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Environnement

Chapitre 3 : Y a-t-il un complot pour faire taire les opposants au Giec ?

Chapitre 3 : Y a-t-il un complot pour faire taire les opposants au Giec ?

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* LA SCIENCE A L’ENDROIT ! Conférence en ligne sur le climat. *
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Chapitre 1 : Le Giec pour les nuls

Chapitre 2 : Le réchauffement climatique anthropique fait consensus à 97%. Vraiment ?
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Chapitre 3 : Y a-t-il un complot pour faire taire les opposants au Giec ?

Comme abordé lors des chapitres 1 et 2, le monde de l’écologie climatique diffuse de très nombreuses fausses informations (parfois sans intention de nuire), et cependant nous faisons tous le constat que les discours rectificatifs sont interdits de diffusion. Essayez de vous souvenir la dernière fois que vous avez entendu une intervention médiatique remettant en cause les théories du Giec ? D’autre part, la science est un domaine où le débat contradictoire est un des piliers; or, là encore nous faisons le constat que ce débat est bloqué principalement en Europe (c’est moins vrai aux USA et en Russie).

Disons-le de suite, il n’y a pas de complot au sens étymologique du terme c’est-à-dire impliquant un secret tenu par quelques personnes. Mais, car il y a un mais, nous faisons bien face à une pression politique et médiatique sur un sujet qui est devenu très clivant, une dérive des connaissances en la matière, et un espace idéologique conquis par certains groupes de pensées minoritaires mais bien implantés. Le tout favorisé par une lâcheté politique et une ignorance adroitement entretenue des sujets à caractère scientifique. Et ce type de pression entraine chez la très grande majorité des spécialistes une peur de s’exprimer au risque de perdre son emploi (et d’impacter sa famille), et par effet direct une autocensure.

Le Giec (cf. chapitre 1) représente la face officielle et respectable (organisme international sous l’égide de l’ONU), de ce qui était encore hier qu’un amas de doux rêveurs à tendance « peace and love », assaisonné de chamanisme, bolchévisme et de malthusianisme. Pour Nietzsche « Dieu est mort », aussi la nature ayant horreur du vide, il a fallu à nombre de nos contemporains trouver une nouvelle religion. Religion qui a pour être suprême Gaïa (la Terre mère), pour dogme la sauvegarde du climat, et pour diables l’humanité. Cette religion dispose aussi de ses propres théologiens, experts en droit canonique climatique, parfois scientifiques, parfois politiques, souvent journalistes, dont le Giec est la nouvelle Jérusalem ! Bref, pas de complot, mais un changement de paradigme sociétal que l’on est prié d’accepter sans opposition, et où les tribunaux médiatiques éliminent, socialement parlant, tout dissident…

Et si jamais l’idée venait de vous interroger, sachez que vous serez cloué au pilori, montré comme climato-sceptique, ennemi de la Terre, fasciste, négationniste, etc. On vous lancera à la figure le célèbre « 97% de consensus » autour des thèses du réchauffement d’origine anthropique, alors même que, comme démontré dans le chapitre 2, il n’y a aucun consensus en la matière, et même pire, les publications avalisant les théories portées par le Giec pèsent pour moins de 10%.

Cependant, les choses ne sont pas aussi simples qu’il n’y parait. Le monde n’est ni noir ni blanc, et c’est dans le gris qu’il faut chercher pour comprendre.

Regardons un fait avéré : les émissions de CO2 n’ont pas diminué depuis le premier rapport du Giec et les engagements des COP (Conference Of Parties, réunions d’Etats pour discuter du climat). Elles ont même augmenté (1). Pourquoi ? Car en réalité les gouvernements et l’Etat profond, constitués de hauts fonctionnaires, ne considèrent pas le problème climatique comme urgent et encore moins comme réel. Ils se font suffisamment critiquer pour cela par les partis écologistes, ou encore par Mlle Thunberg qui, du haut de ses 16 ans et sa méconnaissance totale des sujets à caractères scientifiques, se voit ouvrir la tribune de l’ONU où elle réprimande les dirigeants pour leur inaction.

Pourtant, nous avons vu en 2020 et 2021 (Covid) que les gouvernements de très nombreux pays étaient capables de stopper l’activité économique, de fermer les frontières et d’interdire aux populations de se mouvoir en toute liberté, avec pour conséquence directe la chute de production des GES (Gaz à Effet de Serre). Sur la période, la production de CO2 a diminué d’environ 7% (2) au niveau mondial. Mais cette diminution n’étant pas de 100%, nous avons continué à en produire tout de même, ce qui fait que la quantité globale elle, a augmenté. On notera au passage qu’un arrêt drastique et brutal d’une partie des activités humaines, réduit les rejets de CO2 que de façon marginale (même pas 10%).

Cependant, cet arrêt ponctuel de l’économie mondiale prouve que les gouvernements savent le faire. Que c’est tout à fait possible… Dès lors, posez-vous la question de savoir pourquoi de telles mesures n’ont pas été mises en œuvre dans le cadre de l’accord de Kyoto ou de Paris sur la diminution des GES, si véritablement un danger de mort nous guettait !
N’y a-t-il pas là comme quelque chose d’illogique, du moins en apparence ? Nous avons d’un côté un discours alarmiste, qui nous promet la fin du monde à court terme, puisque l’on nous parle de montée des eaux, de migration massive, de guerre, de température mortelle, de la fin d’une partie de l’humanité. Et de l’autre, des mesures dont les résultats sont nuls en 50 ans, puisque le fameux taux de CO2 continue d’augmenter, et que le Giec continu de nous prédire la fin du monde, ou du moins la fin d’un monde. Il y a là clairement une incohérence.

En fait, il y a là, non pas une incohérence comme cela peut nous apparaitre, mais simplement une retenue des gouvernements qui si de façade manifestent leur intérêt pour la transition écologique (à des fins électoralistes et financières), en réalité disposent d’informations justifiants la phrase du Pr Gervais, à savoir que « l’urgence climatique est un leurre ». Non seulement une précipitation en la matière créerait une explosion sociétale (chômage, pénurie, guerres), voire une Révolution, mais de plus les politiques intimement convaincus d’une urgence quelconque sont minoritaires en « off ».

Les tractations en coulisse ne sont pas en résonance avec les discours officiels…

Ce qui se passe c’est que le mouvement écologiste dans sa globalité, renforcé et dirigé après la chute du mur de Berlin en 1989 par l’ex-parti communiste, a pris une importance extrême à la toute fin du XXe siècle. Ce n’est pas pour rien que les écologistes ont été surnommés les « Pastèques » : verts à l’extérieur et rouge à l’intérieur ! Le système communiste a toujours été maître dans l’art de la propagande et la manipulation des foules, dès lors en quelques décennies, pour lutter contre le capitalisme en convergence avec les écologistes qui eux lutte contre l’humanité (qui est responsable de la destruction de la « Terre mère »), s’est imposé auprès de l’opinion publique cette notion d’urgence climatique. A partir des années 2000, il y a donc eu une très forte pression publique et médiatique auprès des politiques pour adhérer aux thèses du danger climatique, quelle qu’en soit la réalité.

Enfin, le tout s’est vu finalement soutenu par le capitalisme pour des raisons économiques, les « nouvelles énergies » et le « bilan-carbone » étant de formidables relais de croissance. En effet, nos sociétés modernes arrivent à un niveau de faible renouvellement des biens (voitures, électroménagers, TV, équipements divers, etc.). Or la culpabilisation pour amener les consommateurs que nous sommes à changer une voiture pas encore obsolète, par un modèle soi-disant moins polluant, plus vertueux, est un levier très puissant pour vendre. Sachant que les entreprises obtiennent même des lois pour forcer la vente de leur bien (contrôle technique, malus écologique, prime équipement, etc.). Le système capitalisme se traduit à travers l’Histoire par son incroyable capacité à s’adapter : La lutte contre le réchauffement climatique est devenue à la mode, et menace de détruire notre économie ! Très bien, nous allons épouser sa cause et utiliser la peur à des fins mercantiles. Et cela fonctionne très bien, trop bien…

A ce moment, dans le courant des années 2010, les politiques se sont trouvés piégés, et ne pouvaient plus aller à l’encontre du sentiment populaire vis-à-vis du réchauffement climatique, qui a été instrumentalisé, sans mettre leur carrière en danger. Si la nation doit souffrir de la situation (et nous le voyons aujourd’hui avec les difficultés énergétiques résultantes non pas de la guerre en Ukraine, mais bien des folles décisions politiques écologiques menées depuis 30 ans), peu importe…

La grande majorité des médias du monde, dont les forces vives sont dans un logiciel idéologique dit de gauche, a adhéré aux thèses réchauffistes et alarmistes, relayant plus que de raison toutes les informations allant dans ce sens, et surtout, en mettant à mort, médiatiquement parlant, toutes voix dissonantes en la matière. Comme évoqué en introduction, cela passe par le fait de classer comme « climato-sceptique » les opposants, laissant alors penser qu’ils sont des négationnistes, de les isoler, de refuser de leur donner la parole (vous verrez que très rarement à la télévision des opposants aux thèses du Giec), de les marginaliser (le fameux « complotiste »), de laisser penser qu’ils sont corrompus (certains articles d’indiquer qu’ils sont payés par les lobbys pétroliers), de bloquer leurs réseaux sociaux (compte Twitter et Facebook fermé sans autre forme de procès), et aussi de les livrer à la vindicte populaire pour obliger les politiques à émettre des sanctions. C’est un système bien rodé.

Laissez-moi vous donner un exemple concret : vous ne pouvez ignorer le nom de Greta Thunberg. Cette jeune fille a fait la Une de tous les médias du monde durant des mois en 2018 et 2019. Toujours présentée comme un « prophète du climat » et surtout, quelqu’un qui ne fait que relayer des vérités scientifiques, alors même qu’elle a un niveau de connaissance équivalent à celui du collège et que dès lors, elle ne peut savoir et comprendre de quoi elle parle. Mlle Thunberg se positionne exclusivement sur le plan des émotions.

Mais, connaissez-vous Naomi Seibt ?

Non ! C’est voulu… Les médias mainstream mettant en avant de la scène qui ils veulent en fonction des intérêts visés.

Naomi Seibt est une jeune fille de 20 ans, Allemande, qui s’est fait connaître à travers les réseaux sociaux pour ses positions contre les thèses du Giec. Son credo est : I don’t want you to panic. I want you to think (je ne veux pas que vous paniquiez, je veux que vous réfléchissiez). Elle est appelée par une partie de la presse l’« anti-Greta (3)». Et, il s’avère que Mlle Seibt, contrairement à Mlle Thunberg, est ce que l’on pourrait appeler un « petit génie ». Elle a obtenu (4) la première place au concours national de physique d’Allemagne, Jugend forscht, équivalent de notre concours général ouvert aux plus brillants élèves de terminal, et a terminé seconde au concours général de mathématique de son pays. Dit autrement, cette jeune Allemande s’avère donc être la première personne de toute l’Allemagne la plus brillante dans le domaine de la physique et la seconde dans le domaine des mathématiques de sa génération… Excusez du peu !

En un mot comme en cent, elle fait partie des 10% de la population européenne en mesure de lire et comprendre les rapports du Giec, contrairement à Mlle Thunberg qui selon certaines sources n’a jamais lu un seul rapport.

Forte de ses connaissances, Mlle Seibt a souhaité parler… Elle est devenue en quelques mois une influenceuse suivie par des centaines de milliers de personnes. Mais, la réaction médiatico-politique ne sait pas fait attendre. Rapidement des articles l’ont associé avec l’extrême droite (qu’elle n’a jamais fréquenté, ni ses parents), son compte Twitter a été fermé, elle a été marquée comme « complotiste » par divers médias de son pays qui ne l’avaient jamais rencontré. Surtout elle a été menacée en 2020 d’amende et de prison (5), pour déni ! Oui, vous avez bien lu, pour avoir exprimé son opinion, cette jeune fille a été menacée d’une peine de prison par la justice allemande. Un moyen de l’intimider et de la faire taire. Curieusement (ou pas !) les ONG des droits de l’Homme et féministe, n’ont pas pris sa défense ! Et comme il se doit, Mlle Naomi Seibt n’a pas été invitée à la tribune de l’ONU ou du Sénat français …

D’un côté Mlle Thnuberg totalement incompétente sur le sujet devient la groupie de tous les médias officiels et se voit élevée au rang de diplomate de la Terre par nombre de gouvernements. De l’autre, une jeune femme brillante, un esprit éminemment scientifique, sommé de se taire et menacé de prison. La différence entre les deux ? Vous le savez…

Ce système consistant à dénigrer (qualifier de fasciste) et d’intimider (menacer de sanction pénale, voire de mort sur les réseaux sociaux), est également appliquée à d’éminents scientifiques qui tentent de faire entendre un autre discours. Et malheur à la chaîne de télévision, ou au titre de presse, qui aurait l’idée de leur donner la parole. Ainsi, environ 95% de ce que vous pouvez lire, entendre ou voir, reprend un seul et même discours, laissant à penser qu’il est juste. S’il était si juste que ça, si les hypothèses avancées par les climato-alarmistes étaient si solides que ça, alors nous sommes en droit de nous demander pourquoi le débat contradictoire est systématiquement refusé et pourquoi il faut menacer de peine de prison ou de contrôle fiscal les opposants à ces fameuses thèses ?

En conclusion, point de complot organisé, mais un système similaire à ce que notre Histoire à déjà connu par le passé, avec les Révolutionnaires, les Bolchevicks, les adeptes du National-socialisme, ou encore les Islamistes. Un système qui engendre une autocensure par peur, est un totalitarisme, ici « soft » comme le disent les Américains pour caractériser une doctrine qui s’impose par la mort sociale et pas par la mort physique, efficace. Il est habituel de décrire les écologistes comme des « Khmers-verts », évoquant ces hommes qui étaient passés maîtres dans l’art de faire taire leurs opposants.

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(1) Le site Futura Science de titrer en décembre 2018 : « Pourquoi les émissions de CO2 continuent d’augmenter malgré le boom des renouvelables ? », ou encore le Figaro qui titre le 19 avril 2019 : « Climat : les émissions mondiales de CO2 ont augmenté de 55% en vingt ans ».
(2) Le quotidien Le Monde de titrer : « Avec la crise du Covid-19, baisse record de 7 % des émissions de dioxyde de carbone en 2020 », article publié le 11 décembre 2020.
(3) https://www.lci.fr/planete/l-anti-greta-thunberg-qui-est-derriere-l-ascension-eclair-de-naomi-seibt-la-nouvelle-egerie-des-climatosceptiques-2147113.html ou https://www.france24.com/fr/20200226-rechauffement-climatique-l-allemande-naomi-seibt-l-anti-greta-thunberg ou https://www.cnews.fr/monde/2020-02-24/qui-est-naomi-seibt-la-greta-thunberg-des-climatosceptiques-930056
(4) https://fr.wikipedia.org/wiki/Naomi_Seibt
(5) https://clintel.org/german-officials-threaten-naomi-seibt-with-prison-for-denialism/

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14 commentaires

  1. Théologiens, experts en droit canonique, nouvelle Jérusalem… Que de termes à consonance théologique. Établir un parallèle entre cette théorie imposée par les nouveaux marchands et les institutions mondialistes et la doctrine de notre religion est purement abusif et mensonger et atteste d’une ignorance totale de la manière dont a été reconnu et établi le dogme chrétien.
    Penchez-vous sur tous les débats qui ont introduit le concile de Nicée contre l’arianisme qui comptait plus de 250 participants et vous comprendrez à quel point la discussion entre théologiens était ouverte et publique. Rien d’un dogme imposé par le haut et tout d’un terrible affrontement intellectuel qui manque cruellement au débat inexistant sur le réchauffement climatique.

  2. La crise énergétique-écologique, doublée de la crise sanitaire (auquel il faut rajouter la très grave crise financière en cours) sont des évènements conjoncturels opportun afin de :

    1 mettre en œuvre le Grand Reset du Forum Economique Mondial. = remise à 0 de votre argent, de vos biens, de vos droits, de votre citoyenneté (qui devient de plus en plus une coquille vide devant la situation institutionnelle que nous vivons). Les lecteurs ont-ils compris qu’en moins de 2 ans, nous sommes passé d’une liberté inconditionnelle, à une liberté et des droits conditionnés (le soir du 12 juillet 2021) doublées d’une rupture fondamentale d’égalité entre les citoyens ?
    Vous pouvez rajouter une volonté de remise à 0 en ce qui concerne la nature du régime politique, la volonté d’effacement des conséquences de l’Incarnation du Christ et du Christianisme dans la vie des hommes…

    2 Cette mise en œuvre nécessite la mise en place depuis plusieurs décennies d’organisations, de structures, d’outils, de financements, de corruptions et de coups de butoir pour :
    a : l’instauration progressive et la facilitation, contraints ou masqués, d’outils de traçabilité (financières, de déplacements, de santé, de consommation), de surveillance, la détermination de vos profils grâce à l’accumulation de vos données numériques (internet, votre système d’exploitation, les tablettes, les smartphones avec leurs applications de plus en plus intrusives, etc.) avec des droits d’autorisations et d’utilisations conditionnées (pour des motifs divers) en violation des libertés inconditionnelles (du point précédent). L’ensemble permettant un blocage d’accès et d’utilisation à vos ressources personnelles nécessaires pour vivre en cas de contestation ou d’infraction. Le concepteur et théoricien du Crédit Social Chinois a été très clair : avec ce système (en cours de déploiement en France), des évènements en France comme les gilets jaunes auraient été impossible…
    b : la marginalisation et le rejet d’accès à nombre de poste de certaines responsabilités pour tous ceux qui ne font pas acte d’allégeance à l’idéologie et au projet politique actuel ainsi qu’à ses visées à venir. L’exploitation systématique et savamment entretenue des divisions internes et l’infiltration des organisations ou structures d’oppositions potentielles ou réelles (d’une stupidité effroyable devant les dangers encourus actuellement) y compris à l’intérieur des certaines filières de l’Eglise…
    c : la rupture de l’indépendance et de l’autonomie personnelle ou étatique au profit d’une mondialisation des échanges et d’une unification mondiale politique et économique dont seuls quelques uns (à l’abri de tout contrôle démocratique) auront les clés de contrôles…
    d : le contrôle et la domestication des populations y compris leur avenir par une application de politiques eugénistes et malthusiennes. Ne trouvez-vous pas étrange que dans plusieurs des pays parmi les plus vaccinés, le taux de fécondité depuis un an a déjà baissé de 10% à 27% (les chiffres sont en train de tomber) ? Il ne serait pas inapproprié de le mettre en corrélation au moins partielle avec les graves effets secondaires enregistrés depuis le début de cette crise sanitaire / politique / économique ?

    3 : Cette analyse est loin d’être exhaustive. J’invite vos lecteurs et les hommes de bonnes volontés de continuer leurs réflexions afin de créer progressivement des filières parallèles permettant de respirer un peu avant la mise sous clé de manière coercitive de l’ensemble de ce que nous connaissons. Savez-vous que depuis le 1er juillet 2022 en Europe, tout véhicule neuf est doté d’un système de contrôle de vitesse (pour l’instant débrayable) qui analyse grâce au GPS inclus l’adéquation de votre vitesse en cours avec celle autorisée avec une commande d’action de bridage de l’accélération ?

    Je vous laisse le soin d’anticiper la suite…..

  3. 100% de l effet dit de serre (réfraction des longueurs d onde du soleil) sont obtenus avec une présence de CO2 20 fois inférieure à sa quantité actuelle dans l atmosphere. Soit une quantité naturelle.
    Autant dire que s acharner sur le CO2 est 100% invalide, il suffit de poser l equation pour s en rendre compte.
    CQFD.

    Il existe une infinité d autres raisons aux variations du climat, et on ferait mieux de commencer par l impact local de l Homme (reboisement des déserts, pire pollution=minage des métaux pour les batteries et autres objets “verts”…) avant de se croire plus importants que ce que nous sommes.

    • Nous aborderons le “cas” du CO2 dans un prochain chapitre (N° 5), démontrant sont très faible rôle dans l’effet de serre….

      • Merci, vu et lu.
        Pour la petite histoire, j etais il y a 10 ans en coloc avec un anglais travaillant à Bonn pour une ONG auprès de l ONU. Il avait une formation littéraire, aucune compréhension des équations. Il m expliquait qu il produisait une synthèse de rapports scientifiques sur le climat, et que ses supérieurs dans l ong avaient pour objectif d augmenter leur budget. Donc dans la masse d information dont il disposait, il piochait les informations les plus alarmistes. Entre deux bières, je me scandalisés du peu de moralité de son approche et lui expliquais que j avais bossé en école d inge (stage de de fin d etude, trading algorithmique automatisé) sur des modèles informatiques de simulation climatique, et m etais rendu compte de la vaste fumisterie quand j avais réussi à obtenir des conditions aux limites aberrantes (Terre plus chaude que le soleil en laissant tourner environ mille ans). Ca lui passait au dessus.
        Je ne sais pas si c etait le rapport du GIEC en particulier ou l une des pléiades de bêtises produites pour ces instances incompétentes (quelques autres anecdotes personnelles sur le sujet).

  4. Les conseillers du Pape François sont pour la plupart des propagandistes réchauffistes dans l’orbite du GIEC, et en particulier les plus connus d’entre eux, MM Jeffrey Sachs et Hans Schellnhuber (consulter à ce sujet leur fiche wikipédia respective). Lors de la première réunion sur les questions écoloclimatiques organisée par le Pape François au Vatican bien avant la publication de son encyclique Laudato Si, un brillant mathématicien français, le Pr Philippe de Larminat avait été aussi convié. Quand les deux premiers eurent vent de sa présence prochaine à Rome, ils ont menacé de boycotter la réunion si l’invitation de ce climatosceptique notoire n’était pas promptement annulée. Ce qui fut fait de manière cavalière, sans un mot d’explication.
    Un exemple de plus de la “largesse d’esprit” de notre souverain pontife…

    • Effectivement c’est bien là un vrai problème. La question de savoir si c’est par réelle conviction, ou bien, par peur du jugement médiatique…. L’un n’est pas forcément mieux que l’autre en ce qui concerne le successeur de St Pierre, et à n’en pas douter, ses positions gauchistes ont pour effet d’amorcer un schisme.

  5. Les écologistes sont ils les instigateurs de cette propagande ou bien les idiots utiles d’un crypto gouvernement mondial ? Est-ce réellement le CO² qui est dans le collimateur ou bien la consommation globale des ressources, à l’évidence insuffisantes pour que le monde entier atteigne le niveau de vie des Européens ? Ces questions méritent d’être éclaircies. Quand au dérèglement climatique, il est avéré. Le péché des hommes rompt l’harmonie du cosmos, affectant aussi le climat. L’impact de la déforestation est évident. Celui de la géo-ingénierie est probable mais ces activités restant très discrètes il est difficile de l’estimer.

    • Cher Monsieur,

      nous aborderons la mesure de la variation climatique dans le prochain chapitre (semaine prochaine), qui n’est pas en soi un dérèglement. Cette aversion supposant que le climat est réglé, ce qu’il n’est pas…. Concernant la déforestation, apprenez que la surface mondiale de forêt est en augmentation, et supérieure au XVIIe siècle. Rien que pour l’Europe la forêt croît de 800 000 hectares par an (https://www.planetoscope.com/forets/1218-.html), méfiez vous donc des fausses informations qui visent qu’à vous affoler !

  6. Naomi Seibt est une jeune fille de 20 ans, Allemande, qui s’est fait connaître en supportant l’abruti de TRUMP…Franchement pas une référence !!

    • Pourquoi ?

    • @Geoclo,

      vous évoquez parfaitement ce que je dénonce dans l’article !

      Soutenir Trump n’a rien de négatif, son mandat a apporté plus de bien que de mal à son pays, et son successeur actuel est dans les sondages à un niveau inférieur… Concernant plus précisément le “climat”, Trump a su prendre du recul, et ne s’est pas couché devant les mouvements wokistes climato-alarmises…

  7. les “experts” du giec sont en grande majorité des fonctionnaires ; quand on le sait on comprend pas mal de choses

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