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Culture de mort : Idéologie du genre

Des militantes queer, maîtres de conférence dans nos universités

Le Salon beige publie ici les passages les moins choquants de l’article, agrémenté d’une vidéo… parlante, de l’Observatoire de la théorie du genre. Ce dernier nous présente deux “chercheurs”, maîtres de conférence dans nos universités, et accessoirement militantes queer (la version ultra de la théorie-qui-n’existe-pas).

Marie-Hélène Bourcier est sociologue et maître de conférences à l’Université de Lille III, qui va lui confier la responsabilité pédagogique d’un nouveau master « genre et interculturalités  » en 2015. Se définissant comme « butch  » (c’est-à-dire lesbienne adoptant les codes vestimentaires et comportementaux masculins), elle (…) organise des ateliers « drag kings » pour apprendre aux femmes à se « transformer en hommes ».

Elle anime, de plus, un séminaire à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales en « Théories, cultures et politiques queer ». Les étudiants – futurs membres du Centre National de Recherches Scientifiques (CNRS) pour la plupart – reçoivent donc, grâce à de l’argent public, une formation très orientée et militante.

Dans son dernier livre « Queer zone 3 », en effet, Marie-Hélène Bourcier prône la «  prolifération des genres  », c’est-à-dire qu’il faut «  contrer le système sexe/genre binaire et normatif que nous connaissons  ». Elle définit d’ailleurs « 52 nuances de genre. » (…)

[Activiste et militante queer], Rachèle Borghi vient d’être recrutée par l’Université Paris IV.  (…) Sa spécialité ? Le « post-porn ». (…) Là encore, il s’agit de détruire le repère de la différence homme-femme par la multiplicité des « genres » mis en scène pornographiquement. Dans une espèce de gloubiboulga de pornographie et de « théorie queer  », [elle se déshabille] progressivement…pour finir nue à la fin de sa présentation.

Egalement maître de conférence à l’Université de Rennes 2, elle prône une « géographie de la sexualité  » pour « questionner le caractère hétéronormatif de la discipline géographique et de l’institution universitaire ». Ce qu’il faut comprendre ? Les militants queer se sont donné pour mission de coloniser le monde universitaire.”

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14 commentaires

  1. Un seul mot, une seule explication :
    SATANISME

  2. Peut-être que pour passer ce Master “Genre” il y a un stage de mise en pratique. Un jour femme, un jour homme, un jour trans […]

  3. Quand on lit cela, on ne peut manquer d’être stupéfait en repensant à cette décision initiale de la Commission société de l’épiscopat de faire venir à une session de formation une adepte des théories de Judith Butler. Dans cette société de fous où nous nous trouvons, les autorités ecclésiales en rajoutent une couche. Et alors que celles-ci reculent fort heureusement, il faut encore que La Croix et la Vie poussent des cris d’orfraie!
    Et qui plus est on voit un spécialiste de la pastorale de la famille qui a trouvé “bizarre” la venue de Mme Brugère mais sans réagir, et voyant ensuite l’abandon de ce projet, a confirmé son adhésion à ce recul mais tout en désapprouvant la démarche qui a permis ce succès indispensable à savoir la pétition car pour lui une pétition entre chrétiens, ce n’est pas bien…Quel pharisianisme, quel irréalisme! car sans cette pétition l’infamie aurait eu lieu.
    C’est la preuve par neuf de ce que la démarche des Précurseurs devant la surdité des autorités et d’une grande partie de la presse dite catholique est la seule voie d’espérance. Nous devons être très nombreux à signer la supplique aux évêques et à soutenir ce mouvement qui est une dernière chance pour sauver la société et l’Eglise qui devrait être sa lumière.

  4. Dieu merci, beaucoup de gens sont en train d’ouvrir les yeux sur ces élucubrations de charlatans, ces théories fumeuses et absurdes conçues par des cerveaux malades… mais reste la responsabilité personnelle terrible et impardonnable des malfaiteurs au sommet de l’État qui organisent la subversion et la déconstruction.

  5. Les cathos se réveillent bien tard… c’est depuis des années que ces militants sont présents dans la recherche et l’enseignement supérieur en position dominante, notamment dans les “grandes écoles”, dans lesquelles ces mêmes cathos envoient allègrement leurs enfants.
    Cherchez l’erreur.

  6. Qui les nomme ! Et cela avec l’argent public au profit d’une véritable secte qui s’infiltre partout. Le pire étant que l’université se met à “enseigner” des élucubrations qui vont certainement être d’une très grande utilité dans les standards internationaux chargés de classer les facultés.

  7. Vu récemment dans une librairie (par ailleurs excellente, quoiqu’évidemment de gauche — il ne faut pas trop en demander) : un livre “savant” d’un auteur français, consacré aux “porn-studies”. Rayon sciences humaines.
    Après, on s’étonne que l’université française ne produise pas assez de bons physiciens et de bons chimistes. On ne peut pas être partout.

  8. Et quid de Thomas Hollande,(fils de l’actuel président) et de son ” think tank différent”,intitulé “laboratoire de la pensée”?? Très prometteur non ?
    voir articles parus sur l’Observatoire de la théorie du genre.

  9. Le premier message de réaction dit tout ce qu’il y a à définir sur le problème: satanisme. Pie IX disait de ceux qui avait brûlé Paris en 1871 en agitant le drapeau rouge qu’ils étaient les “pèlerins de l’enfer sur la terre”. Ce sont les mêmes forces antiques du Prince de ce monde qui se déchaînent aujourd’hui pour répandre la lèpre de la perversion.
    Notons que c’est le libéralisme qui permet une telle chose. Donner des droits au mal et à l’erreur c’est leur permettre de s’ériger en dictature, c’est ce qui ne manque pas de se produire. Ce qui m’amène à penser que si le bon sens régnait dans la “société” contemporaine ces gens-là seraient à enfermer d’abord pour les protéger d’eux-mêmes et ensuite pour protéger la société.

  10. “Se vantant d’être sages, ils sont devenus fous; et ils ont changé la gloire du Dieu incorruptible en images représentant l’homme corruptible, des oiseaux, des quadrupèdes, et des reptiles. C’est pourquoi Dieu les a livrés à l’impureté, selon les convoitises de leurs coeurs; en sorte qu’ils déshonorent eux-mêmes leurs propres corps; eux qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge, et qui ont adoré et servi la créature au lieu du Créateur, qui est béni éternellement. Amen! C’est pourquoi Dieu les a livrés à des passions infâmes: car leurs femmes ont changé l’usage naturel en celui qui est contre nature; et de même les hommes, abandonnant l’usage naturel de la femme, se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement.”
    Saint Paul, épitre aux Romains

  11. N’oublions jamais: ils faut qu’elles déguerpissent dès que la majorité électorale le permettra .Greg

  12. J’en tombe par terre (heureusement, étant en fauteuil roulant, je suis toujours assise…). Ma chère Sorbonne…
    Et on ne peut même pas se dire que, la recrutant comme maître de conférences en … géographie, ceux qui l’ont nommée ne savaient pas, puisqu’elle agissait déjà ainsi comme maître de conférences à Rennes…
    Mais le pire, c’est en effet qu’il se trouve de “bons catholiques”, des prêtres, même,peut-être qui condamnent ceux qui n’apprécient pas que ce genre de folles et de fous viennent enseigner leurs folles théories aux étudiants et même aux petits enfants, et qui qualifient ceux qui n’en sont pas satisfaits de “police de la pensée” minoritaire…

  13. Toujours se référer aux documents. Amusé mais sceptique selon votre affirmation selon laquelle “Rachèle Borghi” aurait pour spécialité le “post-porn” je me suis dit que : rien ne vaut une vérification !
    Tout d’abord, le prénom de Mme Borghi est “Rachelle”, sans accent sur le “e” mais avec deus “l”. Ce n’est pas une erreur très grave, mais ce genre d’erreur est souvent symptomatique d’une insuffisance de vérification.
    Ensuite, une fouille sur le site web du laboratoire où officie Mme Borghi m’indique (cf. ce document http://www.enec.cnrs.fr/IMG/pdf/AG_rc_juin_2013.pdf‎ ) que celle-ci est spécialiste de “géographie culturelle, plus précisément des géographies des genres, sexes et sexualités, ainsi que des géographies post-coloniales”. Je ne vois point de “post porn” là dedans.
    Certes Mme Borghi a écrit un court article, assez technique, consultable sur le web ( http://www.nonfiction.fr/article-6598-post_porn_corps_en_relation_corps_en_resistance.htm ) et consacré au “post porn”. Cela en fait-elle une “spécialiste” de cette thématique ? C’est fort discutable. Décririez vous Henri-Irénée Marrou comme un “spécialiste du christianisme primitif” ou comme un “spécialiste du dossier épigraphique de l’évêque Rusticus de Narbonne” (il a consacré un article en 1970 à ce sujet). Les deux se défendent, mais le premier nettement mieux que le second tout de même.
    [Je vous invite à regarder la vidéo de sa conférence, postée sur le site que je cite. J’ajoute qu’elle est présentée avec la même orthographe comme intervenante à la queer week de Sciences Po, pour une conférence sur le post porn : http://queerweek.com/?p=events
    L.T.]

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