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France : Société / Médias : Désinformation

Contre le conditionnement médiatique

Son livre est sorti le 15 janvier et connait un très grand succès. Il n’a pourtant été invité qu’une seule fois à la télévision mais sur TV Liberté. Il a subi des dizaines de refus et d’annulations… On se demande bien pourquoi.
Voici enfin une apparition sur un grand média le 11 février avec cette invitation sur BFM de Laurent Obertone auteur de “La France Big Brother” dans le quel il dénonce le conditionnement médiatique dont les Français sont victimes :

On notera au passage la mauvaise foi de Ruth Elkrief et sa volonté, selon le même procédé utilisé par tous les journalistes avec Eric Zemmour à propos de son livre “Le sucide français”, de vouloir absolument lier Laurent Obertone au FN… Ce manque d’originalité montre bien le conditionnement et le manque d’indépendance des journalistes dits “libres et indépendants”.

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4 commentaires

  1. J’aime bien ce gars. Il dit les choses de façon ponctuelle et posée, ce qui a tendance à décontenancer les journaleux nazis.
    Il avait remis à sa place de la même façon l’immonde Caron.

  2. Le problème n’est-il pas plus général? Le problème n’est-il pas un manque de culture partout, à tous les niveaux, une habitude de raisonnement binaire et bête? Est-ce qu’on n’en voit pas tous les jours, des gens qui s’indignent dès qu’on sort un peu des clous, de la pensée unique? Personnellement, ça me frappe beaucoup. Dans quelque domaine que ce soit. Essayez de faire réfléchir les gens ou de les surprendre, bien peu arriveront à vous suivre. La plupart, soit s’avouent trop paresseux intellectuellement pour pousser un raisonnement plus avant, soit s’indignent dès que vous prononcez des mots-clés pourtant riches, intéressants, pouvant prêter à controverse, comme “pension”, “école hors contrat”, “messe en latin” ou “l’école est faite pour apprendre pas pour se “socialiser””.
    Tout cela chez des gens de très bonne volonté, mais dont l’intelligence n’a pas été formée, ou a été déformée par les media, peut-être.
    Les journalistes ne sont-ils pas le reflet de cette bêtise générale?
    Du coup les catholiques devraient se sentir le devoir impérieux de former les élites de demain, qui sauront débattre de manière positive, écouter puis répondre, entendre, comprendre, mais persuader aussi avec douceur… Mais ce n’est pas pour demain: pour l’instant, les priorités de l’enseignement sous contrat semblent être “le vivre ensemble” et “l’accueil de tous”, alors que celles des profs et des parents sont “l’instruction” et “l’élévation de l’esprit et de l’âme”: petit problème, non?
    Ah qu’il est doux d’être dans une gentille petite administration douillette et de prendre des décisions qui vont influer sur la vie de gens qu’on ne connaît ni d’Eve ni d’Adam… Je me demande si de ce point de vue les directions diocésaines ne sont pas pires que les rectorats, vu que, en tant que chrétiennes, elles devraient avoir le plus grand souci de la culture chrétienne, de l’évangélisation, du bien-être des professeurs et de l’élévation intellectuelle des élèves.

  3. @PhilippeCarhon
    Personnellement je n’ai pas trouvé Ruth Elkrief de mauvaise fois au sens de “malhonnête”. Elle disait simplement “si vous dites cela vous faites le jeu de tel parti” ce à quoi Laurent Obertone répondait très justement que ce n’est pas son pb, qu’il est là pour dire les faits.
    Finalement la réaction de cette journaliste est un aveu d’auto-censure comme vous l’avez dit vous même : “(…) montre bien le conditionnement et le manque d’indépendance des journalistes”. C’est ce qu’on appelle le politiquement correct. En nous dévoilant ces peurs, ces paroles interdites, elle est au contraire de “bonne foi”…. ;-)

  4. J’ai suivi sur BFM TV la manif du 11 janvier. Les commentaires de Ruth Elkrief étaient tout simplement écœurants.
    Il lui est impossible de sortir du raisonnement binaire propre à la sous-culture journalistique et c’est bien pour ça qu’elle est à ce poste.
    Ecoutez la dans cette video: le politiquement correct “c’était avant, aujourd’hui tout la monde a la parole”.
    On pourrait presque y croire.

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