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France : Société

Face à la cocaïne, quelle politique ?

Communiqué du Forum des Républicains Sociaux :

"Une enquête du Monde datée des 2 et 3 mars annonce une banalisation de la consommation de cocaïne. […] Au lieu d’évoquer l’urgence de mettre en place un système de prévention auprès de la jeunesse, les médecins « s’alarment car, contrairement à l’héroïne, il n’existe pas pour la cocaïne de traitement de substitution ».

C’est encore une fois prendre le problème à l’envers. La menace n’est pas la non-existence d’un produit permettant aux jeunes d’utiliser une substance de substitution. La menace réside dans la destruction des forces vives d’un pays, et dans la criminalité générée par cette pratique. Il est urgent aujourd’hui de mettre en place un véritable système de réduction des risques. Il faut faire prendre conscience aux jeunes du danger de l’usage des drogues de tous types. Il convient de prendre les mesures de prévention visant à interdire tout usage de produit stupéfiant.

La hausse actuelle de la consommation des drogues dures est la conséquence directe de la banalisation du cannabis. Le Délégué général du FRS rappelle les propos que le Président Nicolas Sarkozy a tenus le 5 février 2007 : «La notion même de drogue douce est une absurdité. Si c’est une drogue, elle n’est pas douc ». A quand une véritable politique française de prévention ?"

Michel Janva

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4 commentaires

  1. Pour beaucoup de déchristianisés, la seule façon de réagir à la situation catastrophique de la France (qu’ils feignent de nier, mais dont ils ont au moins inconsciemment perçu la gravité) c’est de chercher à l’oublier par toutes les drogues possibles : le sexe, les drogues chimiques, les drogues excitatrices sonores (conduisant à ce que Montherlant appelait “Un trémoussement hideux de singes et de singesses hystériques.”), le fric facile etc.

  2. Je ne sais pas si je serai publier [pour information, la grammaire et l’orthographe peuvent aussi être causes de non publication… MJ]
    mais je pose deux questions : La drogue est elle à ce point présente dans les familles “bien pensantes” (pour moi la réponse est oui mais je crois que cela implique une refonte sur les rapports au monde de “nos milieux”)? Qu’appelez vous les “forces vives” de notre pays ? [Les forces vives sont les personnes non dépendantes, tels les jeunesn les travailleurs MJ] Je ne veux pas penser comme les soviétiques d’antan ennemis de notre culture mais si les “jeunes” d’aujourd’hui se complaisent dans ce genre d’activités peu m’importe [Et bien non. Le mal ne peut pas nous être indifférent ! MJ]. Faut il encore faire parti des “éclaireurs de la société”, le bon boy scout qui dit “la drogue c’est pas bien”. Oui c’est pas bien, oui cela a des conséquences néfastes même en terme de coût financier (police, justice, hôpitaux). Mais c’est dans “leurs” moeurs [Non, c’est un désordre pas un “moeurs” MJ]. Pour information d’après certains chiffres les cadres sont en chiffre beaucoup plus nombreux à se droguer que les sportifs et leur demande de prise en charge médicale est aussi très importante. Ces gens ont choisi et pour moi je pratique l’article 11 “le scout n’est pas un imbécile” [Connais pas, je croyais que l’article 11 c’était “le chef a toujours raison” ;-) MJ]. Ils ont choisi, les médias encouragent, les institutions laissent faire ! [Comme pour l’avortement et toute la culture de mort… MJ]
    Des “ennemis” en moins ? Ce n’est pas très charitable mais il faudrait aussi faire appel à leur responsabilité. Les cathos blaireaux les font rire ? Mois c’est les toxos bobos qui me font marrer. Comme disait Coluche (citons le une fois n’est pas coutume, ça fait une deuxième raison de ne pas être publier [décidément la grammaire… MJ]): la société ne veut pas de nous, qu’elle se rassure on ne veut pas d’elle. Un seul bémol à mon ras le bol de “bon boy scout” : la drogue facilite les réseaux secrets, non pas de dealer mais de consommateurs, y compris sur le lieu de travail, cela créée des sortes de mafias qui se soutiennent, ça c’est un réel problème à mon avis. [C’est l’une des conséquences de la drogue, mais ce n’est pas la seule. MJ]

  3. La Coke ? Encore faudrait-il que notre petit père des Peoples et sa bande de sinistres n’en fassent pas usage !

  4. Il y 40 ans, à la porte de mon lycée, il n’y avait pas de dealer de drogue, il n’y avait pas de racket.
    Nous n’avions pas d’argent de poche…

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