En 2004, 2 % des chefs et cheftaines rejetaient le rapport moral. En 2005, ils étaient 11 %, en 2006 20%, en 2007 33%. Hier, ce sont 45% des chefs et cheftaines qui ont désapprouvé le rapport moral.
MJ
Forte division au sein de l’AGSE
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3 commentaires
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trahoir
C’est à dire ? C’est une information intéressante quand on connait le poids de l’AGSE mais quelle conclusion peut on en tirer ?
cosaque
En espérant qu’on en arrivera pas à une scission.
ND de la Route, éclairez nos responsables.
Hermes
On pourrait en tirer la conclusion suivante : le vote d’un rapport moral n’est qu’une appréciation à posteriori de l’action menée par les responsables d’une association. En cas de rejet, majoritaire ou non, sa seule conséquence devrait être une analyse des problèmes suivie de décisions adéquates par le conseil d’administration.
Or sachant que le conseil d’administration est lui-même constitué à part égales de deux tendances s’opposant (sur certains sujets douloureux seulement et heureusement), plus intéressants sont les votes concernant les administrateurs eux-mêmes.
Ainsi, pour l’élection directe d’un administrateur par l’assemblée, le candidat présenté par le pouvoir en place a été écarté.
La liste de six administrateurs présentés par les provinces, a été rejetée avec un écart de 33 voix seulement (50,9%). Or cette liste avait la particularité de maintenir l’équilibre existant au sein du conseil.
A cette situation inédite, vient s’ajouter le fait que l’AG a été close en l’état, sans que le nouveau conseil puisse être composé, laissant l’association dans un état relativement instable.
Espérons que l’AGSE s’en sortira aussi indemne que possible.