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Liberté d'expression

Face à Robert Ménard, les associations se ridiculisent

On peut trouver de mauvais goût l'affiche de la ville de Béziers destinée à interpeller la population sur l'absence du TGV, mais de là à attaquer la ville en justice, il y a un cap, que la justice a estimé infondé:

V

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6 commentaires

  1. il est aussi consternant qu’une ministre interviennent lors d’une séance à l’assemblée nationale, pour déclarer qu’elle saisit la justice pour cette affiche

  2. Mais nom d’un chien, qu’il est bon ce garçon. Et entier avec ça.
    Bravo monsieur Ménard, chapeau bas.
    Et quand à la Rossignol, laissons la chanter….

  3. 70 millions d’euros inutile, qu’il est facile de dépenser l’argent du contribuable!

  4. l’affiche est vraiment ridicule!
    ménard devrait réfléchir lorsqu’il s’occupe de communication, il le fait bien avec brio quand il s’agit de politique!
    quant à la réaction des zélites, elle était prévisible, l’argent du contribuable est fait pour être dépensé

  5. @ patphil
    L’affiche est peut-être “vraiment ridicule”, mais ce qui est ridicule à mes yeux, c’est qu’il faut être provocateur et/ou scandaleux pour être entendu et qu’on “parle de vous”. Triste, mais c’est comme cela. Comme j’aime à le dire “le scandale, forme moderne du coup de pied au c..”).
    En l’occurrence, les plus ridicules, à mon avis, sont ceux qui se sont “émus” au plus haut niveau et sont vraiment grotesques. Malheureusement le “grotesque” ne les empêche pas de conserver leur poste grassement payé.

  6. Mais qui a dit que l’histoire finissait mal ? On avait plus d’humour … avant Charlie et les tristes hères d’aujourd’hui ! Merci Ménard …car on en a tellement marre des bien-pensants qui voient la paille de l’autre et ignorent leur poutre…
    ——————————
    « Mais moi j’en avais tellement marre
    J’ai repris la première chaîne
    Et devant mes yeux, mes yeux hagards
    Se déroulait la même scène
    Et Jojo, Jojo le Bouffi
    Dans un sac fourrait Suzy
    Disant :
    “Donne-moi ton ranch, eh, boudin !
    Ou j’vais t’balancer sous l’train”
    Puis il l’empoigna
    – Et alors ?
    Ben il la ficela
    – Et alors ?
    Sur les rails il la fit rouler
    – Et alors ?
    Ben le train arrivait, les copains !
    – Et alors ? Et alors ?
    Eh, eh, Zorro est arrivé
    Sans s’presser
    Le grand Zorro, le beau Zorro
    Avec son cheval et son grand chapeau
    Ah ! Ah ! Sacré Zorro, va !
    Ah ah ah ah ! »
    Henri Salvador – 1964

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