Dans son émission Thierry Ardisson interpelle Philippe de Villiers sur son dernier ouvrage en lui disant que ce qu’il révèle était déjà connu de tout le monde. Philippe de Villiers confesse que non seulement lui ne le savait pas, mais qu’il a appris à une très haute personnalité française que Schumann avait porté l’uniforme allemand en 14, qu’il avait soutenu les accords de Locarno, qu’il avait soutenu les accords de Munich et qu’il avait été ministre du Maréchal Pétain avant de voter les pleins pouvoirs (vers 7mn44). Tout le monde le savait… sauf le président la République française !
DUPORT
Ce n’est pas non plus une référence car Macron s’instruirait avec n’importe quel ouvrage, même ceux pour les enfants…
Lansquenet
Ce n’est pas parce que ce sujet était déjà connu mais pas forcément crié et revendiqué que mr De Villiers ne se devait pas de nous rappeler et nous fournir ces éléments afin d’éclaircir en profondeur le projet de l’Europe avec une enquête brillante. Je conseil ce livre. Et peut être qu’il dérange certaines personnes….
Le forez
Il est si jeune ce président ( de rien ou plutot plus de l Europe que de la France , future province germanique) qu il a encore du lait sur le nez et donc il a tout à apprendre , tout ! Surtout sur son pays qui l a nourrit ! C est une jeune racaille ignare comme on en voit tant.
Jean-Marie MICHEL
Dans cet entretien Philippe de Villiers dit une semi-vérité et il partage cette semi-vérité avec tous les Français qui nous parlent d’Alsace-Lorraine depuis des lustres. La Lorraine c’est cinq départements français, c’est à dire autant que la Bretagne historique, c’est à dire avec la Loire Atlantique. Après la guerre de 1870 les Allemands ne prirent que le département de Moselle qui parlait une langue germanique, et encore, une partie de ce département ne parlait pas germanique, les Allemands n’en voulurent pas, cette partie fut rattachée au département voisin pour s’appeler ensuite la Meurthe et Moselle. Si vous regardez sur une carte la forme bizarre de ce département, cette bande de bande de territoire qui monte vers le Luxembourg, c’est la partie de la Moselle que les Allemands ne voulurent pas parce qu’on y parlait le français. La République française, après 1918, fit elle tout son possible pour tuer les dialectes germaniques alsaciens et mosellans, comme elle fit tout son possible pour tuer la langue bretonne en Bretagne, je dit bien la République, car la monarchie était plus respectueuse de ces langues dites provinciales