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Culture de mort : Idéologie du genre

Entrée de l’égalité fille-garçon dans le programme scolaire

Benoît Hamon ne lâche rien.

"Il va faire rentrer l'égalité fille garçon dans le socle commun, c'est-à-dire dans les compétences que devront maitriser les élèves à la fin de leur scolarité". "Les profs seront formés et auront accès à des contenus pédago sur Internet, afin de ne pas reproduire eux-mêmes les stéréotypes. "L'idée : que l'égalité infuse partout, tout le temps".

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18 commentaires

  1. Comme en parallèle il compte supprimer la notion de note, ce n’est pas la peine de réviser ses leçons sur le sujet.

  2. Où est l’inégalité fille-garçon dans les programmes actuels ? Qui peut le démontrer ? Lire, écrire, calculer, sont des activités universelles qui ne dépendent pas du sexe de l’enfant.

  3. C’est absurde ! Tout le monde le sait : au moins jusqu’au baccalauréat, les filles réussissent beaucoup mieux que les garçons. L’égalité est un acquis qui ne pose pas problème dans les familles françaises (seulement, peut-être chez certaines populations immigrées ?). Si les filles s’orientent plus vers les filières de services à la personne ( ce qui inclut tout de même la médecine et le droit !) que vers les sciences pures, c’est leur choix. Faudrait-il limiter le libre-choix en instaurant des quotas ?
    Encore une fois, c’est absurde !
    Nous attendons impatiemment une prise de position claire des partis d’opposition sur ce sujet.

  4. Quand vont-ils nous lâcher avec tous ces sujets ???? Est-ce cela qui va faire des enfants des êtres intelligents, cultivés et raisonnables ????? J’en doute fort ! A croire que les socialos ont autre chose à la place du cerveau…

  5. Heureusement qu’il n’y a plus de cours de broderie !

  6. Les filles et les garçons ont-ils donc les mêmes conditions pour les performances sportives au bac ?

  7. A défaut d’être compétents pour gouverner la France, les gauchistes imposent l’idéologie égalitariste dans le socle des compétences de la rééducation nationale ! Vivement un roi pour la France !

  8. “L’égalité fille-garçon sera une compétence du socle commun que tous devront maitriser”
    Admirez la novlangue ubuesque :
    En plus d’être ridicule et dangereux, ce sera inefficace et contre-productif : Comme l’antiracisme qui se borne à nier toute différence et tout pb, a engendré plus de racisme et de tensions dans la société, il est à craindre que les tensions intersexes s’aggravent puisque selon la doctrine officielle, certaines sont surtout des victimes et certains surtout des bourreaux…

  9. Dans les compétences que les enfants doivent posséder à la fin de leur scolarité: savoir lire, écrire et compter sont-ils devenus des “stéréotypes”????

  10. La pédagogie par infusion c’est l’endoctrinement par décérébration.

  11. Il va falloir changer les lois qui font une différence honteuse entre les filles et les garçons pour le port des poids !
    On dévalue les filles en ne le permettant pas de porter les mêmes charges lourdes que les garçons.
    Ouf, heureusement qu’aujourd’hui la fille peut aller au casse pipe, servir de chair à canon pour les multinationales ! Merci Rockefeller !
    http://effondrements.wordpress.com/2012/05/15/aaron-russo-et-nicholas-rockefeller/
    Et puis quand l’enfant apparait, on donne des congés à la fille pour qu’elle puisse lui donner son sein. La aussi heureusement, le garçon a maintenant ses congés pour faire semblant de donner du lait de son sein ! Quel magnifique progrès !

  12. LA vraie inégalité c’est “gaucher/droitier” : tout est fait pour les droitiers à l’école et dans la vie (des ciseaux à la fourchette à gâteaux, sans oublier le piano !).
    De plus, il n’y a que 15% de gauchers : il est urgent que Benoît Hamon impose, dès l’apprentissage de l’écriture, l’égalité gauche-droite.
    Après la journée de la jupe, la journée de l’écriture main gauche : on va bien rire !
    Après, il faudra s’attaquer aux inégalités grands/petits…
    ;-)

  13. ils sont fous ces gaulois, valoriser les femmes pour dévaloriser les hommes : voilà à quoi même l’idéologie!
    en médecine comme à l’école de magistrature il y a une majorité de femmes!

  14. Ce qui va “infuser partout et tout le temps”, c’est la révolution qui foutra un jour dehors ce ramassis de dégénérés.

  15. Cette égalité là est utilisée au sens maçonnique du terme. C’est l’égalité qui supprime la différence et qui uniformise tout. Nous devenons tous identiques. C’est l’apogée de l’égoïsme et la fin de l’amour qui ne peut exister et se développer que s’il y a une différence entre les êtres. L’autre n’existe que parce qu’il est différent et c’est cette même différence qui peut faire naître l’amour. L’égalité à la sauce maçonnique cherche à affaiblir le sentiment amoureux pour essayer d’anéantir tout ce qui se réfère à Dieu.

  16. OK pour l’égalité fille/garçon….
    Le gouvernement devrait commencer par la mettre en place au sein même de l’EN avec une égalité parfaite entre enseignants hommes et femmes. Sachant que dans certaines professions (avocats, médecins, etc) les femmes sont plus nombreuses que les hommes, qu’ils nous pourrisent la vie avec des listes électorales où la parité est obligatoire, il ne sert à rien de bourrer le crane des enfants avec ce genre d’ineptie.
    De toute façon, le jour ou un homme (qui ne soit pas transsexuel ayant gardé ses organes internes féminins comme cela arrive de temps en temps) pourra enfanter, l’égalité, la parité tout ce que l’on voudra restera une idéologie à sortir du chapeau quand on est incapable de proposer des solutions pour sortir le pays du marasme.

  17. Je ne vois pas en quoi, en théorie, il serait nocif d’essayer (réussir, c’est une autre affaire quand on a une classe où la majorité des élèves sont musulmans) de faire entrer dans la tête des élèves qu’une fille et un garçon ont une valeur égale, même si biologiquement et parfois intellectuellement ils ne sont pas tout à fait pareils, sans que cette différence engendre une inégalité.
    Malheureusement, cette évidence (car c’en est une) n’est pas ce qui sera enseigné : tout indique qu’il s’agira de “déconstruire les stéréotypes” afin de conduire les enfants à douter de leur identité sexuelle.
    La preuve : il y a quelques décennies, comme le rappelait Ruquier sur LCI il y a quelques jours, chez les Français ordinaires, ouvriers ou employés, il n’y avait pas de réaction particulière à l’homosexualité, parce que c’était quelque chose qu’on ne connaissait pas.
    Mais, depuis une quarantaine d’années, les médias ne cessent, sous toutes les formes, débats, documentaires, mais aussi fictions, de pilonner les esprits pour que l’on admette d’une part que l’homosexualité (et l’homoparentalité) sont choses parfaitement normales, voire (en présentant des familles normales comme maltraitantes en face de tendres couples homosexuels merveilleux éducateurs) supérieures à la sexualité normale des animaux sexués, dont les humains font partie, aucun adolescent, aucun enfant, ne peut ignorer l’existence de l’homosexualité, d’autant qu’ils ont dès l’âge tendre accès à des films pornographiques présentant souvent des actions homosexuelles…
    Depuis quelques années s’y ajoute le matraquage psychologique qu’on leur inflige à l’école : résultat, au moins un adolescent sur dix se croit homosexuel ou souhaite changer de sexe, et au moins un sur cinq est très troublé, ne sachant plus très bien s’il a raison de se sentir garçon ou fille comme le lui dit son corps, ne sachant plus s’il doit prendre modèle sur ses parents (même si ceux-ci ont un comportement des plus estimable), s’il est normal d’avoir deux parents de sexe différent, etc.
    Donc, si l’enseignement donné pour arriver à ce que les élèves assimilent qu’une fille vaut un garçon, même si elle est différente, est en fait une propagande en faveur de l’homosexualité et de l’homoparentalité, comme on le voit avec les livres et les films que l’on conseille aux enseignants d’utiliser (de préférence à l’insu des parents), il faudra s’y opposer.
    Et ce ne sera pas facile, parce que c’est
    un fait qu’une fille vaut un garçon… et donc que ceux qui s’opposeront à cet enseignement dévoyé se verront accuser de ne pas vouloir de cette égalité.

  18. Et l’égalité homme politique/ femme politique devant la guillotine c’est pour quand ?

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