Le président de la République n’a visiblement rien compris à l’angoisse des Français, qui ne parviennent pas à boucler leurs fins de mois :
Emmanuel Macron : « L’angoisse de fin de mois, c’est une angoisse de citoyens […] C’est aussi l’angoisse des problèmes de réchauffement climatique et de biodiversité. Je pense que ces problèmes n’en font qu’un » pic.twitter.com/ndwz9nnaXB
— CNEWS (@CNEWS) 6 mai 2019
F. JACQUEL
De plus en plus déconnecté et arrogant, JUPITER nous démontre tous les jours que le sommet de l’Olympe est de plus en plus élevé. Soumis aux diktats de la Commission européenne, du GIEC et de tous les organismes transnationaux, il s’enfonce dans un monde artificiel qui rappelle “La Chute” rediffusée il y a peu sur Arte. Le personnage central se convint de l’existence de forces qui n’existent plus, alors que tous ses proches l’abandonnent les uns après les autres au fond du Bunker de Chancellerie…
Ludo72
Problèmes qui ne font qu’un effectivement… Mais dont la solution passe nécessairement par la fin de la mondialisation, de la finance cosmopolite et du système économique absurde et injuste qui en découle… Cela passe donc par des frontières, des peuples et des nations souveraines, autrement dit la relocalisation des économies. En somme, l’exact opposé de tout ce qu’incarne Macron et ses alliés objectifs que sont LR, le PS et les Verts…
Encore faudrait-il qu’il nous explique comment, hors des centre-villes, les pauvres peuvent trouver du boulot si en même temps on leur interdit de prendre leur (vieillissante) voiture, qui reste dans tous les cas indispensable, même dans l’hypothèse de relocalisation d’activités sur tous les territoires ?
DUPORT
Macron a été mis en place pour donner l’illusion aux français que le poste de Président de la République n’est pas vacant.
Il sort juste ses tirades pour faire le spectacle.
Michel
Macron parle comme un bobo né une cuillère d’argent dans la bouche et qui ne peut pas imaginer l’angoisse des fins de mois difficiles : ce gosse de riches tient des discours de désœuvré pour épater sa coterie écolo-gauchiste ; on sent au fond de lui un souverain mépris, c’est le cas de le dire, pour le peuple qu’il est chargé de conduire, et qui pourrait lui faire dire : “salauds de pauvres… vous ne pensez qu’à vous !”