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Culture de mort : Avortement

Culture de mort : rappels du Cardinal Trujillo

Dans une interview publiée le 15 janvier par le quotidien italien La Repubblica, le président du Conseil pontifical pour la famille a réagi aux manifestations organisées la veille à Rome et Milan en faveur du PACS et de la pilule abortive. Le cardinal Alfonso Lopez Trujillo a affirmé que le PACS "effrite la famille" et que la pilule abortive Ru486 est "une guerre chimique contre la vie à naître". Le cardinal colombien n’a pas manqué non plus de réagir contre "le harcèlement de l’Eglise". "Pour la première fois dans l’histoire de toutes les cultures, de toutes les religions, de toutes les ethnies, ce qui a toujours été valable dans toutes les conceptions de la nature, de la philosophie et de la théologie est compromis : le mariage est l’union d’un homme avec une femme"

"Si l’idée passe que nous sommes face à l’union de deux personnes – du même sexe – alors tout devient possible : l’union entre de nombreuses personnes, l’union sans tenir compte des limites d’âge, la polygamie, l’inceste". "Nous sommes face à une grande confusion philosophique, juridique et théologique". "Nous ne devons pas oublier qu’une loi est bonne si elle fait du bien à la communauté et à l’homme". "Les PACS sont une bulle d’air, une fausse monnaie en circulation". Certains "veulent profiter des mêmes effets civils qu’avec le mariage" mais "ne promettent rien à la société, à l’Etat, ni entre eux-mêmes". "Je peux assurer qu’il n’y a pas d’instincts, même erronés, qui ne peuvent être ramenés à la normalité selon la raison et la dignité humaine", a-t-il lancé le à propos de l’homosexualité. Il a expliqué que de nombreux problèmes des couples homosexuels pouvaient être résolus "à travers des lois et des accords de droit privé".

Concernant l’expérimentation en Italie de la pilule abortive Ru486, le président du Conseil pontifical pour la famille a évoqué "le drame des pauvres femmes en difficulté qui subissent la pression des médias et de l’opinion publique, et sont poussées à l’avortement (…) au lieu d’être aidées".

Michel Janva

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