[Marine le Pen] a toutefois été chahutée en raison de sa volonté de donner un statut à l’animal, suscitant l’inquiétude des agriculteurs. Elle a assumé la position de manière sereine, précisant qu’un animal ne devait plus être considéré comme un meuble, comme le dit actuellement le Code civil, et qu’un véritable travail législatif sur le statut des animaux devait avoir lieu, aussi bien pour les protéger que pour protéger leurs propriétaires des excès écolo-radicaux et animalistes.