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France : Société

Chronique de la violence ordinaire

Hier matin, un professeur de mathématiques âgé de 31 ans s’est fait agresser en plein cours par un élève de 4e au collège Jean-Perrin de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne). Alors qu’il assistait en tant que tuteur à un cours donné par un enseignant stagiaire, ce professeur aurait reçu trois gifles et un coup de genou donné par l'adolescent.

"Cet élève perturbateur mettait ses pieds sur la table et avait un comportement très agressif et provocateur. Trois adultes ont tenté de le calmer mais rien n’y a fait. Après une escalade verbale, il s’est levé et a frappé mon collègue".

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10 commentaires

  1. Et le tuteur, il s’est laissé faire ?
    En tant qu’enseignant, dont l’une des attributions est d’apprendre la civilité aux élèves, j’aurais collé deux beignes à ce petit merdaillon et l’aurais conduit -par une oreille- dans le bureau du CPE…
    Faut tout leur apprendre à ces jeunes profs…

  2. Etonnant que le sale gosse ait eu le temps de mettre 3 claques au professeur. Bon, il était aussi peut-être plus en forme que lui…

  3. Si le prof avait donné des claques, c’est lui qui aurait eu le maximum d’ennuis avec la justice et sa hiérarchie.
    Cf ce qu’a préféré subir un prof de sport expérimenté ceinture noire de sport de combat.

  4. Il y a quelques années, un prof de sport avait mis un coup de pied au derrière d’un petit provocateur, et la justice l’avait relaxé. Pas sûr que ce serait encore le cas…

  5. Un pur produit de notre république maçonnique avec son éducation dite nationale.

  6. Cet élève a un comportement asocial. Il faut agir. Soit le “redresser” un peu, soit le mettre à l’écart de ceux pour lesquels il constitue un danger.
    Cet enfant a besoin de réfléchir un peu. Il faut des personnes compétentes pour l’y aider. Une certaine pédagogie n’apporte aucun résultat avec les élèves comme lui. Il est grand temps de s’en apercevoir.
    L’autorité n’est pas un mal nécessaire. L’autorité, loyale et bien comprise est un bienfait. Au boulot.

  7. Maintenant, je ne sais que trop bien que l’insolence est pour certains ( mais peut-être pas pour tous) le paravent qui dissimule de profondes souffrances.
    Cela dit, si les blessures sont trop profondes, il n’y a que notre Seigneur qui peut les guérir. Ni les psychologues, ni la Laïcité n’y parviendront durablement.
    Après un certain point, c’est l’Amour qui seul peut brûler les épines des grandes douleurs. Le Sacré-Coeur de Jésus en donne une représentation saisissante.

  8. Un garçon de 4ème face à 2 professeurs (le stagiaire et son tuteur), et c’est lui qui gagne? Il faut l’inscrire à un sport de combat, ou revoir l’alimentation de ces deux jeunes profs…

  9. Le discours mollasson de 94 est éprouvant.
    Mais oui, les pauvres petits, ils souffrent. Plaignons-les. Pleurnichons sur le malheur des temps sans rien faire.

  10. Le 94 du 22 sep 2010 12:37:30,
    et le 94 du 22 sep 2010 13:57:48
    ne font qu’1
    .

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