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C'est arrivé un...

C’est arrivé un 1er janvier…

C’est arrivé un 1er janvier…

“A qui veut régénérer une Société en décadence, on prescrit avec raison, de la ramener à ses origines.” Léon XIII, Rerum Novarum

Rappelons-nous :

  • le 01 janvier : fête et Solennité de MARIE, Mère de Dieu.

1. Origine de la fête de Marie, mère de Dieu

C’est Pie XI en 1932 qui institue d’abord la fête de Marie mère de Dieu, le 11 octobre. Puis, la solennité de Marie mère de Dieu, le 1er janvier, remplace la cérémonie de la circoncision de Jésus. La solennité de Marie mère de Dieu est introduite par la réforme liturgique suite au concile Vatican II. Sa date, depuis la réforme liturgique, est donc le premier janvier, huit jours après Noël. La date de la fête de Marie mère de Dieu a été déplacée pour la mettre en relation avec la naissance de Jésus à Noël. La nouvelle date de la célébration de la fête de Marie mère de Dieu, le 1er janvier, jour de l’an, met aussi en valeur la célébration de la Solennité.

2. Sens de la fête de Marie mère de Dieu et célébration de la solennité

Depuis le concile d’Ephèse en 431, l’Eglise vénère la vierge Marie sous le titre de mère de Dieu, Sancta Maria Dei Genitrix, en grec Théotokos. Cette solennité célèbre le mystère de l’Incarnation. C’est donc par la célébration de la solennité de Marie mère de Dieu que l’on commence la nouvelle année, le jour de l’octave de la Nativité qui est le 1er janvier. L’évangile de la messe est la venue des bergers à la crèche. Le pape Benoît XVI a fait au Vatican une célébration de la solennité de Marie mère de Dieu Reine de la paix.

  • le 01janvier 1450 : reconquête de Harfleur par Charles VII tenue par les Anglais.

Le Roi de France Charles VII, suite à un siège, reprend la ville d’Harfleur, détenue depuis 1415 par les Anglais. Cette libération fait partie des victoires successives du Roi sur les Anglais dans la reconquête de la Bretagne, de la Normandie et de tout le territoire national ; ce qui met progressivement fin à la guerre de Cent Ans entre la France et l’Angleterre.

  • le 01 janvier 1452 : création de l’hospice de Beaune.

Le tout nouvel hôpital des Hospices de Beaune, l’Hôtel-Dieu, créé à l’initiative de Nicolas Rolin, chancelier du duc de Bourgogne, Philippe II le Bon, et de son épouse Guigone de Salins, accueille son premier patient.

  • le 01 janvier 1515 : mort de Louis XII.

Alité depuis le début du mois de décembre, le Roi de France, Louis XII, meurt peu avant minuit à l’âge de 53 ans. Il est inhumé à Saint-Denis aux côtés de son épouse Anne de Bretagne. Mort sans héritier mâle, la loi Salique désigne son arrière-cousin qui est aussi son gendre, François de Valois comte d’Angoulême, issu de la branche des Valois-Angoulême qui devient François 1er.

En le 27 mai 1498, il est sacré Roi, succédant à Charles VIII, mort accidentellement sans enfant lui survivant. Louis XII administre avec intelligence son domaine. Il utilise les recettes des impôts pour le bien du pays en entretenant, entre autre, le réseau routier. Très populaire, il est appelé le Père du Peuple“.

La Mort de Louis XII surnommé le Père du peuple de Merry-Joseph BLONDEL (Musée des Augustins de Toulouse)

Voir les chroniques du 8 janvier, du 29 avril, du 27 mai, du 27 juin et du 18 novembre.

  • le 01 janvier 1560 : la mort du poète Joachim du Bellay.

Né en 1522 en Anjou, Joachim du Bellay meurt le 1er janvier 1560 à Paris. Il fonde la Pléiade avec son ami Ronsard. Il s’agit d’un groupe de sept poètes français. Son ouvrage le plus connu reste Les Regrets, un recueil de 191 sonnets composés au cours de l’un de ses voyages à Rome. Son vers le plus célèbre fait d’ailleurs référence à un antique voyageur. Il commence par : Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage… Travailleur infatigable, Joachim du Bellay succombe à une apoplexie, à sa table de travail, à l’âge de 37 ans.

  • le 1er janvier 1562 : Ambroise Paré est nommé premier chirurgien du Roi à la place de Lavernot décédé.
  • le 01 janvier 1564 : Charles IX, décrète à Roussillon-Château en Dauphiné, par un édit royal, l’Edit de Roussillon, que l’année commencera désormais le 1er janvier.
  • le 01 janvier 1622 : Rome décrète que l’année commencera désormais le 1er janvier au lieu du 25 mars.

Chez les peuples usant d’un calendrier solaire, le début de l’année a toujours été fixé par pure convention. Au fil des siècles, l’année n’a pas commencé partout au 1er janvier, et son début a varié au gré des époques et des pays. Même avec le calendrier grégorien, dans lequel le premier jour de l’an a été aussi le 1er mars. Ce n’est qu’en 1622, que le 1er janvier est décrété par le Saint-Siège comme début de l’année partout dans le monde catholique. L’empereur Charles Quint et le Roi de France Charles IX avaient déjà mis en œuvre cette mesure dans leurs royaumes respectifs au cours du siècle précédent.

  • le 01 janvier 1677 : première représentation de Phèdre.
  • le 01 janvier 1743 : Pierre Gaultier de Varennes atteint les montagnes rocheuses.

L’explorateur français Pierre Gaultier de Varennes ainsi que ses fils Louis-Joseph et François remontent la partie haute du Missouri jusqu’à un de ses affluents, la rivière du Yellowstone. Lâchés par leurs guides aborigènes, ils s’arrêtent devant les montagnes Rocheuses, dans la partie occidentale du Wyoming. Leur exploration leur permet tout de même de revendiquer l’ouest américain au nom de la France. Un canton de vallée de la Matapédia porte le nom de la famille d’explorateurs.

  • le 01 janvier 1771 : naissance de Georges Cadoudal, chef militaire breton.

Grande figure de la contre-révolution, il sera commandant de l’Armée catholique et royale de Bretagne. Charismatique, il est très apprécié du peuple. Georges Cadoudal nait le 1er janvier 1771 à Kerléano, petit village près d’Auray. Fils de meunier, il étudie au collège Saint Yves de Vannes.

En 1793, peu après l’exécution du Roi Louis XVI à Paris, la levée en masse est décrétée par la Convention pour défendre les frontières de l’Est contre l’Europe. Dans l’ouest, en Bretagne, en Vendée, les nouvelles lois sur la conscription sont mal acceptées par la population. Cadoudal comme beaucoup d’autres, refuse de se soumettre.

Il rejoint alors la grande armée catholique et royale de Vendée, et s’y fait rapidement remarquer par sa force et son intelligence, promu chef d’escadron, il se bat jusqu’à la défaite de l’armée vendéenne à Savenay, le 23 décembre 1793 (voir la chronique du jour). Il échappe au désastre et se replie en Bretagne, dans la Morbihan, pour y organiser la résistance.

En 1795, Georges Cadoudal prend le commandement des chouans du Morbihan et refuse de se placer sous les ordres du Comte de Puisaye, ce dernier voulant réunir l’ensemble des chouans de la Bretagne sous son seul commandement. Au printemps 1795 Cadoudal rejette un cessez-le-feu conclu entre chefs royalistes et révolutionnaires à La Mabilais, et continue seul le combat.

En août, il est promu major-général et réunit sous son commandement l’armée chouanne et les troupes rescapées du désastreux débarquement de Quiberon. A la fin de l’année 1795, il reprend Sarzeau, puis Locminé en avril 1796, mais son armée est en infériorité numérique face à Hoche, La paix est signée le 16 juin 1796. Alors le chef chouan se consacre au relèvement du pays vannetais en désarmant les bandes armées incontrôlées.

Le 4 septembre 1797, le Directoire succède à la Convention Révolutionnaire (voir la chronique du jour sur ce coup d’Etat) ; Georges Cadoudal reprend le combat ; nommé commandant en chef de la Bretagne par le futur Louis XVIII, il est traqué par les bleus. Il reprend Sarzeau, mais alors qu’il s’apprête à rentrer dans Vannes, son action est stoppée par le coup d’état de Bonaparte, en novembre 1799.

Le Premier consul l’invite à Paris pour conclure une paix définitive ; Bonaparte désireux de voir Cadoudal se rallier à lui, lui promet grade, rente et distinctions, mais l’entrevue échoue et le chef chouan gagne l’Angleterre pour y poursuivre le combat. Il y est promu lieutenant général des armées du Roi. En août 1803, il revient en France pour organiser l’enlèvement de Bonaparte. Cadoudal qui avait refusé de s’associer aux conspirateurs est arrêté, et condamné à deux ans de prison. Le chef chouan ne renonce pas ; à nouveau arrêté le 25 mars 1804, il est cette fois condamné à mort le 10 juin. Voici le récit de sa mort :

Le 9 mars 1804, vers sept heures du soir, trahi par son logeur, il est repéré par un prévôt place du Panthéon et pris en chasse par une escouade de policiers. Une course poursuite effrénée commence dans les rues de Paris. L’inspecteur Buffet s’effondre, le fugitif blesse grièvement un deuxième homme. Il saute du cabriolet bien décidé à s’échapper. Cerné au carrefour l’Odéon, il est finalement maîtrisé.

Le jeune Breton, vigoureux, à la corpulence énorme et au regard clair, répond à ses juges d’une voix limpide et assurée :

« – Que veniez-vous faire à Paris ?- Attaquer le premier Consul

– Où avez-vous logé ?- Je ne veux pas le dire.

– Pourquoi ?- Parce que je ne veux pas augmenter le nombre des victimes.

– Quel était votre projet et celui de vos conjurés ?- De mettre un Bourbon à la place de Bonaparte.

– Quel était ce Bourbon ?- Louis XVIII.

– N’était-ce pas avec un poignard que vous vous proposiez d’assassiner le premier Consul ?

– Je ne suis pas un assassin. Je devais l’attaquer avec des armes pareilles à celles de sa garde ». (Extrait du premier interrogatoire de Georges Cadoudal, le 18 ventôse de l’an 12 – 9 mars 1804, reporté par Adolphe Thiers dans Histoire du Consulat et de l’Empire, T3, 1845).

Au juge qui lui reproche d’avoir tué un père de famille, il répond  avec un aplomb désarmant :

« La prochaine fois faites-moi arrêter par des célibataires ! ».

Cadoudal est-il responsable de la « conspiration de la machinerie infernale » du 24 décembre 1800, premier attentat à la voiture piégée de l’histoire ? Le chouan reconnaît avoir eu vent du projet, mais ignorer les moyens terroristes mis en œuvre par son lieutenant, Saint-Régeant. Aucune charge concernant cet attentat manqué contre Bonaparte, qui a fait vingt-deux morts et une centaine de blessés rue Saint-Nicaise, n’est finalement retenue contre lui.

Napoléon Bonaparte offre de gracier le lieutenant général des armées du Roi à plusieurs reprises en échange de sa soumission, celui-ci refuse avec obstination : « Ce bougre-là ! Il n’est pas content de me couper la tête, il voudrait encore me déshonorer ». Il meurt avec ses amis. Néanmoins, il exprime une dernière volonté à l’exécuteur de Paris, son bourreau :

« Vous saurez que je veux être exécuté le premier. C’est à moi à donner à mes camarades l’exemple du courage et de la résignation ; d’ailleurs, je ne veux pas que l’un d’eux s’en aille de ce monde avec l’idée que je pourrais lui survivre ».

Ce désir lui est refusé. L’ordre d’exécution est fixé et sa tête tombera la dernière.

Le 25 juin 1804, Georges Cadoudal et onze de ses compagnons sont menés en place de Grève (Voir la chronique du jour). En quittant la Conciergerie, dans un dernier adieu, il professe inlassablement sa foi pour donner du courage à ses partisans condamnés : « Et maintenant, il s’agit de montrer aux Parisiens comment meurent des chrétiens, des royalistes et des Bretons ». D’un pas sûr et lent, la démarche fière et l’œil assuré, le colosse gravit les marches de l’échafaud et clame d’une voix retentissante : « Camarades, je vous rejoins. Vive le Roi ! ».  

Héros populaire, anobli post mortem par Charles X, il est élevé à titre posthume à la dignité de maréchal de France. A la Restauration, ses restes pieusement recueillis, sont rendus à la Bretagne et inhumé sur le lieu de sa naissance, dans un mausolée à Kerléano.

Tiré du bottin-mondain.fr

Voir les chroniques du 21 et 25 juin.

  • le 01 janvier 1796 : création du ministère de la Police.

Le Directoire remplace les différents comités chargés de surveiller le territoire français par un ministère de la Police générale. Merlin de Douai démissionne de son poste de ministre de la Justice pour prendre en charge ce nouveau ministère. Cette Police générale a pour mission de démanteler les “entreprises subversives“… en clair toute tentative populaire de restaurer un ordre chrétien en France.

  • le 01 janvier 1796 : assassinat d’un prêtre non jureur à Vannes

Le 1er janvier 1796, à 17 H, la république débute l’année, à Vannes, par l’exécution d’un prêtre dont le seul tort est de n’avoir pas prêté serment : le père Yves Le Manour.

Né le 7 mai 1748 au village de Kermérian en Remungol, de Mathurin et d’Yvonne Le Mer. Il est baptisé le lendemain.

Ordonné prêtre par Monseigneur Sébastien Michel Amelot le 4 avril 1778, à Vannes, il est nommé chapelain de Saint-Yvy de Moréac, durant douze ans, puis reçoit la cure de Languidic en 1790. L’abbé Le Manour refuse de prêter serment, de partir en exil et va mener la vie habituelle des réfractaires : caches, complicités des paroissiens, messes dans les bois ou dans les granges, les traques, les peurs, les trahisons, la faim. Rien ne le décourage, il accomplit son ministère sacré : confessions, messes, mariages, baptêmes, extrême-onction, funérailles. Il est capturé l’Île aux Moines, dans le Golfe du Morbihan le 5 décembre 1795, alors qu’il va visiter un malade, par des marins à la recherche de Chouans. Ils trouvent sur lui : un petit ciboire en argent, une boîte aux Saintes Huiles en plomb, un petit rituel, un martyrologe romain, un bréviaire avec des actes de mariages célébrés par lui.

Il est jugé coupable d’être réfractaire aux lois de la république, de ne pas être parti en déportation, d’avoir continué à exercer son ministère de prêtre catholique ; en conséquence il est condamné à mort à 48 ans.

Le 1er janvier 1796, Yves Le Manour est guillotiné à 5 heures de l’après-midi, sur la place de la Liberté, actuelle place Maurice Marchais (Hôtel de Ville), en face de la chapelle Saint Yves.

  • le 01 janvier 1849 : mise en service du premier timbre-poste français.
  • le 01 janvier 1860 : la ville de Paris est découpée en vingt arrondissements.
  • le 01 janvier 1880 : lancement du projet de construction du canal de Panama.

Le projet de la construction du canal de Panama, qui relierait l’océan Pacifique à l’océan Atlantique, est lancé le 1er janvier 1880 par Ferdinand de Lesseps. Les travaux ne débutent cependant qu’en 1882. Ce projet finit en scandale politico-financier majeur. Depuis 2007, des travaux d’élargissement sont effectués sur le canal, ils devraient s’achever en 2014.

  • le 01 janvier 1916 : entrée en vigueur de l’impôt sur le revenu.

Un projet de loi a déjà été déposé en février 1907. Toutefois, la loi n’est votée par la Haute Assemblée que le 3 juillet 1914 suite à un désaccord entre le Sénat et la Chambre des députés. Elle est révisée dès 1917 afin de financer la Première Guerre mondiale. Des impôts équivalents existent déjà en place en Grande-Bretagne depuis 1842 ou en Prusse depuis 1893.

  • le 01 janvier 1917 : Claire Ferchaud écrit au président français.

Elle lui demande en vain de soumettre au député l’injonction du Christ de graver l’emblème du Sacré-Cœur sur le drapeau français. Poincaré la reçoit le 21 mars.

  • le 01 janvier 1925 : le général français Gouraud crée l’État de Syrie, composé de ceux d’Alep, de Damas et des Alaouites avec Damas comme capitale.
  • le 01 janvier 1927 : début de la guerre des Cristeros au Mexique.

La guerre des Cristeros désigne la rébellion des paysans mexicains face à l’Etat, qui est alors anticatholique et maçonnique. Le 1er janvier, les rebelles sous le nom de « Cristeros », ce qui signifie partisans du Christ, ont pris les armes contre l’Etat. Le conflit s’est intensifié pendant deux ans, et a pris fin par des négociations diplomatiques où l’Amérique a joué un rôle important, par le biais de l’ambassadeur Dwight Whitney Morrow. Cependant il faudra l’intervention du Vatican pour arrêter cette guerre où les insurgés ont écrasé l’armée régulière.

  • le 01 janvier 1938 : création de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF).

Suite au protocole d’accord signé le 31 août 1937, entre l’Etat et les 5 grandes compagnies de chemin de fer, la Société Nationale de Chemin de Fer est officiellement constituée. L’Etat est actionnaire à 51% et les compagnies privées (Nord, Est, Paris-Orléans, Paris-Lyon-Méditerranée et Midi) à 49 %. Ces dernières ont pour mission d’apporter les lignes et le matériel nécessaires au réseau ferré.

  • le 01 janvier 1945 : la France signe la déclaration de constitution des Nations unies.
  • le 01 janvier 1994 : déclaration du pape Jean-Paul II.

Pour les Journées mondiales de la Paix le Saint Père affirme :

« Noyau premier de la société la famille a droit à tout soutien de l’Etat pour remplir entièrement sa mission propre. Les lois de l’Etat doivent donc être conçues de manière à promouvoir de bonnes conditions de vie pour la famille, en l’aidant à accomplir les tâches qui lui reviennent. Devant la tendance aujourd’hui plus forte à légitimer, comme substitut de l’union conjugale, des formes d’unions qui en raison de leur nature propre ou de leur caractère transitoire voulu, ne peuvent en aune manière exprimer le sens de la famille ni assurer son bien, c’est un des premiers devoirs de l’Etat d’encourager et de protéger l’institution familiale authentique, d’en respecter la physionomie naturelle ainsi que les droits innés et inaliénables.

Cité par François Marie Algoud dans Histoire de la volonté de perversion de l’intelligence et des mœurs (Editions de Chiré page 404)

  • le 01 janvier 2002 : l’euro + les 35 heures.

La France et ses onze autres partenaires de la zone euro adoptent définitivement la monnaie unique en passant à l’euro, trois ans après son entrée en vigueur. En France, s’y ajoute l’entrée en vigueur théorique de la réduction du temps de travail hebdomadaire à trente-cinq heures pour les petites et moyennes entreprises de moins de vingt salariés.

  • le 01 janvier 20 : la France est découpée en 12 régions.

Découpée en 21 régions en 1964, puis en 22 en métropole et 4 outre-mer ; à compter du 1er janvier 2016 il ne reste que 12 régions en métropole, plus la Corse qui exerce les compétences sans l’appellation et les 5 DOM et région d’outre-mer.

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