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France : L'Islam en France

Nous sommes en guerre contre des gens pour qui burka et burkini ne sont pas que des tenues vestimentaires

Extrait du billet du père Michel Viot à propos du burkini et de l'islam :

"(…) Alors oui, en cette terre de France, le burkini ne sera considéré que comme un symbole de plus de notre diversité culturelle, religieuse et philosophique. Pourquoi un pays comme le notre qui possède une telle variété de fromages n’aurait pas plusieurs costumes de bains ? Nous nous baignerons donc ensemble, dans un bouillon de cultures au risque de déstabiliser notre civilisation ! Mais cela peut lui donner un coup de jeunesse, et remettre en cause bien des idées reçues. Craindrions nous des printemps, mêmes arabes ? Mais il y a fort à parier que le burkini ne sera pas long à ne plus supporter le bikini et le maillot deux pièces ! (…)

Deux remarques : le droit sert, entre autre, au maintien de l’ordre. Il s’exprime au nom du peuple français, voire le prononcé des jugements ! Sur l’ordre ! Faut- il rappeler que nous sommes en guerre contre des gens pour qui burka et donc burkini ne sont pas que des tenues vestimentaires ? Le burkini sur une plage, c’est un peu comme un verset du Coran lu dans une église. Une avancée de l’Islam salafiste, masquée (sans jeu de mots) et en douceur ! Les Français « bien pensants », dont l’esprit anime les médias grands collecteurs de la pensée unique, Charlie, droits de l’homme, chrétiens de gauche, mariage pour tous et j’en passe, sont tellement obsédés par l’accueil de l’autre et « la place qu’il faut laisser à l’étranger » comme ils le chantent si bien à la messe, ne peuvent y voir malice ! Ils ont même prié le 15 août en disant à la suite de « Prions en Eglise » : « Avec Marie, modèle de la foi, présentons au Père l’Eglise : qu’elle soit courageuse dans l’affirmation de la foi et audacieuse dans l’accueil des autres religions. »

Eux qui ont été scandalisés par la mort du père Hamel, victime du fanatisme islamique, doivent l’être tout autant par ces autres pauvres victimes du violent racisme « néocolonial » que sont les femmes verbalisées à cause de leurs opinions religieuses. Le salafisme a maintenant ses martyres, de faibles femmes, comme le catholicisme avec son pauvre vieux prêtre ! Je constate par ailleurs avec intérêt que chez les anti burkinis, comme chez les pro, on se réclame de la laïcité ! Ce qui selon moi apporte un argument supplémentaire pour montrer la caducité de la loi de 1905. Alors venons en à l’histoire !

Pour les religions et les juges. Quand le candidat Juppé parle d’un accord solennel entre la République et l’Islam, il doit bien imaginer que la chose n’est envisageable que si l’Islam est considéré comme ce qu’il est : une religion ! Or la loi de 1905 ne reconnaît pas comme telles les différentes formes de christianisme ainsi que le judaïsme ! Ne serait- il pas réaliste et surtout plus juste de réfléchir d’abord à la manière dont la loi en 1905 a traité le fait religieux. Et de se demander si cela était équitable pour les religions concernées et avantageux pour l’Etat, j’entends par là dans le travail qui lui revient de droit en la matière : l’ordre public.

Et j’insiste sur ce point qui me parait capital, pour la France et en ce moment : judaïsme et christianisme doivent être traités ensemble et séparément de l’Islam. Me plaçant du seul point de vue du citoyen, je ne porte aucun jugement de valeur sur ces trois religions, et je demande à l’Etat la même neutralité. Les deux premières religions ont fait la France ! Ce n’est pas le cas de l’Islam ! Si ces deux religions ont connu quelquefois de graves problèmes, elles ont expérimenté pendant des siècles ce fameux « vivre ensemble » dont on nous rabat les oreilles. Nous avons connu l’édit de Nantes de 1598, sa révocation en 1685, puis l’édit de tolérance de 1787 qui commençait par donner l’état civil aux protestants, et qui devait s’étendre aux juifs. La mauvaise volonté des parlementaires (voilà déjà les juges !) empêcha le roi d’aller plus vite. La révolution accorda sur le papier une liberté religieuse qu’elle n’appliqua jamais. C’est Bonaparte en 1801 et 1802 qui donna un statut aux catholiques et aux protestants, et aux juifs en 1808. Pour ce dernier cas, les intéressés ne lui facilitèrent pas la tâche, d’où le retard par rapport aux autres ! Auparavant en 1806, leur communauté avait dû répondre à 12 questions préalables qu’on pourrait presque reprendre pour les musulmans !

Mais ici surgit un problème majeur, aussi peu vu par les responsables des cultes depuis qu’ils réfléchissent à l’organisation de l’Islam en France que par le candidat Juppé : avec qui l’Etat va-t’il signer? Le ou les signataires musulmans pourront ils être considérés comme représentatifs de leur communauté, comme le Pape pour les catholiques, les autorités synodales pour les protestants, le « grand sanhédrin » pour les juifs ? Et question subsidiaire : l’État signataire avec une puissance religieuse nouvelle dans ce pays, doit avoir préalablement traité en religion celles dont il s’est séparé en 1905, sans négociation préalable. Pour faire bref, aller au delà de la simple reconnaissance comme association cultuelle ! Ne pas vouloir franchir ce pas condamnerait à ne voir dans l’Islam que le même genre d’entité ! De quel droit alors pourrait-il avoir des exigences qui dépassent le strict exercice du culte ? Mais les autres dira-t’on ? Bonne question ! La réponse pour les juifs et les chrétiens a été donnée au coup par coup sur des sujets qui ne troublaient jamais l’ordre public. Les juristes qui ont eu à en connaître avaient ce sens de « l’humain religieux ». Le droit doit toujours demeurer au service du bien commun. Pour paraphraser Jésus, le droit comme le sabbat a été fait pour l’homme et non l’homme pour le droit ! (…)"

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7 commentaires

  1. Aucun médias officiel n’en parle.
    Une femme tunisienne a du “” s’enfuir ” de France .
    A un arrêt de bus “un adepte du vivre -ensemble ” lui adonné une raclée .
    Motif : elle ne portait pas le voile !!!
    Une p….. certainement !!!
    Pour votre info ,cette scène ne s’est pas passée à Roubaix ,ni à Marseille ,mais dans la France profonde !!!!
    http://www.lci.fr/france/loire-il-lagresse-car-elle-ne-portait-pas-le-foulard-islamique-1522176.html
    Et n’oubliez pas la devise des journaleux:
    “Notre rôle consiste à vous mentir,le vôtre de nous croire ” Fabuleux ,non !!!

  2. Ah ! si seulement ce bon texte pouvait être lu dans toutes les classes de France et de Navarre, au lieu de la lettre de Guy Môquet !

  3. La seule et unique question à se poser est la suivante :l’islam est-il une religion ,et une religion exclusivement ?
    Là est la bonne question .
    Religion : ensemble de croyances et de dogmes définissant le rapport de l’homme avec le sacré.
    Le petit Larousse ,édition 1992

  4. Je suis toujours surpris de ces ‘salamalek’ concernant le judaïsme et cette ‘volonté bien-pensante’ qui cherche a nous faire croire que tout se passe ben avec le judaïsme.
    Regardons les faits : le judaïsme n’a pas construit la France, mais détruit la France catholique.
    Toutes les lois anti-catholique ont été mises en place par et pour les juifs, avec leurs alliés laïques : la franc-maçonnerie.
    La France depuis 1789 est devenu un pays anti-catholique.
    Mais comme il s’agit de ‘dépopulationner’ la France du peuple catholique, tout va bien dans le nouvel ordre mondial.
    La Vendée en 1793 a été légalement ‘dépopulationnée’ avec une loi signée de Bertrand Barère. L’imigration est le moyen de faire la même chose plus discrètement, et démocratiquement, c’est à dire légalement

  5. L’Islam est génétiquement criminel. L’Islam est une idéologie abjecte qui ne génère que des psychopathes et des imbéciles. Son pédophile de fondateur est un faussaire, un voleur et un assassin. L’unique bouquin pondu par cette anti-civilisation crasseuse est d’une stupidité inimaginable. L’Islam doit être mis au ban de l’humanité et le monde entier devra être purifié de cette infestation véritablement démoniaque. Il n’y a donc pas à négocier avec l’Islam mais il faut éradiquer l’Islam, un point c’est tout.

  6. La première question à se poser est justement de savoir pour qui “burqa et burkini ne sont pas que des accessoires vestimentaires”…
    Pour moi la réponse est claire: les politiciens laïcistes qui ont monté en épingle une histoire ridicule dans le seul but d’amener un consensus législatif, tous partis confondus, conduisant à l’éradication de toutes les manifestations visibles de la religion, du port publique des insignes et costumes religieux aux processions, etc.
    Crier au loup aujourd’hui, en fait, c’est d’abord faire du militantisme laïciste!
    Ce sont les maçons doivent bien rigoler!

  7. merci mon père !

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