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Institutions internationales

Dans un rapport scandaleux, l’UNICEF doute de la nocivité de la pornographie pour les enfants

Dans un rapport scandaleux, l’UNICEF doute de la nocivité de la pornographie pour les enfants

Le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) est une agence de l’Organisation des Nations Unies (ONU) consacrée à l’amélioration et à la promotion de la condition des enfants. C-Fam, le Center for Family and Human Rights, a mis en lumière un rapport publié par l’UNICEF. La problématique générale de ce rapport cherche à « apprécier les droits de l’enfant dans un environnement numérique ».

La section qui traite de la pornographie comporte des propositions proprement scandaleuses :

« Le terme “pornographie” a de nombreuses définitions juridiques dans différentes juridictions, de sorte qu’il n’est pas toujours évident d’utiliser des définitions cohérentes dans la littérature ».

« Les médias numériques d’éducation sexuelle les mieux classés dans le monde entier et auxquels les enfants ont accès (…) peuvent être classés comme “pornographie” dans certains contextes : s’ils étaient soumis à des restrictions d’âge, cela pourrait priver les enfants de l’accès à des supports d’éducation sexuelle essentiels. »

Si de pareils contenus peuvent être ainsi classés, il est difficile de concevoir comment les enfants pourraient en être « privés ». Mais le pire est à venir.

Le texte voudrait faire croire que l’exposition des enfants à ces contenus abominables n’est pas vraiment dangereux :

« Plusieurs types de risques et de préjudices ont été associés à l’exposition des enfants à la pornographie, mais il n’existe pas de consensus sur le degré de nocivité de la pornographie pour les enfants. »

« Les preuves sont contradictoires et il n’existe actuellement aucun accord universel sur la nature et l’étendue du préjudice causé aux enfants par la visualisation de contenus classés comme pornographiques. »

Le rapport n’est plus accessible sur le site de l’UNICEF, mais il peut être trouvé sur le site C-Fam (en anglais).

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4 commentaires

  1. Organe de propagande. Intéressant ce que disait J-J.Crèvecoeur dans sa dernière conversation du lundi CDL88 (celle d’hier), le gouvernement mondial est prêt : ministère de la Défense, l’Otan, celui de la santé, l’Oms et ainsi de suite….

  2. Voir aussi le document de l’OMS “Standards pour une éducation sexuelle en Europe” (https://www.sante-sexuelle.ch/assets/docs/Standards-OMS_fr.pdf ou https://www.bzga-whocc.de/fileadmin/user_upload/Dokumente/Standards_Sexuality_Education_Guidance_FR.pdf)
    Ce document très officiel qu’on trouvait un temps en lien sur le site de l’Education Nationale du temps de NVB expliquait dans le détail comment enseigner aux enfants, dès leur plus jeune âge, à rechercher le plaisir sexuel.
    Curieusement ses promoteurs en ont honte puisqu’ils le font disparaitre dès qu’on commence à réagir. Mais ils continuent à imposer leurs discours et pratiques dans les écoles…
    Peut-être devrait-on réactiver les si efficaces “journées de retrait”.

  3. « Les preuves sont contradictoires et il n’existe actuellement aucun accord universel sur la nature et l’étendue du préjudice causé aux enfants par la visualisation de contenus classés comme pornographiques. »

    Pourquoi alors la signalétique pour la jeunesse (interdit ou déconseillé aux -10, -12, -16, et même -18 ans) ???
    Ce simulacre de fausse naïveté révèle la lubricité endémique de notre époque!
    C’est très très grave!
    Qu’ils aillent donc lire ce que dit NSJC sur le scandale des petits et qu’ils la mettent en veilleuse, ça vaudra mieux pour eux.

  4. UNICEF à détruire comme le reste.

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