Partager cet article

Homosexualité : revendication du lobby gay

Encore un enfant, jouet du caprice d’adultes

Article du journal Ouest-France de ce jour :

"Un couple de femmes a eu recours,
illégalement, à un donneur pour concevoir un enfant. Mais ce dernierl'a
reconnu et demande à pouvoir le voir. Les deux mamans ne s'y
attendaient pas. La justice doit trancher.

« Je rêvais d'avoir un enfant. Je ne regrette pas, car mon petit garçon est là. Mais je n'imaginais pas ces conséquences. » Alors
qu'elle vivait dans la région d'Orléans, Magali Capdeville, 37 ans, a
fait appel à un ami qui a accepté de donner son sperme. « Aller en Espagne ou en Belgique, c'était très long et compliqué. »

Pas de contrat écrit, mais pour Magali, c'était clair : « Il était le géniteur, il nous rendait service. Mais ne revendiquait pas la place du père. » L'insémination
artificielle est pratiquée de manière « artisanale », à la maison. Un
acte condamné par la loi, en France. Magali se retrouve enceinte. En
septembre 2011, un garçon naît.

Et l'intérêt de l'enfant ?

Sept mois après, une lettre recommandée lui apprend que le père vient
de reconnaître l'enfant
. Cet homme de 24 ans qui, jusque-là, n'avait
jamais vu le petit garçon, souhaite désormais occuper sa place de papa. «
Nous pensions dire à notre enfant qui était son géniteur. Nous étions
loin de penser qu'il demanderait à l'avoir un week-end sur deux. »

En janvier, il obtient un droit de visite et d'hébergement. Magali et
sa compagne, Flavie, sous le choc, fuient et s'installent 300 km plus
loin, à Nantes. Mais elles n'échappent pas à la loi. En mai, elles
reçoivent une assignation devant le juge aux affaires familiales. « Nous ne contestons pas sa place de père, précise Me Anne Bouillon, leur avocate.
Mais il faut considérer l'intérêt de l'enfant. Qu'il puisse nouer un
lien avec le père tout en étant respecté dans sa famille composée de
deux mères.
»

Le père « demande juste à être considéré comme un papa, avec un droit de visite et d'hébergement », rétorque son avocate, Me Castelli-Maurice. Le juge doit se prononcer le 29 juillet. […]"

Partager cet article

26 commentaires

  1. Franchement ? Tous ces personnes LGBT qu’on catalogue toujours comme des “adultes” sont en réalité complètement immatures… Des “bêbêtes” comme on dit dans notre région…

  2. Les deux femmes on t fait un caprice et ont défié la nature … le donneur fait maintenant son caprice : match nul !!! Un seul perdant : l’enfant !!!

  3. Non mais stop à la folie!
    Et arrêtons de farcir la tête des gens avec des “droits” qui sont contre la nature et les aspirations humaines réelles. Au secours!

  4. C’est certain qu’il y a besoin d’un juge pour savoir si le père est le père ou non !!!!!!!
    A moins que le juge ne soit saisit que pour juger de l’état mental de ces trois individus irresponsables…
    Et ne décide de les faire enfermer et de confier l’enfant à une famille adoptive !
    Pauvre gamin ! Que personne ne vienne dire que cet enfant démarre dans la vie avec une égalité de chance.

  5. Il faut bien être conscient, qu’avec les positions du gouvernement, ces pratiques vont exploser dans les mois à venir.
    Tous ces enfants auront +/- 15 ans en 2030, et c’est là où l’on commencera à voir les dégâts…

  6. Si les homos étaient adultes, c’est-à-dire apte à concevoir et accepter l’altérité, quelle qu’en soit la difficulté, ils ne seraient pas homos. Ce sont des ados attardés. Leur confier des enfants est criminel.
    Que ces deux-ci se réjouissent : quand leur couple d’opérette explosera, le père sera là pour payer la pension alimentaire de son fils…

  7. Quand on joue avec la nature…
    C’est pourquoi l’enseignement de l’Eglise est si sage.

  8. Sais pas ce que “artisanale” veut dire. Naturelle ?

  9. En conformité avec la loi Taubira, toutes les femmes doivent adhérer à l'”Association des donneuses de sperme”. C’est une question d’égalité, bien sûr.

  10. donc il faut rendre possible légalement la “PMA/GPA pour tous” pour éviter ce genre de situation… CQFD.
    C’est (à peine) ironique

  11. « Nous ne contestons pas sa place de père, précise Me Anne Bouillon, leur avocate. Mais il faut considérer l’intérêt de l’enfant. Qu’il puisse nouer un lien avec le père tout en étant respecté dans sa famille composée de deux mères. »
    Autrement dit, le rejet viendrait des deux mamans (la réalité et qu’il n’y a qu’une mère) , l’enfant serait une pourriture dans la corne d’abondance de leur amour. l’intérêt de l’enfant est de s’inscrire dans l’histoire de leur désir égalitaire.

  12. Je lis avec effarement les quelques mots suivants, extraits de la fin de l’article ; notez la dernière phrase ….
    “« Depuis ce moment, je n’arrive plus à être une mère à 100 % », se désole Magali, inquiète pour l’équilibre de son garçon. Flavie, sa compagne, n’a, elle, aucun droit sur l’enfant. Cette déconvenue n’a pas freiné le couple dans son désir de fonder une famille. Flavie a eu une petite fille le 4 juillet, conçue grâce au don d’un autre ami, « en qui on a totalement confiance et qui a déjà des enfants ».
    Magali l’adoptera dès que leur union sera scellée par le mariage, le 17 août.”

  13. L’enfant-objet, c’est maintenant ! les graves conséquences sur son équilibre, c’est plus tard !
    “Puisqu’on vous dis qu’il est parfaitement épanoui ! Depuis 2 ans qu’il est né il n’a jamais posé le moindre problème !
    Et puis dans 25 ans ou 40 ans, il gèrera ses problèmes tout seul comme un grand, hein bébé !”
    Quand je vois les problèmes qu’ont les enfants (adultes pourtant) liés à leur absence de père et sachant que ce ne sont pas des cas isolés, je me dis que les générations futures sont mal parties…
    Et les politiciens continuent à parler de ‘principe de précaution’, ‘devt durable’, ‘intérêt des générations futures’ bla bla : ILS N’EN ONT RIEN A SECOUER !

  14. “Un couple” ?… NON !!!! : “UNE” couple, en ce cas ! Comme on dit : “une couple d’heures”, “une couple de jours”, et L’Académie française, dans son Dictionnaire : “une couple de boeufs”…
    Ne pas laisser passer sans réagir ce barbarisme dans la langue française pour complaire au caprice d’un gouvernement délinquant. (Code pénal, Partie législative. Livre IV – Des crimes et délits contre la nation… Titre 1er : Des atteintes aux intérêts fondamentaux de la nation. Art 410-1 ……son patrimoine culturel).
    Et que vos enfants gardent le droit de dire : “j’ai un couple de tourterelles avec une couple d’oeufs dans leur nid”.

  15. Et voilà , c’est le début des problèmes….Juste le début

  16. Comme ça, on nous fera comprendre qu’avec la GPA ça sera mieux pour tout le monde car l’enfant ne pourra JAMAIS connaître son père et son père JAMAIS savoir qu’il a un enfant…. on dira que ça sera un PROGRES, il n’y aura pas de place à la contestation!
    Serait-il donc possible que le fait d’engendrer un enfant ait un SENS dans l’histoire de ses parents? Et bien, nous voilà soulagés que les auteurs de cette ignominie au nom du “droit” à l’enfant en prennent conscience !

  17. Quelle belle “famille” ! Un premier enfant conçu dans l’entraide amicale, qui se retrouve avec un père et une mère – mais quelle horreur ! Un deuxième, conçu sur le même principe, mais avec un géniteur “fiable”, qui va donc pouvoir être adopté par la mère du premier, quand celle-ci en revanche ne pourra pas rendre la pareille à sa future “épouse”. Ces dames doivent regretter de ne pas avoir élu le même fournisseur ! Voilà déjà de quoi occuper les tribunaux. L’idée générale est celle de “l’intérêt de l’enfant”….. à méditer.

  18. la réalité rattrape l’utopie !

  19. Non seulement il faut légaliser PMA et GPA, mais encore faut-il pour assurer l’égalité que ces actes soient remboursés à 100% par la sécu.

  20. Je sème à tout vent!
    Sinon, la méthode “artisanale à la maison”, c’est quoi précisément?!

  21. Qqn peut-il m’expliquer ?
    Je ne savais pas que l’insémination artificielle “artisanale” était illégale !
    (je suppose que ça fait à la force du poignet, et avec l’aide d’un contenant souple du genre préservatif)
    Car la personne peut prétendre qu’il s’agissait pour elle “d’une pratique sexuelle comme une autre” ? Et oui… c’est parole contre parole…
    D’autant plus que la même “entente” peut se faire avec un vrai rapport sexuel (légal donc), et il s’agit toujours du même problème !

  22. il faut absolument une loi qui autorise le mariage polygame

  23. Beaucoup réclament que le mariage religieux vaille mariage tout court en France, alors qu’il n’est qu’optionnel, et sans valeur légale aujourd’hui (et se célèbre toujours après le mariage civil). Attention ! Si on arrivait à cela, ce serait nécessairement légaliser la polygamie musulmane – l’islam la prévoyant expressément, au bénéfice du seul mari (qui peut épouser, comme Mahomet, même une ou plusieurs non-musulmanes, d’ailleurs – ce qu’on ne sait pas en général, nous les “infidèles”).

  24. Quand je regarde autour de moi, je vois beaucoup plus de couples sans enfants
    — à la louche, je dirais 10% dans mes connaissances —
    ou de célibataires sans enfants
    que de paires.
    Mais là ou les couples acceptent comme évidente l’interdit de la PMA,
    là où les couples font leur deuil de la stérilité subie et trouvent d’autre moyen de répandre leur amour autour d’eux,
    je suis stupéfaite de voir
    à quelle point la stérilité — pourtant choisie — est insupportable aux paires,
    à quel point cela semble impossible à une paire de faire le lien fécondité – générosité,
    et surtout avec quelle facilité les paires passent outre
    non seulement l’interrogation éthique,
    mais aussi l’illégalité de certaines pratiques…
    Tout en sommant les maires de respecter la loi “votée” !…
    Il y a quelque mois je pensais que ce mariage n’était pas très important, maintenant que j’ai pris le temps d’y réfléchir, j’ai l’impression que donner un livret de famille à une paire, c’est donner une boite d’allumette à un pyromane.

  25. La devise “égalité à tout prix” a des effets pervers: puisque les enfants naturels doivent avoir les mêmes droits que les enfants légitimes (au motif que “les enfants naturels n’ont rien demandé, il est donc juste qu’ils ne soient pas moins bien traités que les autres”*), cela légitime les pratiques des adultes qui les produisent.
    Il faudra détricoter bien plus loin que le PACS, l’avortement, la contraception…
    *les “amas de cellules” n’ont rien demandé non plus, il est donc profondément discriminatoire que certains arrivent jusqu’à la naissance, mais d’autres pas.
    Puisqu’on peut identifier des faits criminels plus que quinze ans après à l’aide de l’ADN (cf http://www.liberation.fr/societe/2013/07/25/un-homme-confondu-par-son-adn-vingt-ans-apres-le-meurtre-de-deux-fillettes_920714 pour ne citer qu’un fait divers récent), les enfants en quête de leurs parents devront porter plainte et faire procéder à de nombreuses analyses (s’ils en ont les moyens financiers).

  26. l’intérêt de l’enfant : avoir deux mères et un père?
    pas de commentaire!!!

Publier une réponse

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services