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Immigration

Des immigrés dans la gendarmerie d’Arzano (Finistère)

Des immigrés dans la gendarmerie d’Arzano (Finistère)

Plusieurs dizaines d’immigrés sont attendus d’ici quelques semaines (octobre ?) dans la commune d’Arzano (Finistère), pour être logés dans l’ancienne gendarmerie, la brigade locale ayant été dissoute le 1er août dernier.

La décision d’accueillir des immigrés a été prise par la préfecture du Finistère sans aucune information ni concertation avec les 1 500 habitants de la commune.

Dans le bourg, les rumeurs font état de familles qui occuperaient les 6 appartements de la caserne. Mais certains habitants sont sceptiques :

« A chaque fois ils parlent de familles, et ça se termine avec des jeunes hommes seuls ».

Anne Bory, maire de la commune d’Arzano, ne cache pas son militantisme pro-immigré :

« La France, le Finistère ont cela dans leur histoire : le métissage, le brassage, la diversité. Il est de notre devoir de perpétuer cette tradition d’ouverture, en évitant le confort du repli sur soi et l’enfermement communautariste. »

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2 commentaires

  1. De quel enfermement communautariste parle t-elle? Elle peut aussi partir vivre en Patagonie si ça lui chante, pour rester ouverte.

  2. bientot à l’élysée?
    et les sdf francs et gaulois toujours dans les rues!
    le suicide français est en marche

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