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France : Politique en France

Finances : “peut-être qu’un roi intelligent pourrait être utile”

Lu dans MoneyWeek, hebdomadaire financier, de fin juillet (cliquer sur l'image pour l'agrandir) :

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21 commentaires

  1. Pour un grand roi, combien de princes calamiteux ? Les Orléans n’ont pas tous été des modèles, tant sur le plan de la gouvernance et de la gestion que de leur mode de vie (puisqu’on est aussi dans la dimension religieuse)! Quand à l’octroi de privilèges, les rois n’étaient pas en reste.
    Mais je suis d’accord sur l’idée…

  2. L’ancien régime n’est pas tombé sur la question fiscale ? Ceci est tout de même une lecture curieuse de notre histoire fiscale et des privilèges au travers le temps. Toute société sécrete en son sein des zombies, des gens qui s’installent au coeur du système pour le parasiter. La monarchie ne change rien à l’affaire et le trône n’est pas un bouclier contre les vampires. Tout dépend, en fin de compte, du monarque. Est-il honorzble, nous avons une chance que l’état fonctionne. Qu’il soit médiocre, ou pire, franchement nul, et son sceptre protegera ses courtisans qui mettront le pays en couple réglée. Au moins la démocratie permet de rebattre les cartes régulièrement.
    Dernière chose : les années Reagan avec leur offensive sans précedent sur les reglements se sont traduits par un etat bien géré et une meilleure vie pour le peuple américain, même reflexion sur les années Thatcher. Ces pays sont des modèles de développement social et de bonheur des peuples, c’est bien connu …

  3. @ Oktavius,
    Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse : même avec les tares que vous évoquez (qui sont finalement plus rares que la norme, surtout en comparaison de nos démocrates), le système monarchique est intrinsèquement meilleur sur le plan politique… et donc pour le bien être de tous.

  4. Pour un grand président, combien de… mais en fait, y a t-il jamais eu un président valable ???
    N’est ce pas la République qui a organisé la lutte contre l’Eglise, la perte de tous les repères moraux fondamentaux, la lutte contre l’ordre naturel, la dissolution de notre pays ds l’UE, et l’invasion de la France par des barbares muzz (j’entendais encore hier au portail de l’école 2 mères bien blanches -je ne peux plus dire “française”- parlant de leur conversion à l’is…, de leur apprentissage de l’arabe, etc.)…
    Vous ne le savez peut être pas, mais la France telle que vous l’aimez est MORTE.
    La République m’a tuée. signé: France

  5. Que l’on commette un Président ou un Roi, cela change quoi ? Il aura toujours à faire à la dictature financière.

  6. Personne n’a fait le lien entre démocratie parlementaire et crise économique…
    Pour les financiers, il nous faudrait un Philippe le Bel^^

  7. @Oktavius : j’ajoute qu’il n’y a pas que les orléans, et que la branche aînée est disponible. :)
    Pour tous et pour information, il existe un parti royaliste en France (qui n’affiche pas de préférence dynastique, car nous n’en sommes pas encore là) : l’Alliance Royale.
    Bonne journée.

  8. @ l’aristo,
    Ça change la référence morale : et ça change tout.
    Quand le bienheureux Jean-Paul II a fait son discours à l’UNESCO, pour la première fois, il a mis en demeure tout le monde (capitalisme et communisme) de remettre l’homme au centre des choses.
    C’est la même chose pour la monarchie et la république : l’une a une référence morale que n’a pas (plus ?) l’autre.

  9. Sur le fond, d’accord. Mais je ne pense pas que cela soit possible : quelles sont les différences entre notre système et les monarchies voisines (GB, Espagne, Belgique, Pays scandinave) ? Les commentaires ci-dessus démontrent bien qu’il s’agit plutôt de l’état d’esprit d’une majorité à l’instant T qui a conduit au pouvoir un REAGAN une THATCHER, etc…De Gaulle, d’après ce que l’on dit aurait songé à rétablir la monarchie en FRANCE. Si c’est vrai, il y aurait renoncé en se rendant compte que cela marcherait, disons 6 mois : les français, c’est connu, sont ingouvernable et nous ne sommes plus sous Louis XIV ou Napoléon (on peut le regretter évidemment, mais cela n’avance pas à grand chose !).

  10. Revenir à l’ancien régime, déjà, il faudrait que le peuple retrouve son christianisme, ce qui n’est plus le cas… Et puis, le peuple finira par se lasser de toute manière d’un Roi… Ce système n’est plus adapté à la vie d’aujourd’hui…

  11. Il aurait fallu faire la révolution en 1906 au moment des inventaires… Là, à cette époque, le peuple français n’était pas encore totalement républicain. Hélas, il y a eu des occasions manquées…
    En 1984, quand il y a eu la crise de l’enseignement libre, il y avait possibilité de déloger les socialo-communistes du pouvoir et de mettre à la place le prétendant au trône…
    Est-ce que cela aurait marché ? Je l’ignore !

  12. @ Sylvie,
    Il y a eu aussi l’Action Française entre 1905 et 1945.
    Il est vrai que depuis la « Libération », les occasions ont manqué singulièrement, même si une certaine flamme s’est (encore) allumée en Algérie pendant la guerre (Lire « La contrerévolution en Algérie »).

  13. @ PK : pas d’accord avec “qu’importe le flacon” Cet excellent article publié sur ce blog s’applique aussi aux adultes, et à plus forte raison à un roi :
    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/08/que-de-la-gueule.html
    “si on les croise dans la rue, on se dit « ça, c’est un type bien ! » : le chèche, la coupe de cheveux, l’autocollant espoir et salut de la France derrière la voiture… tout y est ! Ouf ! on est rassuré ! Avec un peu de chance, il va même à la messe tradie…oui…oui mais NON ! Tout ça ne vaut RIEN si derrière, il n’y a pas un désir brûlant d’aimer Notre Seigneur, de le servir, de lui plaire… Tout ça ne vaut RIEN, si on ne désire pas être un saint ! ”
    Et l’argument selon lequel un roi pourri vaut mieux qu’un président pourri ne vaut pas plus. l’avantage d’un président est qu’on peut en changer. Un prince calamiteux, pourvu qu’il ait la santé, on s’en prend pour 50 ans !

  14. En monarchie, le monarque n’est rien, le régime est tout.
    Un régime athée, libéral, amoral contre un régime qui se base sur le respect de la loi divine : qui peut ici tergiverser ?

  15. De toute manière, sous la 5ème Ripoublique, le président est un monarque républicain, mais aujourd’hui, ça ne veut plus rien dire à cause de la mondialisation et de l’euo-mondialisme…

  16. @VLR
    bien vu Monsieur.
    Le choix n’est qu’entre la Révolution et la Monarchie absolue de droit divin…
    Mais dans la seconde hypothèse, il faut conjointement une chrétienté pour la cohérence du projet.
    Nous n’y sommes évidemment pas prêts. Il nous reste à travailler à l’émergence simultanée de la chrétienté et du Roi.
    Le premier pas à bonnes fins est de ne rien concéder à la République, pas même notre VOTE, quel qu’il soit ! (suffrage universel = mensonge universel …. Bienheureux Pie IX.
    Qu’à Dieu ne plaise.
    [email protected]

  17. Plus que jamais :
    “Vive le Christ qui est roi de France” Jeanne d’Arc

  18. En l’espèce, la différence entre démocratie et monarchie, c’est le clientélisme, l’inconséquence et l’instabilité d’un côté, le souci du long terme, la responsabilité et la justice de l’autre.
    Lorsque la monarchie se perd et sombre dans les travers de la démocratie, elle en est vite punie. La démocratie, elle, pourrit et déprave, elle enlève à ses citoyens jusqu’au désir même du vrai et du bien.

  19. Il y a une supériorité évidente ( entre autres) de la monarchie sur la république : un roi, c’est vrai, peut être un bon roi, un roi médiocre, un mauvais roi ( toutes les sortes ont été représentées dans notre histoire ).
    Mais jamais, au grand jamais, il n’a besoin de se rouler dans la fange pour conquérir le pouvoir.
    Je trouve que le duc d’Anjou, son épouse Marie Marguerite et leurs enfants feraient une magnifique famille royale.
    Côté Orléans, on s’est surtout distingué par la fidélité à une tradition de trahison et d’inconduite..

  20. Commentaires de Vu de Marcq
    « Au moins la démocratie permet de rebattre les cartes régulièrement. », lit-on d’un sceptique de la royauté. Il oublie que les cartes sont choisies par l’oligarchie financière. Il faut beaucoup d’argent pour élire un candidat. En outre, en démocratie, on dépense l’argent du contribuable sans vergogne, puisqu’on n’encourt aucune responsabilité : « après-moi le déluge ». Le roi, lui a au moins le souci de laisser un royaume pas trop délabré à son fils. Pensez-vous qu’un roi enverrait des milliards à un pays aussi insolvable que la Grèce, et bien incapable de redresser la situation ? Un roi, en bon père de famille, ne prêterait pas un sou, sans garanties sérieuses qui éviteraient l’appauvrissement du royaume et contraindraient le pays débiteur à prendre les mesures nécessaires à son redressement, s’il ne veut pas perdre définitivement sa souveraineté sur les gages donnés.
    Cette mesure élémentaire, pratiquée par toutes les banques sérieuses, n’est semble-t-il pas même envisagée par le Gouvernement français. Pensez-donc, il s’agit de l’argent du contribuable !!!!!

  21. En entier accord avec le commentaire de Michèle ,
    Olivier

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