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Pays : Etats-Unis

De l’avortement à l’infanticide

En juillet 2006, une jeune mère de 18 ans, enceinte de 23 semaines, est allée se faire avorter dans une clinique près de Miami pour la coquette somme de 1200 dollars. Alors qu'elle était prête pour l'avortement, ayant pris ses médicaments, elle enfanta d'une petite fille bien vivante avant que le docteur n'arrive. Ce dernier était en effet en retard de plusieurs heures. L'une des propriétaire de la clinique, n'ayant pourtant aucune licence médicale pour procéder à des avortements, a coupé le cordon ombilical et a mis le bébé vivant dans un sac poubelle. Le docteur vient de perdre sa licence

Les pro-vie se sont levés pour dénoncer ce meurtre, alors que même les pro-avortement ne cachent pas leur embarras. Cette affaire relance le débat sur le délai légal d'avorter. Car si le médecin avait été là à temps, le bébé aurait été tué sans que l'information ne perce. A 23 semaines, un bébé a une chance mince mais bien réelle de survie.

MJ

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5 commentaires

  1. Faut-il avoir de la haine pour les bébés ! pourquoi ne pas les donner à adopter ! il y a qqchose de satanique dans tout cela.

  2. C’est affreux mais très logique. S’il est normal de tuer son enfant avant un certain délai, il deviendra forcément normal de le tuer plus tard : pourquoi un jour précis de la grossesse autoriserait-il le meurtre avant une date et non après ? De même pourquoi l’accouchement ferait-il frontière ? Et pourquoi la société n’avorterait-elle pas tous les membres qui lui sont un poids financier : malades, chômeurs, RMIstes, SDF, personnes handicapées… et même peut-être à la toute fin les criminels récidivistes.

  3. La vengeance de Dieu, qui ne sera que Sa Justice sera terrible pour l’Amérique, et pour le monde.
    Barbara, je crains que vous confondiez tout.
    On ne peut mettre sur le même pied un avortement, crime sur un innocent, avec la condamnation à mort d’un criminel, récidiviste ou pas d’ailleurs!

  4. HB, vous n’avez pas compris que mon message évoquait l’inversion des valeurs ? D’abord les bébés, puis tous ceux qui gênent et peut-être, je dis bien peut-être, à la toute fin les criminels.

  5. Il est en train de passer le temps où les avortements répondaient d’une prétendue liberté à “gérer” son corps. Le drame qui est en train de surgir est que la logique de mort systématique s’installe. On tue bel et bien pour réduire le nombre d’hommes sur terre, sous des pretextes plus fous les uns que les autres. Les idéologies écologistes, malthusiennes, à travers le planning familial qui ne s’en cache pas, voient leur mise en application à travers l’avortement et l’euthanasie.
    Plus l’homme s’éloigne de Dieu, plus il deteste l’homme qui est à l’image de Dieu dans la création. Il ne supporte plus que lui jusqu’à ce qu’il se rendre compte de l’absurdité de son existence.

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