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France : Société

Covid : du vaccin aux clusters

Etonnantes coïncidence :

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14 commentaires

  1. Vous pourrez incriminer la vaccination partout parce qu’elle a débuté partout ! Même dans des endroits où il n’y a pas de clusters. On vaccine dans les hôpitaux ! Il y’a des cas COVID dans les hôpitaux ! C’est donc à cause de la vaccination. Il suffisait d’y penser !
    Dans l’hôpital où je travaille il y avait des cas de COVID avant la vaccination. On y vaccine depuis 1 mois (au compte goutte faute de doses !). Il y a toujours des cas COVID.

    • On parle dans les articles de foyers de contamination (“Clusters”), pas de simples contaminations dans l’ordre habituel lors des épidémies. La mise en perspective des articles a surtout pour but de bien montrer que comme il l’a été précisé par les experts, la vaccination Pfizer n’empêche en rien la transmission.
      Cela ne cherche pas à prouver quoi que ce soit mais la mise en perspective des informations permet de ne pas penser sous un angle unique. C’est comme de comparer deux articles de Ouest France, le 28 janvier et le 3 février, l’un qui annonçait la vaccination du doyen de Bretagne Camille Le Houx, l’autre pour annoncer sa mort. Cela n’indique pas que le vaccin l’a tué, ça indique que ça n’a certainement pas rallongé sa vie. Le vaccin ne fait pas de miracle, il n’empêche pas de mourir ni de contracter et transmettre le virus. Les media oublient trop souvent de le préciser.

    • Si tout le onde pouvait cesser de parler de cette appellation frauduleuse de “vaccin” pour parler de la véritable appellation : “”””””” THÉRAPIE GÉNIQUE “””””””

      • Si tout le monde pouvait cesser de parler de cette appellation frauduleuse de « vaccin » pour parler de la véritable appellation : « » » » » » » THÉRAPIE GÉNIQUE « » » » » » »

  2. et non cen’est pas un hasard, décimer la population est le propre de bill gates, ce que le virus n’a pas réussi la vaccination le fera mais quand les gens deviendront intelligents et comprendront qu’ils sont des cobayes. Quand est-ce qu’on comprendra qu’ils veulent installer le mondialisme et comme le marxisme tous les moyens sont bons, la fin justifie les moyens. Tout est lié et en plus les multinationales qui ont le pouvoir et qui sont plus forte que les états bigpharma entre autres se remplissent les poches. IL y en a ils ont raison de croire au père noël, ils sont les idiots utiles de ce coronacircus

  3. Et puis peu à peu les gens vont mourir, et on ne saura pas pourquoi…

  4. et ce sont ceux qui refusent le vaccin qui font du ‘négationnisme suicidaire’ comme dit notre bon pape François ?
    En allant au bout de sa logique, je devrais aller en enfer puisque je refuserai de me faire vacciner et que le suicide est un péché mortel. CQFD.
    Je crois que le démon n’est pas venu mettre la division dans l’Église, mais carrément dans l’esprit du Saint-Père.
    Prions pour lui !

    + Non praevalebunt +

  5. Ne tournons pas autour du pot. Le vaccin à ARNm messager est dangereux (j’y reviens plus bas). Mais pourquoi vacciner les vieux quand on sait que les personnes de plus de 75 ans réagissent peu ou pas aux vaccins en général ?
    Écoutez les médecins et les biologistes qui ne sont pas stipendiés parler des « vaccins » à ARNm messager mono-antigénique, donc hyper sélectif. Pas les experts auto-proclamés.
    Du fait de sa conception cet abusivement nommé « vaccin » à ARNm va au mieux protéger contre UNE souche virale, alors que l’on sait que le virus SARS CoV-2 est, comme celui de la grippe, extrêmement susceptible de muter. En particulier au niveau de la protéine « spike », clé d’entrée dans la cellule et cible exclusive de ce vaccin.

    Dangereux pour la population et dangereux pour l’individu.
    Dangereux pour la population, car favorisant l’émergence de mutants résistants réalisées par un vaccin strictement mono-antigénique ARN et donc permettant l’extension de l’épidémie.
    Dangereux pour l’individu par le renforcement dépendant des anticorps (EAD) qui est un mécanisme par lequel la pathogenèse de certaines infections virales est augmentée en présence d’anticorps antiviraux non neutralisants sous-neutralisants ou à réactivité croisée. Cet « EAD » peut dans certains cas faciliter le développement d’un syndrome clinique plus grave. Ce n’est pas par hasard que l’on dénombre dans le monde des cas de « réinfection » de personnes vaccinées.

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