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Culture de mort : Idéologie du genre

Dictature des idéologues du gender : une étudiante sanctionnée pour avoir rappelé ce qu’est une femme

Dictature des idéologues du gender : une étudiante sanctionnée pour avoir rappelé ce qu’est une femme

Une étudiante en droit de l’université Abertay de Dundee au Royaume-Uni fait l’objet de mesures disciplinaires pour avoir dit que les femmes ont des vagins et ne sont pas aussi fortes physiquement que les hommes. Ces mesures disciplinaires ont été prises à l’encontre de Lisa Keogh, 29 ans, pour des commentaires jugés “offensants” et “discriminatoires”. L’étudiante a été dénoncée par des camarades de classe, après avoir déclaré que les femmes étaient nées avec des organes génitaux féminins et que “la différence de force physique entre les hommes et les femmes est un fait”.

L’étudiante craint qu’une sanction l’empêche de devenir avocate spécialisée dans les droits de l’homme. Accusée d’avoir dit que les femmes étaient le “sexe faible” et que ses camarades de classe étaient des “féministes détestant les hommes” lorsqu’un étudiant a suggéré que tous les hommes étaient des violeurs et représentaient un danger pour les femmes, elle a expliqué :

“Je n’ai pas nié avoir dit ces choses et j’ai dit à l’université exactement pourquoi je l’ai fait”. “Je n’avais pas l’intention d’être offensante, mais j’ai pris part à un débat et j’ai exposé mes opinions sincères. J’ai été maltraitée et traitée de tous les noms par les autres étudiants, qui m’ont dit que j’étais une “fille blanche cis typique”. Vous devez être capable d’échanger librement des opinions différentes, sinon ce n’est pas un débat”.

“Je n’étais pas méchante, transphobe ou offensante. Je ne faisais qu’énoncer un fait biologique de base. Je travaillais auparavant comme mécanicien et lorsque j’étais dans l’atelier, il y avait des choses lourdes que je ne pouvais tout simplement pas soulever, mais des collègues masculins le pouvaient.”

Aujourd’hui, sous couvert de la journée de lutte contre “l’homophobie” une intense propagande LGBT a cours dans les médias. Cette propagande fait l’impasse sur le terrorisme intellectuel mené par le lobby LGBT…

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12 commentaires

  1. Et comme par hasard, elle prétend vouloir travailler pour les droits « de l’homme » et pas de la femme. Quels propos offensants, vite qu’on mette en place un espace « safe » dont elle sera exclue

  2. Donc les femmes ne peuvent plus se plaindre de mysogynie si les hommes se moquent d’elles parce qu’elles sont faibles, et même s’ils se moquaient d’elles parce qu’elles ont un vagin, et s’ils les discriminaient par exemple pour cela. Super, en plus de l’énorme injustice de ne pas pouvoir dire la vérité sans avoir des ennuis.

  3. Oui et puis un vaccin, c’est pareil, ce n’est pas nécessairement une piqûre avec une substance qui déclenche la production d’anticorps dirigé contre le pathogène visé. Un simple pansement suffira donc pour l’éventuel passeport vaccinal. Etre vacciné ou pas, à ce compte, c’est comme le genre, tout est dans la tête, n’est-ce pas? On est vacciné à partir du moment où on n’a pas peur du virus et où on ne veut pas se mettre de masque.
    Tout cela me fait penser à des scientifiques qui voulaient que leur étudiante dise au personnel du laboratoire où elle travaillait qu’une substance radioactive ne l’était pas, pour ne pas les affoler, afin qu’ils acceptent de travailler avec.

  4. Et puis c’est pareil, ce qu’on gagne, c’est subjectif, cela ne dépend pas du salaire mais du ressenti de richesse. Donc on met ce qu’on veut sur sa feuille d’impôt. Olé!

  5. Allons dans leur sens. Et si dans ma tête être une femme c’est ne pas être vaccinée, a-t-on le droit de me faire de la discrimination avec un passeport sanitaire parce que je suis une femme?

  6. “cis-typique”…… J’aimerai avoir une conversation avec ces abrutis, j’entends par “conversation” un échange musclé et viril ! A un moment, il faut laisser parler le fer…

  7. La question est : sont ils assez tarés et dégénérés pour porter leur fin en eux et disparaître tout seuls ?
    À moins qu’ils se convertissent, mais ça Dieu seul le peut.

  8. Quelle effroyable dictature idéologique. Vivement que ce monceau de mensonges s’effondre !

  9. Sans parler de ce ministre dit de la justice (à priori blanc mais je n’ose plus me prononcer) qui prétend qu’il n’y a pas d’insécurité mais un sentiment d’insécurité !

    Je lui propose de porter un costume de policier ou de pompier et de se promener seul la nuit dans une banlieue séparatiste afin d’éprouver ce sentiment.

    Personnellement, j’en ai assez de voir ces footballeurs auxquels leur fédération (du sentiment de justice) impose des numéros LGBT multicolores au dos du maillot ou d’exécuter le ridicule genou à terre avant le match parce qu’un « black » vaut plus qu’un blanc, leur dit-on.

    J’aime le foot parce c’est un sport magnifique mais je crois que je ne vais plus regarder que des matchs des années 1970 à 2000 car c’est vraiment devenu insupportable, le tout étant de surcroît financé maintenant par des Émirats…

    Pauvre France, il n’y a plus un secteur qui échappe à cette colonisation malsaine de la bien pensance, du fric et de l’islamisation !

    Et pourtant, j’aime le foot.

    Admirateurs du rugby ou d’autres sports, ne vous réjouissez pas trop vite car l’épidémie se propage dans tous les domaines… En Formule1, Mercedes qui a repeint ses voitures en noir au lieu du traditionnel et magnifique argenté en est un bon exemple !

    Nous sommes dirigés par des soumis médiatiques qui se disent insoumis et qui veulent imposer leur vision ridicule et mensongère du monde à tous !

    Résistons !

  10. Scandaleux !

    A Paris, j’ai vu une personne qui ressemblait à un mâle blanc tenir une porte pour laisser passer une jeune femme, pire un autre tenait un parapluie sous l’averse et a permis à une dame qui avait la quarantaine (pas à cause du virus mais de son âge) de monter à l’arrière d’un taxi sans se mouiller : Quel goujat !

    C’est un sentiment de politesse et de respect qui est absolument insupportable !

    Mais que fait Dupont face à cette situation ?

  11. Petite remarque au passage, dire que les femmes ont “des” vagins est un anglicisme, c’est la traduction un peu trop littérale de la phrase en anglais. La langue de Shakespeare ne respecte pas les cardinalités au contraire de celle de Molière. Il faudrait donc dire “un” et non pas “des”, car chaque femme n’en a qu’un. Encore que, dans le délire actuel, étant donné le déni de réalité auquel on assiste, tout est envisageable… Mais au fait, le déni de réalité, n’est-ce pas précisément là une des caractéristiques de la folie ? Il faudra donc construire beaucoup d’asiles psychiatriques, beaucoup plus que de prisons, car nous avons davantage de fous que de délinquants dans notre occident décadent…

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