se préparer à se soumettre (ou se démettre? ) (dé-maître?)

  10. L’Histoire de la traite négrière n’est pas si ancienne que l’on ne puisse y mettre les noms de ceux qui la pratiquaient et/ou la finançaient. Il en va de même de la Colonisation et des fauteurs de guerres; il est évident que le Peuple français, (le “petit peuple”) est totalement innocent de ces crimes; par contre, ce sont les dirigeants, les oligarques d’aujourd’hui et d’hier qui sont “responsables et coupables” de tout. Le cynisme avec lequel ils accusent leur propre peuple des crimes qu’ils commettent (derniers exemples en date : la Libye et la Syrie) et ont commis n’en est que plus infect.
    http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/cynique/21363
    http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/infect/

  11. @ jewdocha :
    C’est à mois que vous posez la question ?
    Il suffit de regarder d’où il vient, qui l’entoure, et de qui il prend conseil…
    Bon ! Il faut peut-être des lunettes spéciales pour bien voir…

  12. Les razzias sur les côtes de Provence et du Languedoc par les barbaresques étaient monnaie courante au XVIIIème siècle et même les Etats Unis, à peine existants comme nation, ont eu maille à partir avec les pratiques du bey d’Alger et ont armé des navires pour escorter leur flotte commerciale de marchandises (pas de trafic d’esclaves noirs) en Méditerranée, au XIXème. Là aussi il y a des listes sans doute disponible de personnes ayant subi ces horribles pratiques, sans remonter à plus loin!
    Tout cela c’est pour occuper l’espace médiatique et surtout ne pas parler de problèmes qu’ils sont incapables de gérer. Ils allument des contre feux ailleurs mais c’est très grave car ils provoquent des haines qui n’existaient pas il y a quelques décennies. A croire que c’est ce qu’ils veulent.
    De toute façon l’on ne peut construire un avenir commun sur des mensonges de l’histoire.

  13. En revanche, cela ne le gêne pas de nous mettre, nous, aujourd’hui,de plus en plus en situation d’esclavage vis-à-vis de l’Europe, de l’Etat omnidépensant et des populations qui occupent notre territoire et vivent sans contrepartie du fruit de notre travail…

  14. Ce type est vraiment un pitre.
    Et bien sur pas un mot, aucune demande de réparation pour les crimes commis contre les Prêtres et les Ecclésiastiques et autres moniales massacrés au lendemain de 1789. Pas un mot pour l’assassinat du Roy, pas un mot pour le massacre de nos Frères et Soeurs dont il me plait ici d’honorer la mémoire : Les MARTYRS DE SEPTEMBRE. (1792).
    Jean-Marie du Lau d’Allemans, François-Joseph et son frère Pierre-Louis de la Rochefoucauld, évêques, respectivement d’Arles, de Beauvais et de Saintes et quatre-vingt-douze compagnons Prêtres : Vincent Abraham, de Charleville, curé de Sept-Saulx, au diocèse de Reims ; André Angar, de Paris, vicaire à la paroisse Saint-Sauveur ; Jean-Baptiste-Claude Aubert, de Paris, curé de Notre-Dame de Pontoise, au diocèse de Rouen ; François Balmain, de Luzy, au diocèse de Nevers, ancien jésuite, confesseur des Filles de Sainte-Croix de Rueil ; Jean-Pierre Bangue, de Vuillafans, au diocèse de Besançon, chapelain de l’hôpital Saint-Jacques, à Paris ; Louis Barreau de La Touche, du Mans, bénédictin de Saint-Maur, prieur de Saint-Baudile à Nîmes ; Louis-François-André Barret, de Carpentras, vicaire à la paroisse Saint-Roch à Paris ; Joseph Bécavin, de Carquefou, au diocèse de Nantes, ordonné le 15 avril précédent ; Charles-Jérémie Béraud du Pérou, de Meursac, au diocèse de Saintes, ancien jésuite, vicaire général de Saintes ; Jacques-Jules Bonnaud, du Cap-Français, à Saint-Domingue, ancien jésuite, vicaire général de Lyon ; Jean-Antoine-Hyacinthe Boucharenc de Chaumeils, de Pradelles, au diocèse du Puy, vicaire général de Viviers ; Jean-François Bousquet, de Ginestas, au diocèse de Narbonne, demeurant à Paris dans la maison des Eudistes ; Jean-François Burté, de Rambervillers, au diocèse de Saint-Dié, supérieur des Cordeliers, à Paris ; Claude Cayx, dit Dumas, de Martel, au diocèse de Cahors, ancien jésuite, directeur des Ursulines de Saint-Cloud ; Jean Charton de Millou, de la paroisse Saint-Nizier, à Lyon, ancien jésuite, confesseur des Religieuses du Saint-Sacrement, rue Cassette, à Paris ; Claude Chaudet, du diocèse d’Aix, au service de la paroisse Saint-Nicolas des Champs, à Paris ; Ambroise-Augustin Chevreux, d’Orléans, bénédictin, supérieur général de la Congrégation de Saint-Maur, député à l’assemblée nationale ; Nicolas Cléret, de Barfleur, au diocèse de Coutances, chapelain des Incurables, à Paris ; Claude Colin, de Charenton, “maître spirituel” de l’Hôtel-Dieu de Paris ; Bernard-François de Cucsac, de Toulouse, sulpicien, supérieur du séminaire de philosophie de Saint-Sulpice, à Paris ; François Dardan, d’Isturitz, au diocèse de Bayonne, confesseur au Collège de Sainte-Barbe, à Paris ; Guillaume-Antoine Delfaut, de Daglan, au diocèse de Sarlat, ancien jésuite, curé de Daglan, député à l’assemblée nationale ; Mathurin-Victor Deruelle, de Paris, chapelain des Filles de la Charité, sur la paroisse Saint-Gervais ; Gabriel Desprez de Roche, de Decize, au diocèse de Nevers, vicaire général de Paris, membre de la Société du Coeur de Jésus ; Thomas-Nicolas Dubray, de Beauvais, au service de la paroisse Saint-Sulpice à Paris ; Thomas-René Dubuisson, de Laval, au diocèse du Mans, curé de Barville, au diocése d’Orléans ; François Dumasrambaud de Calandelle, de La Chaussade, au diocèse de Limoges, aumônier de l’évêque de Limoges ; Henri-Hippolyte Ermès, de Paris, vicaire à Saint-André des Arts ; Armand de Foucauld de Pontbriand, de Celles, au diocèse de Périgueux, vicaire général d’Arles, abbé commendataire de Solignac ; Jacques Friteyre-Durvé, de Marsac, au diocèse de Clermont, ancien jésuite, chanoine de Saint-Paul d’Estrées, missionnaire à Paris ; Claude-François Gagnères des Granges, de Chambéry, ancien jésuite, pensionnaire de la maison Saint-François de Sales, à Issy ; Jacques-Gabriel Gallais, de Longué, au diocèse d’Angers, sulpicien, supérieur du séminaire des Robertins, à Vaugirard ; Pierre Gauguin, d’Esvres, au diocèse de Tours, sulpicien, au séminaire d’Issy ; Louis-Laurent Gaultier, de Bazouges-la-Pérouse, au diocèse de Rennes, ancien jésuite, pensionnaire de la maison Saint-François de Sales, à Issy ; Georges Girault, de Rouen, du Tiers-Ordre régulier de Saint-François (Père Séverin), confesseur des franciscaines de Sainte-Élisabeth, résidant au couvent de Nazareth à Paris ; Jean Goizet, de Niort, au diocèse de Poitiers, curé de Notre-Dame de Niort ; André Grasset de Saint-Sauveur de Montréal (Canada), chanoine de Sens ; Pierre-Michel Guérin, de La Rochelle, sulpicien, directeur au séminaire de Nantes ; Jean-Antoine Guilleminet, de Bédarieux, au diocèse de Béziers, au service de la paroisse Saint-Roch, à Paris ; François-Louis Hébert, de Crouttes, au diocèse de Bayeux, eudiste, coadjuteur du supérieur général des eudistes et confesseur du roi Louis XVI ; Jacques-Étiene-Philippe Hourier, de Mailly-Maillet, au diocèse d’Amiens, sulpicien, directeur au séminaire de Laon, à Paris ; Jean-Baptiste Janin, de Sourdeval-la-Barre, au diocèse de Coutances, aumônier de l’hôpital de la Salpétrière, à Paris ; Jean Lacan, du diocèse de Rodez, aumônier de l’hôpital de la Pitié, à Paris ; Pierre Landry, de Niort, au diocèse de Poitiers, vicaire à Notre-Dame de Niort ; Claude-Antoine-Raoul de La Porte, de Brest, au diocèse de Léon, ancien jésuite, curé de Saint-Louis de Brest ; Robert Le Bis, de Saint-Amand, au diocèse de Coutances, curé de Saint-Denis de Bris-en-Josas, au diocèse de Paris ; Mathurin-Nicolas Le Bous de Villeneuve de La Ville-Crohain, de Rennes, confesseur des bénédictines de la rue de Bellechasse, à Paris ; Olivier Lefebvre, de Grentheville, au diocèse de Bayeux, chapelain des Dames de la Miséricorde, à Paris, membre de la Société du Coeur de Jésus ; Urbain Lefèvre, de Tours, ancien membre de la Société des Missions étrangères de Paris, retiré à Athis-Mons ; François Lefranc, de Vire, au diocèse de Bayeux, eudiste, professeur au Collège de Lisieux, à Paris ; Charles-François Le Gué, de Rennes, ancien jésuite, résidant à Paris ; Jacques-Joseph Le Jardinier Delandes, de Laigle, au diocèse de Séez, curé de Saint-Nicolas de La Feuillie, au diocèse de Coutances ; Jacques-Jean Lemounier, de Mortagne, au diocèse de Séez, vicaire à Notre-Dame de Mortagne ; Vincent-Joseph Le Rousseau de Rosencoat, de Châteauneuf, au diocèse de Cornouaille, ancien jésuite, confesseur des religieuses de la Visitation de la rue du Bac, à Paris ; François-César Londiveau, de Saint-Calais, au diocèse de Mans, vicaire à Saint-Martin d’Évaillé, au même diocèse ; Louis Longuet, de Saint-Germain-Langot, au diocèse de Bayeux, chanoine de Saint-Martin de Tours ; Jacques-François de Lubersac Saint-Germain, de Chalais, au diocèse de Limoges, aumônier de Madame Victoire, tante du roi Louix XVI ; Marie-Auguste Luzeau de la Mulonnière, de Sucé, au diocèse de Nantes, sulpicien, ancien directeur au séminaire d’Angers, retiré au séminaire de Saint-Sulpice, à Paris ; Gaspard-Claude Maignien, d’Amance, au diocèse de Besançon, curé de Villeneuve-les-Sablons, au diocèse de Rouen ; Jean-Philippe Marchand, de Marçay, au diocèse de Saintes, vicaire à Notre-Dame de Niort, au diocèse de Poitiers ; René-Julien Massey, de Rennes, bénédictin de Saint-Maur, procureur du monastère Saint-Florent de Saumur ; Louis Mauduit, de Chevillon, au diocèse d’Orléans, vicaire général de Sens ; François-Louis Méallet de Fargues, de Vitrac, au diocèse de Saint-Flour, vicaire général de Clermont ; Jacques-Alexandre Menuret, de Montélimar, au diocèse de Valence, supérieur de la maison de retraite Saint-François de Sales, à Issy ; Jean-Jacques Morel, de Prez-sous-Noréaz, du canton de Fribourg en Suisse, capucin (frère Apollinaire), vicaire des Allemands à la paroisse Saint-Sulpice, à Paris ; Jean-Baptiste Nativelle, de Guilberville, au diocèse de Bayeux, vicaire à Saint-Martin de Longjumeau, au diocèse de Paris ; René Nativelle, frère aîné du précédent, vicaire à Saint-Denis d’Argenteuil, au diocèse de Paris ; Antoine-Matthias-Augustin Nogier, du Puy, chapelain des Ursulines de la rue Saint-Jacques, à Paris ; Joseph-Thomas Pazery de Thorame, d’Aix, chanoine de Blois ; Jules-Honoré-Cyprien Pazery de Thorame, frère cadet du précédent, chanoine et vicaire général de Toulon ; Pi
    erre-François Pazery de Thorame, oncle des deux précédents, vicaire général d’Arles ; Pierre Ploquin, de Villandry, au diocèse de Tours, vicaire à Druye, dans le même diocèse ; Jean-Baptiste-Michel Pontus, de Néville, au diocèse de Coutances, sulpicien, vicaire à la paroisse Saint-Sulpice, à Paris ; René-Nicolas Poret, du Mesnil-Touffray, au diocèse de Bayeux, curé de Saint-Martin de Boitron, au diocèse de Séez ; Julien Poulain-Delaunay, de Ver-sur-mer, au diocèse de Bayeux, assistant du curé de Saint-Gilles de Caen ; Pierre-Nicolas Psalmon, de Rouen, sulpicien, vicaire général de Troyes pour les prêtres de ce diocèse vivant à Paris, et doyen de Saint-Pierre de Varen ; Jean-Robert Queneau, d’Angers, curé de Saint-Doucelin d’Allones, au même diocèse ; Claude Rousseau, de Paris, sulpicien, directeur au séminaire de Laon, à Paris ; François-Urbain Saline de Niart, de Neuf-Brissach, au diocèse de Strasbourg, chanoine de Saint-Lizier de Couserans ; Jean-Henri-Louis Samson, d’Avranches, vicaire à Saint-Gilles de Caen, au diocèse de Bayeux ; Jean-Antoine Savine, d’Embrun, sulpicien, supérieur des Clercs de Saint-Sulpice, à Paris ; Jean-Antoine-Barnabé Seguin, de Carpentras, vicaire et supérieur des clercs à Saint-André des Arts, à Paris ; Jean-Baptiste Tessien, de Fontaine-les-Ribouts, au diocèse de Chartres, sulpicien, prédicateur à Paris ; Loup Thomas, dit Bonnotte, d’Entrains-sur-Nohain, au diocèse d’Auxerre, ancien jésuite, confesseur des Ursulines à Paris ; François Vareilhe-Duteil, de Felletin, au diocèse de Limoges, ancien jésuite, pensionnaire à la maison Saint-François de Sales, à Issy ; Pierre-Louis-Joseph Verrier, de Douai, au diocèse de Cambrai, retiré à la maison Saint-François de Sales, à Issy.
    Diacres : Louis-Alexis-Matthias Boubert, d’Amiens, économe des Clercs de Saint-Sulpice, à Paris ; Antoine-François-Dieudonné de Ravinel, de Bayon, au diocèse de Nancy, séminariste à Saint-Sulpice, à Paris ; Jacques-Augustin-Robert de Lézardières, de Challans, au diocèse de Luçon, séminariste à Saint-Sulpice, à Paris.
    Religieux : Guillaume-Louis-Nicolas Leclercq, de Boulogne-sur-mer, frère des Écoles chrétiennes (frère Salomon), secrétaire général de l’Institut, à Paris.
    Clerc : Auguste-Denis Nézol, de Paris, professeur à la Maison Dubourg, à Issy.
    Laïc : Charles-Régis Mathieu de la Calmette, comte de Valfons, de Nîmes, ancien officier, retiré à Paris chez le bienheureux Jean-Antoine Guilleminet, pour la plupart prêtres ou religieux, qui, pour avoir refusé de prêter serment à la Constitution civile du clergé sous la Révolution française, furent rassemblés au Couvent des Carmes et massacrés en haine de la religion. Pour ne citer qu’eux.
    ET rien bien Evidemment non plus en réparation du GENOCIDE des VENDEENS, crimes planifiés par une “république” qui aujourd’hui aggrave ces délits par le MEMORICIDE que l’on souhaite nous imposer. Et lorsque qu’un homme de coeur se lève pour nous réveiller, à l’instar de Mr Reynald SECHER, ont déclenche à son encontre un véritable processus de persécution.
    Ce personnage (flamby) est une honte pour notre pays. Vivement le retour du ROY !!!
    Roy …. Oui mais oint des Saintes Huiles de Reims, !!!!!

  15. François n’est pas un renégat. Il est l’ami des grands de ce monde. Que vous le vouliez ou non. Il est dans le mouvement, qui passe par le piétinement de la France.
    http://wa1.cdn.3news.co.nz/3news/AM/2012/7/6/260437/clinton-hollande-1200.jpg?width=460
    http://www.comite-valmy.org/IMG/jpg/Hollande_Otan_Obama.jpg

  16. “La France, nous l’aimons comme notre propre pays en souvenir des navires de guerre français, qui sillonnaient les côtes africaines, au XIXe siècle, pour frapper les trafiquants d’esclaves.”
    Comme les navires anglais. Il existe même des photos d’esclaves noirs en train d’être libérés par des marins anglais.
    On ne demande pas qu’on nous dise merci, mais si on pouvait éviter de se faire cracher dessus, ce serait sympa.

  17. Si l’esclavage avait été un crime, Saint Paul n’aurait pas renvoyé Onésime chez son maître (cf. Epître à Philémon). Dans 1 Co 7, Saint Paul dit aussi, en parlant des esclaves : “Que chacun, frères, demeure devant Dieu dans l’état où il était lorsqu’ il a été appelé.” Cela veut dire : que l’esclave demeure esclave. Et s’il y avait un doute à ce sujet, il serait balayé par les conseils que donne l’Apôtre aux chrétiens propriétaires d’esclaves. Il dit comment les traiter, mais pas de les libérer. Ce qu’il n’aurait pas pu faire si l’esclavage avait été une institution intrinsèquement immorale.

  18. Hollande est grotesque et en plus inculte, il oublie ce que décrivent très bien des livres en langue anglaise (jamais en français) et que l’on peut trouver sur Amazon, il s’agit de la traite des blancs pauvres par des blancs riches.
    C’est effectivement comme cela que des pays comme l’Australie ont été peuplés avec la réussite que l’on connait.
    Mr Hollande compte t il en faire la remarque au gouvernement anglais de Mr Cameron…quitte à en être ridicule ?
    http://www.amazon.com/They-Were-White-Slaves-Enslavement/dp/0929903056/ref=pd_bxgy_b_img_z/175-6437625-9484342
    They Were White and They Were Slaves: The Untold History of the Enslavement of Whites in Early America.
    http://www.amazon.com/White-Cargo-Forgotten-History-Britains/dp/0814742963
    White Cargo is the forgotten story of the thousands of Britons who lived and died in bondage in Britain’s American colonies.
    In the seventeenth and eighteenth centuries, more than 300,000 white people were shipped to America as slaves. Urchins were swept up from London’s streets to labor in the tobacco fields, where life expectancy was no more than two years. Brothels were raided to provide “breeders” for Virginia. Hopeful migrants were duped into signing as indentured servants, unaware they would become personal property who could be bought, sold, and even gambled away. Transported convicts were paraded for sale like livestock.
    Drawing on letters crying for help, diaries, and court and government archives, Don Jordan and Michael Walsh demonstrate that the brutalities usually associated with black slavery alone were perpetrated on whites throughout British rule. The trade ended with American independence, but the British still tried to sell convicts in their former colonies, which prompted one of the most audacious plots in Anglo-American history.
    This is a saga of exploration and cruelty spanning 170 years that has been submerged under the overwhelming memory of black slavery. White Cargo brings the brutal, uncomfortable story to the surface.
    http://search.barnesandnoble.com/White-Cargo/Don-Jordan/e/9780814742969
    The New York Times – Joyce Hor-Chung Lau
    This vividly written book tells the tale from both sides of the Atlantic. Its condemnation is aimed at both American planters and the English elite, who were blinded by greed, arrogance and a desire to get rid of their “society’s sweepings”…White Cargo is meticulously sourced and footnoted—which is wise, given its contentious material—but it is never dry or academic. Quotations from 17th- and 18th-century letters, diaries and newspapers lend authenticity as well as color. Excerpts from wills, stating how white servants should be passed down along with livestock and furniture, say more than any textbook explanation could. The authors are not only historians, but also natural storytellers with a fine sense of drama and character.

  19. Merci à Siloé pour cette note .. Je prends la plume dans le meme .. Oui il nous faut prier et parler pour permettre à la France de demander d’abord pardon à ses propres fils et filles. IL est frappant de considérer que tant Boris Eltsine que Medvedev et Poutine ont chacun exprimé et ( ré-exprimé) au nom du peuple russe leurs excuses à la famille du tsar pourles exactions commises lors de la révolution. Quel est le Président qui a eu l’audace et la franchise d’exprimer au nom de la France ses excuses à la famille royale et à tous ceux qui ont souffert de cette révolution ? Tout comme la personne humaine, un peuple ne peut réllement progresser qu’en reconnaissant ses torts les plus graves et en travaillant avec patience et humilité à les corriger. La France n’est pas encore sur la voie du progrès.

  20. AHAH… le sieur Hollande a une grande culture.. et specialement en Histoire du Monde.. ca fait pitie !!
    les propos de ce Gabonais sont aussi tenus par des Ivoiriens, des Algeriens, etc…
    et puis, qui vendait les esclaves aux negriers ??? les ‘petits rois negres’ eux-memes ; il y avait tout un commerce le long des fleuves…
    il faudrait aussi evoquer l’esclavage qui eut lieu dans les plantations cacao-cafe des iles Sao Tome et Principe, sous la ferule des Portugais (a 1 h en avion au large du Gabon)
    et, en 1815, le cas de l’enfant Joseph Vanini, enleve sur un navire qui le conduisait de l’ile d’Elbe – alors francaise – a Livourne, par des pirates tunisiens et ensuite conduit à Tunis, ou il a ete eleve dans le serail du Bey. Il deviendra plus tard le General de division Yusuf, grand officier de la légion d’honneur.

  21. les adeptes de la repentance feraient bien de se preoccuper de l’esclavage au 21eme siecle ; sur le site Fides, sont rerpertories les cas d’esclave/prostitution/travail des enfants dans le monde,
    ce sont souvent des institutions Catholiques qui les arrachent a leur triste sort

  22. enfin, concernant les Etats-Unis (par exemple), combien d’esclaves liberes ont prefere rester chez leur maitre, assures d’une vie decente par rapport a ce qu’ils auraient connu en totale liberte !!

  23. “réparer l’esclavage en apprenant aux africains la vivisection sur embryons par exemple ?! c’est l’hôpital qui se fout de la charité!
    D’ailleurs s’il n’y avait pas eu des africains pour s’enrichir grassement en allant “recruter” des esclaves dans le fond de la jungle , il n’y aurait jamais “l’offre” suffisante pour nourrir le trafic…des amis de Monsieur Voltaire soi-même !
    Ces misérables politiques ne sont donc jamais capables que du plus écoeurant cynisme dicté par les blanches colombes des média.
    Le meilleur service que vous puissiez rendre aux africains c’est de leur dire la vérité sur le sujet.
    Mais il est vrai que ce serait ruiner votre fond de commerce chez vous !

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