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Culture de mort : Euthanasie

Condamné pour avoir tué sa femme

C'est encore logique : quand on tue sa femme, on est condamné.

Mais pour certains c'est scandaleux : les juges ont osé le condamner parce qu'il a "aidé" sa femme à mourir. Selon son avocat, c'est aberrant.

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7 commentaires

  1. Avec la loi sur l’avortement la république a désacralisé la vie (don de Dieu).
    Ensuite comme disait un “humoriste” … “Quand les bornes sont dépassées il n’y a plus de limites !”

  2. La nouvelle jurisprudence souhaitée par lADMD (Association pour le droit de mourir dans la dignité) ouvre véritablement des perspectives insoupçonnées. Il faut rappeler qu’à une certaine époque, pas si lointaine, lorsqu’un mari tuait sa femme, il passait à l’échafaud. Or l’ADMD fournit la bonne excuse la recette pour s’en tirer. Supposons dans le meilleur des mondes de l’ADMD qu’un mari veuille se débarrasser de sa femme. Il lui suffira d’être suffisamment adroit. Il imposera quotidiennement, des humiliations des violences psychologiques à son épouse (injures du genre, putain, vache, salope). Il employera ensuite des violences physiques légères, comme des gifles, pour que ça ne se voie pas trop. Imaginons que la femme soit financièrement dépendante de son mari, ce qui l’empêchera de divorcer. Suite à ces mauvais traitements elle devient dépressive, manifeste des intentions suicidaires et le bon mari tout humaniste qu’il est l’assiste pour mettre fin à ses jours. L’ADMD le verra comme un héros des temps modernes. Si contrairement au retraité cité dans cette affaire il est encore suffisamment jeune, il pourra refaire sa vie avec une autre femme, et le cycle recommençera. Quels temps arriérés où ce genre de bonhomme passait à la guillotine!

  3. Selon l’article en lien:
    “le parquet avait requis une peine minimum de trois ans de prison avec sursis”
    et
    “Il a été condamné (…) à un an de prison avec sursis”
    Cela paraissait compréhensible et raisonnable:
    -condamnation parce que l’interdit d’attenter à la vie d’autrui doit être constamment rappelé,
    -sursis pour tenir compte de circonstance particulières.
    Que l’avocat considère que « C’est une décision aberrante » et qu’il engage son client à faire appel, alors que visiblement son client a bien compris le jugement (« Pour lui, ce n’est pas une vraie condamnation, cette peine de prison avec sursis ») est aberrant.
    Hélas, parmi les commentateurs du Point, trop peu de réactions sensées (“Ce jugement est logique normal et mesuré “).

  4. Jean Mercier n’en a plus pour longtemps, ça évitera les fâcheries.

  5. D’aprés l’article du Point ce monsieur souffrirait d’un cancer de la prostate et de Parkinson ,il a la chance qu’on le laisse vivre méme si il est atteint plus gravement que ne l’était son épouse certes dépressive mais qui souffrait seulement d’arthrose,il aurait été sans doute necessaire de l’orienter vers un centre anti douleur qui aurait pris en charge ses souffrances physiques et psychiques ….plutot que de l’accompagner dans la mort.QUELLE TRISTESSE quand une société vit sans respecter les commandements de Dieu

  6. Un geste d’amour(sic)
    Il fallait oser le dire ! Ils ne reculent décidément devant rien.
    Messieurs si vous avez envie de vous débarrasser de votre épouse vous savez quoi faire…

  7. Je suis mariée, je vais regarder mon mari avec un autre oeil quand il me dira qu’il m’aime…

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