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Homosexualité : revendication du lobby gay

Faire face au lobby gay

La Fondation de service politique a adressé à tous les parlementaires une note argumentaire sur les revendications du lobby gay (mariage et filiation). La Fondation constate que :

"le mariage et l’adoption d’enfants par 2 personnes du même sexe sont subitement devenus une priorité dans le débat public et un standard du conformisme politique. Les militants des "droits homosexuels" sont nettement minoritaires dans leurs propres milieux, mais leurs revendications, très généreusement médiatisées, seront l’un des enjeux majeurs des élections de 2007, pour la présidentielle ou les législatives."

C’est pourquoi, "dès le mois de septembre, avec la rentrée politique, c’est chaque élu, chaque candidat ou futur candidat, qui devra se positionner clairement sur des questions devenues décisives". Pour ce faire, la Fondation demande à tous "les Français de s’emparer du débat", à l’aide du document présentant brièvement les arguments, en saisissant leurs élus pour que chacun se prononce clairement et justement.

Michel Janva

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9 commentaires

  1. Argumentaire bien fait, effectivement.
    Concernant l’adoption, je me pose souvent la même question : pourquoi aussi peu d’études sur les enfants de couples homosexuels ?
    A ma connaissance, une étude importante et assez sérieuse a été faite par l’American Psychological Association. Celle-ci n’est certes pas un temple de la morale chrétienne, mais elle est assez loin également d’être affiliée au lobby gay. Elle concluait globalement à une bonne santé psychologique des enfants en question, mais il serait à mon sens plus qu’utile de mener des recherches plus poussées, et de les faire réaliser par des spécialistes non affiliés aux mouvements gays.
    Savez vous si certaines fondations chrétiennes financent ce type de travaux ?

  2. Bonsoir,
    Je reconnais que votre humour vaut le détour!
    “Faire face au lobby gay”: pas mal!

  3. Au sujet du mariage gay et l’homoparentalité.
    Le langage.
    L’on a pris l’habitude depuis une douzaine d’années d’utiliser les termes d’homosexualité ou d’hétérosexualité à tel point que personne ne parle plus de sexualité normale ou de sexualité déviante. Certains sympathisants de la cause homosexuelle refusent même l’emploi du terme «normal» quand il s’applique à la sexualité ne tolérant pas que l’on puisse porter un jugement de valeur sur les comportements sexuels et donc réfléchir sur la sexualité et notamment sur le mariage gay et l’homoparentalité.
    A titre supplémentaire le terme “couple” s’est imposé pour les homosexuels alors que le mot “paire” s’applique mieux à la vie en commun de deux personnes de sexe identique. Le fait que le couple et la paire unissent chacun deux êtres ne justifie pas que l’on use du même terme, entraînant de ce fait la fusion entre ces notions.
    La loi et le mariage.
    Un homme et une femme créent une micro-société pouvant prospérer ce qui n’est pas le cas pour deux hommes ou deux femmes. De là des droits spéciaux qui s’appliquent au couple, dont le mariage.
    Celui-ci n’est pas créé pour permettre au législateur de remettre en cause la liberté individuelle en se préoccupant de sexualité récréative, homo ou hétéro, ni pour s’occuper d’amour. C’est là affaires privées. Le maire n’a d’ailleurs pas à demander aux futurs époux s’ils s’aiment ou non.
    Le mariage consacre l’alliance d’un homme et d’une femme et reconnaît qu’un enfant a droit à un père et une mère.
    La loi ne peut pas traiter de cas spécifiques, comme par exemple la règle à appliquer si un couple est stérile. Ce cas doit être traité par la jurisprudence chargée d’appliquer le principe général aux cas personnels. Sauf à s’immiscer dans la vie privée le législateur ne peut décider que par mesure générale ; il ne peut que constater que l’hétérosexualité ouvre sur la transmission de la vie alors que l’homosexualité ne peut servir de fondement au développement de la société. De ce fait, il n’y a pas égalité entre ces comportements et les mêmes règles de droit, celles en particulier relatives au mariage n’ont pas à s’y appliquer.
    Le mariage ne crée pas de discrimination envers les personnes qui sont incapables d’établir une relation complète avec le sexe opposé. C’est leur état qui leur interdit le mariage. Il n’a pas à modifier le mariage sous prétexte que les homosexuels ne peuvent y avoir accès. Cela d’autant plus qu’avec le mariage un tiers est concerné : l’enfant
    L’enfant.
    Le législateur, grâce au mariage, propose un cadre au couple afin de l’aider à se stabiliser et protéger ainsi l’enfant né ou à naître.
    S’il est exact que des homosexuels ont la charge d’enfants, la demande de reconnaissance juridique de l’homoparentalité ou celle de création du mariage gay apparaît inintelligible. S’agissant d’homosexuels cette reconnaissance juridique de la vie à deux n’offre pas plus de pertinence qu’une reconnaissance juridique de la vie à trois, quatre ou cinq. Si l’on autorise l’adoption d’un enfant par deux hommes ou deux femmes, on ne voit pas pourquoi l’on refuserait un cadre juridique à 2 hommes et 3 femmes qui souhaiteraient élever un enfant ensemble.
    Une fraction du lobby homosexuel semble souhaiter utiliser la ressemblance entre le couple avec enfant et deux homosexuels élevant un enfant. En effet l’apparence de ces derniers se rapproche de celle du couple normal. Les demandes de reconnaissance juridique de l’homoparentalité, de la biparentalité, d’accès au mariage et à l’adoption, peuvent apparaître comme destinées à parfaire une politique destinée à faire oublier le caractère spécifique de l’homosexualité. L’enfant deviendrait alors un moyen mis au service d’une cause qui n’est pas la sienne.
    De même les maltraitances à enfants doivent être sanctionnées et si des parents sont indignes leurs enfants mis dans une famille d’adoption normalement composée d’un père et d’une mère. On ne doit pas utiliser le malheur de ces enfants afin de démontrer qu’ils seront mieux dans une famille de deux hommes ou deux femmes que dans leur famille d’origine et les transformer ainsi en propagandiste de l’homoparentalité. Quant à l’adoption par un célibataire elle existe de manière traditionnelle pour que des enfants puissent être adoptés par leur oncle ou leur tante célibataire lorsqu’ils ont perdu leurs parents. Le principe a été depuis dévoyé par le droit. C’est au législateur de prendre les dispositions pour que soit respecté l’esprit initial de ce cas d’adoption.
    Avec le mariage la société reconnaît juridiquement l’union d’un homme et d’une femme car cette union est vitale pour son avenir.
    La loi n’a pas à entériner toutes les situations de fait découlant du comportement de tel ou tel. Le législateur, par exemple, n’a pas à reconnaître la polygamie sous prétexte que certains hommes ont une maîtresse. Créer une règle par individu et par situation entraînerait la disparition de la notion même de droit.
    L’homosexualité a toujours existé. Elle est acceptée au nom de la liberté individuelle. Ce comportement n’a cependant pas vocation à être à l’origine d’une modification de la législation sur le mariage.

  4. []Contrairement à ce qu’on nous fait croire, la majorité (silencieuse) des homosexuels ne désirent pas se marier ni encore moins avoir des enfants, ils ressentent bien que la mariage est une institution sacrée ainsi que la famille, ils aiment la famille et beaucoup respèctent la société telle qu’elle découle de la religion.
    []

  5. Je vous conseille de lire un article sur la question par le lien: http://headlines.agapepress.org/archive/7/282006a.asp
    D’ou il ressort qu’on se demande si les homos ont vraiment envie d’être mariés et si le forcing actuel n’est pas uniquement l’oeuvre de quelques excités.
    Aux Pays-Bas, premier pays Européen à avoir légalisé ce “mariage”, on s’aperçoit que seuls 6,3% des homos ont choisi cette option (les homos représentent seulement 2,1 de la population de ce pays).
    Quand on sait que plus de 50% des couples hétéros se marient (aux USA du moins, je ne sais pas pour la Hollande)), il y a en effet de quoi se poser des questions.
    Une autre étude, que je n’arrive pas à retrouver indique que les couples homos aux USA sont beaucoup plus instables et tiennent en moyenne moins de 5 ans, ce qui n’a rien de comparable avec les ménages hétéros. De plus la même étude indique que les “époux” homos mariés ont une conception assez élastique de la fidélité, puisque (aux USA du moins) ils ont une moyenne de 8 partenaires extraconjugaux.
    Imaginez un peu un pauvre enfant adopté dans ce genre de “famille”…

  6. Si j’ai bien compris lang & co, pour ne pas etre homophobe il faut accordeer des “droits” que la pluparts des homosexuels ne demandent pas, mais qu’une minorité subventionnnée exige? hors de question!

  7. Un sondage Gallup récent montre que 58% des Américains sont contre le mariage homo. Nul doute que malgré le matraquage et bourrage des crânes médiatique, la proportion de Français ayant une opinion identique soit largement majoritaire. Mais là, chut… Quel directeur d’institut de sondage en France oserait faire un tel sondage?
    Bien plus, qui oserait sonder les milieux homos, les vrais, les non activistes, ceux qui ne défilent pas à la Gay-Pride, (au moins 1 million de citoyens ?) pour s’apercevoir qu’au fond, le mariage homo, ils n’en ont rien à battre…

  8. J’attends avec impatience la réponse du nain-au-kärcher à la question “êtes-vous pour ou contre le mariage et l’adoption pour 2 personnes de même sexe”…
    Comme je pressens un “oui”, qu’il l’officialise enfin : ça me permettrait d’éloigner beaucoup de connaissances d’un vote en faveur de cet être malfaisant.

  9. Malgré toute mon opposition aumariage gay, érittable imposture, je témoigne qu’existent des couples très durables et très stables de personnes du même sexe.
    Mais la plupart des homos seraienet incapables d’élever des enfants, n’en ont aucun désir et tant mieux.
    Assumer son homosexualité est une autre manière de porter sa croix si l’on ne succombe pas aux tentations !

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